Des stats « historiques » pour Quick
Los Angeles Kings mardi, 5 juin 2012. 20:27 vendredi, 13 déc. 2024. 11:42
EL SEGUNDO, États-Unis - Jonathan Quick a mis la barre tellement haute que même ses coéquipiers des Kings de Los Angeles n'arrivent pas à la voir.
«Il joue sur une autre planète, a dit l'attaquant Jarret Stoll. C'est ce à quoi il s'attend.»
L'Américain de 26 ans connaît présentement des séries éliminatoires qui ont pris des proportions historiques. Les Kings tenteront de soulever la coupe Stanley aussi tôt que mercredi, lors du match no 4 de la série finale contre les Devils du New Jersey. En attendant, Quick affiche quelques-unes des meilleures statistiques de l'histoire de la LNH.
Les Devils ont été incapables de résoudre le «mystère Quick». Et aussi à sens unique que la finale de la Coupe Stanley puisse paraître en ce moment, la situation aurait probablement été très différente n'eût été de la tenue de Quick.
«Nous créons autant de chances de marquer en finale que contre les Rangers dans la ronde précédente, a déclaré l'entraîneur des Devils, Peter DeBoer. Le problème c'est que cette fois, on n'arrive pas à terminer le travail. Il (Quick) joue très bien. On n'a jamais été capables d'avoir le momentum, d'inscrire le premier but.»
«On doit trouver le moyen de marquer», a ajouté le gardien des Devils Martin Brodeur.
Sauf que ce ne sera peut-être pas possible.
Le pourcentage d'efficacité de ,950 de Quick en séries ferait de lui le meilleur de tous les temps à ce chapitre, et sa moyenne de buts alloués de 1,36 serait meilleure que celle de tous les autres gardiens au cours des 52 dernières années.
À titre de comparaison, Brodeur n'a jamais présenté des chiffres aussi impressionnants, mais a tout de même remporté la coupe Stanley à trois reprises avec certaines des meilleures équipes défensives de l'histoire.
Quick a été la pierre angulaire des Kings au cours des trois dernières saisons, mais celle qui est sur le point de se terminer est la première où ses performances l'ont placé sous les projecteurs partout à travers le pays.
Ses coéquipiers croient même que s'il avait évolué dans l'Est, il aurait été encore plus au centre de l'attention.
«S'il avait joué à New York, où tout le monde pense que (Henrik) Lundqvist va gagner le trophée Vézina, ça ne fait pas de doute dans mon esprit qu'il serait assuré de le remporter, a évoqué le défenseur Drew Doughty. On a perdu tellement de matchs par un but et gagné tellement d'autres par un but aussi.
«Et tout ça grâce à tous les efforts qu'il y met, jour après jour.»
Peu de gens auraient prédit autant de succès à Quick si on remonte à l'encan de 2005 à Ottawa, alors que les Kings ont fait de lui le huitième gardien choisi en le sélectionnant au 72e échelon. Carey Price, Tuukka Rask, Tyler Plante, Jeff Frazee, Ondrej Pavelec, Pier-Olivier Pelletier et Kristofer Westblom ont tous été sélectionnés avant lui.
«J'essaie de donner à mon équipe une chance de gagner à chaque soir, a mentionné Quick. D'un point de vue de gardien de but, c'est ce qu'on a à faire. On tente de bien faire notre travail à chaque soir.»
«Il joue sur une autre planète, a dit l'attaquant Jarret Stoll. C'est ce à quoi il s'attend.»
L'Américain de 26 ans connaît présentement des séries éliminatoires qui ont pris des proportions historiques. Les Kings tenteront de soulever la coupe Stanley aussi tôt que mercredi, lors du match no 4 de la série finale contre les Devils du New Jersey. En attendant, Quick affiche quelques-unes des meilleures statistiques de l'histoire de la LNH.
Les Devils ont été incapables de résoudre le «mystère Quick». Et aussi à sens unique que la finale de la Coupe Stanley puisse paraître en ce moment, la situation aurait probablement été très différente n'eût été de la tenue de Quick.
«Nous créons autant de chances de marquer en finale que contre les Rangers dans la ronde précédente, a déclaré l'entraîneur des Devils, Peter DeBoer. Le problème c'est que cette fois, on n'arrive pas à terminer le travail. Il (Quick) joue très bien. On n'a jamais été capables d'avoir le momentum, d'inscrire le premier but.»
«On doit trouver le moyen de marquer», a ajouté le gardien des Devils Martin Brodeur.
Sauf que ce ne sera peut-être pas possible.
Le pourcentage d'efficacité de ,950 de Quick en séries ferait de lui le meilleur de tous les temps à ce chapitre, et sa moyenne de buts alloués de 1,36 serait meilleure que celle de tous les autres gardiens au cours des 52 dernières années.
À titre de comparaison, Brodeur n'a jamais présenté des chiffres aussi impressionnants, mais a tout de même remporté la coupe Stanley à trois reprises avec certaines des meilleures équipes défensives de l'histoire.
Quick a été la pierre angulaire des Kings au cours des trois dernières saisons, mais celle qui est sur le point de se terminer est la première où ses performances l'ont placé sous les projecteurs partout à travers le pays.
Ses coéquipiers croient même que s'il avait évolué dans l'Est, il aurait été encore plus au centre de l'attention.
«S'il avait joué à New York, où tout le monde pense que (Henrik) Lundqvist va gagner le trophée Vézina, ça ne fait pas de doute dans mon esprit qu'il serait assuré de le remporter, a évoqué le défenseur Drew Doughty. On a perdu tellement de matchs par un but et gagné tellement d'autres par un but aussi.
«Et tout ça grâce à tous les efforts qu'il y met, jour après jour.»
Peu de gens auraient prédit autant de succès à Quick si on remonte à l'encan de 2005 à Ottawa, alors que les Kings ont fait de lui le huitième gardien choisi en le sélectionnant au 72e échelon. Carey Price, Tuukka Rask, Tyler Plante, Jeff Frazee, Ondrej Pavelec, Pier-Olivier Pelletier et Kristofer Westblom ont tous été sélectionnés avant lui.
«J'essaie de donner à mon équipe une chance de gagner à chaque soir, a mentionné Quick. D'un point de vue de gardien de but, c'est ce qu'on a à faire. On tente de bien faire notre travail à chaque soir.»