En éliminatoires, les Blues ont toujours balayé les Kings
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 22:54 samedi, 28 avr. 2012. 20:51Les Blues ont une fiche parfaite de 8-0 dans leurs huit matchs à vie face aux Kings
Avant de penser remporter une série contre les Blues de Saint Louis, les Kings de Los Angeles devront trouver le moyen de gagner un match contre eux, ce qu’ils n’ont jamais réussi à faire en séries éliminatoires !
En effet, la formation dirigée par Ken Hitckhock présente une fiche à vie de 2–0 dans ses deux séries face à celle de Darryl Sutter, la balayant 4 à 0 dans les deux affrontements, marquant 32 buts et n’en concédant que treize.
Le premier duel a eu lieu en 1968–1969, alors que les deux équipes qui en étaient à leur deuxième saison dans la LNH, avaient croisé le fer dans la demi-finale, les Blues triomphant 4 à 0, en plus de surclasser leurs rivaux 16 à 5 au chapitre des buts marqués et le gardien des Blues était nul autre que Jacques Plante, qui avait gagné les quatre matchs de cette série.
Le deuxième affrontement remonte au premier tour de la saison 1997–1998, alors que les Blues avaient également gagné 4 à 0 et surclassé les Kings 16 à 8 en attaque, le gardien Grant Fuhr avait été l’artisan de ce balayage.
Les temps ont changé, mais les Kings réussiront-ils à remporter une victoire contre les Blues dans la présente série ?
LES DEUX SÉRIES ENTRE LES BLUES ET LES KINGS
1968–1969-Demi-Finale-Saint Louis gagne 4–0 et au total des buts 16–5.
15 avril 1969-Los Angeles 0 à Saint Louis 4
17 avril 1969-Los Angeles 2 à Saint Louis 3
19 avril 1969-Saint Louis 5 à Los Angeles 2
20 avril 1969-Saint Louis 4 à Los Angeles 1
1997–1998-Quarts-de-finale Ass. Ouest-Saint Louis gagne 4–0 et au total des buts 16–8.
23 avril 1998-Los Angeles 3 à Saint Louis 8
25 avril 1998-Los Angeles 1 à Saint Louis 2
27 avril 1998-Saint Louis 4 à Los Angeles 3
30 avril 1998-Saint Louis 2 à Los Angeles 1
*
Marian Gaborik est soudainement devenu pitoyable en séries éliminatoires
Après avoir été superbe lors de sa première participation aux séries éliminatoires, en 2002–2003, l’attaquant Marian Gaborik, des Rangers de New York, n’est vraiment pas à la hauteur des attentes depuis plusieurs saisons.
Le Slovaque de 30 ans, qui affiche un rendement à vie de 14–13-27 en 41 matchs en séries de fin de saison, présente une pauvre fiche de 2–4-6 en 18 matchs, lors de ses trois dernières participations aux éliminatoires, dont 1–2-3 en sept matchs, dans la première série contre les Sénateurs d’Ottawa.
Pis, il avait connu des débuts fracassants, car en 2002–2003, dans l’uniforme du Wild du Minnesota, il avait présenté une fiche de 9–8-17 lors de ses 13 premiers matchs à vie en séries, mais terminé en étant rayé de la feuille de pointage dans ses cinq derniers matchs, dont 0–0-0 dans les quatre matchs, face aux Mighty Ducks d’Anaheim, qui avaient balayé la formation de Jacques Lemaire, dans la finale de l’Association de l’Ouest.
Soulignons que cela lui fait une fiche est de 5–5-10 lors de ses 28 derniers matchs en séries de fin de saison et ce rendement est à l’image d’un joueur de troisième trio et non pas d’un joueur qui est plus souvent qu’autrement sur la première ligne d’attaque de son équipe et qui se retrouve souvent sur le la première unité en avantage numérique.
Les Rangers ont survécu au premier tour, en triomphant très difficilement des Sénateurs d’Ottawa et ils auront besoin de la production de Gaborik dans la 2e ronde, face aux Capitals de Washington, lui qui fut 0–2-2 lors des six derniers matchs de la première ronde et dont le seul but a été réussi vers la fin de la 2e période, du gain de 4 à 2, lors du premier match.
*
Les Capitals de Washington n’ont pas mené après deux périodes !
C’est spécial de constater que les Capitals de Washington n’ont pas détenu une seule fois l’avance après deux périodes lors de leur première série, qui fut remportée en sept matchs, face aux Bruins de Boston.
En effet, la formation dirigée par Dale Hunter a présenté une fiche de 2–0-0 alors qu’elle menait après le premier-vingt et de 2–3-0 lorsque le pointage était égal après la seconde période, car elle n’a pas amorcé le troisième vingt avec une avance contre les Bruins.
La présente série contre les Rangers de New York s’annonce aussi difficile, car ces derniers ont été l’une des meilleures équipes en défense, autant dans le calendrier régulier que lors du premier tour des séries.
Soulignons que les sept matchs des Capitals ont été décidés par un but (fiche de 4–3), comparativement à cinq des sept rencontres des Rangers (fiche de 3–2).
*