Jan Bulis se plaint encore
Vancouver Canucks jeudi, 18 janv. 2007. 14:27 jeudi, 12 déc. 2024. 19:59
(RDS.ca) - Jan Bulis a quitté Montréal parce qu'il voulait camper un rôle plus offensif avec une équipe au sein de laquelle il se sentait désiré. Cinq mois plus tard, il veut lever les feutres de Vancouver pour exactement les mêmes raisons.
L'agent de Bulis, Jiri Crha, a rencontré le directeur général des Canucks Dave Nonis pour discuter de l'avenir de son client. «Je vais vous dire honnêtement, si rien ne change, nous allons commencer à explorer les possibilités d'échanges, a-t-il dit au Vancouver Province. Il (Bulis) aimerait être utilisé davantage. Je vais attendre quelques jours, peut-être jusqu'après la pause du match des étoiles, et ensuite on verra ce qui va se passer.»
Le refrain vous est familier?
Bulis est en furie parce qu'il avait reçu des offres de neuf équipes alors qu'il explorait le marché des joueurs autonomes l'été dernier et que les Canucks lui avaient promis qu'il aurait la chance de démontrer tout son potentiel.
«Il a eu la chance de jouer avec des bons joueurs et de jouer sur le jeu de puissance, se défend son entraîneur Alain Vigneault. Nous pensions que c'est ce qui lui avait déplu à Montréal, de ne pas avoir eu sa chance. Nous lui avons donné une opportunité, mais sa production n'a jamais atteint le niveau auquel on pouvait s'attendre.»
Bulis a connu un de ses meilleurs matchs de la saison mardi, récoltant un but et une passe et passant 15:27 minutes sur la patinoire alors qu'il complétait un trio avec les jumeaux Sedin contre le Canadien à Montréal. Il a déclaré qu'il ne penserait même pas à vouloir quitter Vancouver s'il connaissait plus de matchs semblables.
«C'est frustrant quand je joue 15 minutes, récolte quelques points, l'équipe gagne et le lendemain, c'est à peine si on m'envoie dans la mêlée, se plaint Bulis. Ça été ce genre de montagnes russes toute l'année pour moi. Ce n'est pas comme si j'avais un contrat de trois ans. J'ai un contrat d'un an et si je ne produis pas, mon avenir n'est pas assuré. C'est une dure saison pour moi.»
Les partisans du Canadien seront les derniers étonnés des états d'âmes du Tchèque de 28 ans, qui est allé plus souvent dans le bureau de Bob Gainey que sur la feuille de pointage la saison dernière. Bulis avait également demandé à être échangé à deux reprises en 2001 alors qu'il portait les couleurs des Capitals de Washington.
Bulis, qui gagne un salaire de 1,3 M$ cette saison, a marqué huit buts et amassé sept passes en 45 matchs.
L'agent de Bulis, Jiri Crha, a rencontré le directeur général des Canucks Dave Nonis pour discuter de l'avenir de son client. «Je vais vous dire honnêtement, si rien ne change, nous allons commencer à explorer les possibilités d'échanges, a-t-il dit au Vancouver Province. Il (Bulis) aimerait être utilisé davantage. Je vais attendre quelques jours, peut-être jusqu'après la pause du match des étoiles, et ensuite on verra ce qui va se passer.»
Le refrain vous est familier?
Bulis est en furie parce qu'il avait reçu des offres de neuf équipes alors qu'il explorait le marché des joueurs autonomes l'été dernier et que les Canucks lui avaient promis qu'il aurait la chance de démontrer tout son potentiel.
«Il a eu la chance de jouer avec des bons joueurs et de jouer sur le jeu de puissance, se défend son entraîneur Alain Vigneault. Nous pensions que c'est ce qui lui avait déplu à Montréal, de ne pas avoir eu sa chance. Nous lui avons donné une opportunité, mais sa production n'a jamais atteint le niveau auquel on pouvait s'attendre.»
Bulis a connu un de ses meilleurs matchs de la saison mardi, récoltant un but et une passe et passant 15:27 minutes sur la patinoire alors qu'il complétait un trio avec les jumeaux Sedin contre le Canadien à Montréal. Il a déclaré qu'il ne penserait même pas à vouloir quitter Vancouver s'il connaissait plus de matchs semblables.
«C'est frustrant quand je joue 15 minutes, récolte quelques points, l'équipe gagne et le lendemain, c'est à peine si on m'envoie dans la mêlée, se plaint Bulis. Ça été ce genre de montagnes russes toute l'année pour moi. Ce n'est pas comme si j'avais un contrat de trois ans. J'ai un contrat d'un an et si je ne produis pas, mon avenir n'est pas assuré. C'est une dure saison pour moi.»
Les partisans du Canadien seront les derniers étonnés des états d'âmes du Tchèque de 28 ans, qui est allé plus souvent dans le bureau de Bob Gainey que sur la feuille de pointage la saison dernière. Bulis avait également demandé à être échangé à deux reprises en 2001 alors qu'il portait les couleurs des Capitals de Washington.
Bulis, qui gagne un salaire de 1,3 M$ cette saison, a marqué huit buts et amassé sept passes en 45 matchs.