Julien n'a pas encore fêté son triomphe
Hockey vendredi, 24 juin 2011. 19:53 samedi, 14 déc. 2024. 14:30
ST. PAUL, Minn. - Claude Julien distribuait les poignées de mains avec le sourire aux lèvres avant le début de la séance de repêchage de la LNH, vendredi, au Xcel Energy Center. L'entraîneur des Bruins de Boston acceptait les félicitations des journalistes et de membres de la confrérie avec un plaisir évident.
Emporté dans un véritable tourbillon depuis la victoire décisive de 4-0 à Vancouver, le 15 juin, Julien a affirmé n'avoir pas eu le temps de décanter le triomphe des Bruins.
« Et rendu à mon âge (51 ans), on n'a plus l'endurance pour faire la fête pendant des heures... », a-t-il lancé à la blague.
« À compter de la semaine prochaine, a-t-il ajouté, je pourrai savourer davantage l'exploit que nous avons accompli. »
Avec le recul toutefois, le vétéran entraîneur franco-ontarien peut affirmer que le troisième match de la série de premier tour contre le Canadien a représenté un tournant pour ses troupiers.
« Il y en a eu d'autres tout au long des séries, a-t-il précisé, mais le premier a été important. »
Après s'être regroupés à Lake Placid, dans l'état de New York, les Bruins se sont présentés au Centre Bell en retard 2-0 dans la série. La confiance de l'équipe était fragile, a reconnu Julien, en raison de ses insuccès contre le CH et particulièrement à Montréal.
« Notre victoire dans le troisième match a fait tourner le vent, a-t-il avancé. Et, après avoir créé l'égalité dans la série, nous avons gagné en confiance. Par après, même si nous étions en retard 1-0 ou 2-0 dans une série, comme ç'a été le cas en finale contre les Canucks, les gars jouaient de façon détendue et en confiance. C'était visible même dans les septièmes matchs. Avant le septième face aux Canucks, les gars étaient concentrés. C'était notre troisième septième match des séries. Nous étions passés par là et nous savions que nous pouvions relever le défi. »
Emporté dans un véritable tourbillon depuis la victoire décisive de 4-0 à Vancouver, le 15 juin, Julien a affirmé n'avoir pas eu le temps de décanter le triomphe des Bruins.
« Et rendu à mon âge (51 ans), on n'a plus l'endurance pour faire la fête pendant des heures... », a-t-il lancé à la blague.
« À compter de la semaine prochaine, a-t-il ajouté, je pourrai savourer davantage l'exploit que nous avons accompli. »
Avec le recul toutefois, le vétéran entraîneur franco-ontarien peut affirmer que le troisième match de la série de premier tour contre le Canadien a représenté un tournant pour ses troupiers.
« Il y en a eu d'autres tout au long des séries, a-t-il précisé, mais le premier a été important. »
Après s'être regroupés à Lake Placid, dans l'état de New York, les Bruins se sont présentés au Centre Bell en retard 2-0 dans la série. La confiance de l'équipe était fragile, a reconnu Julien, en raison de ses insuccès contre le CH et particulièrement à Montréal.
« Notre victoire dans le troisième match a fait tourner le vent, a-t-il avancé. Et, après avoir créé l'égalité dans la série, nous avons gagné en confiance. Par après, même si nous étions en retard 1-0 ou 2-0 dans une série, comme ç'a été le cas en finale contre les Canucks, les gars jouaient de façon détendue et en confiance. C'était visible même dans les septièmes matchs. Avant le septième face aux Canucks, les gars étaient concentrés. C'était notre troisième septième match des séries. Nous étions passés par là et nous savions que nous pouvions relever le défi. »