K. Alzner complique la vie des Rangers
Washington Capitals jeudi, 14 avr. 2011. 20:08 vendredi, 13 déc. 2024. 17:55
WASHINGTON - Buts. Aides. Arrêts. Ce sont les plus importants. Lorsque les amateurs dissèquent un match de hockey, ce sont les chiffres qu'ils regardent en premier.
Les tirs bloqués? Pas nécessairement la statistique la plus attirante. C'est du moins que ce que l'on tentait de dire à Karl Alzner jeudi matin dans le vestiaire des Capitals de Washington.
Les yeux d'Alzner se sont aussitôt mis à briller.
«Pour moi, ce l'est, a-t-il répliqué. Ça peut sonner bizarre, mais je suis fier de faire ça - et de ne pas être apeuré lorsque je plonge devant un tir.»
Dans l'intérêt des Capitals, c'est bien qu'Alzner ait cette attitude. Le jeune défenseur s'est placé huit fois devant les tirs des Rangers de New York dans le gain de 2-1 des Capitals en prolongation lors du premier match de leur série mercredi. Cela démontre en partie à quel point les Capitals ont modifié leur jeu défensif en seulement quelques mois.
Les Capitals ont bloqué 32 tirs, le plus haut total qu'ils ont réussi en 29 matchs éliminatoires sous les ordres de Bruce Boudreau. Si l'on oublie la prolongation, il en reste quand même 25. L'an dernier lors des six derniers matchs des séries des Caps, ils en avaient bloqué 11, 16, 14, 15, 11 et 12 contre le Canadien de Montréal.
«Ils ont fait du bon boulot en bloquant les tirs, a admis le défenseur des Rangers Bryan McCabe. Nous devons trouver un moyen d'en lancer plus, de foncer au filet et de marquer des buts un peu moins beaux.»
«Nous devons obtenir plus de chances de marquer, a noté l'entraîneur des Rangers John Tortorella. Nous devons penser 'lancer' davantage. Nos défenseurs, en particulier, doivent penser 'lancer'. Et le plus rapidement tu décoches ton tir, plus tu augmentes tes chances de peut-être envoyer la rondelle dans le filet.»
La différence entre une victoire et une défaite est très mince, mais cela a un énorme impact psychologique pour les Capitals, qui ont été éliminés au premier tour il y a un an. Et tout comme l'an dernier, ils sont les favoris et ils affrontent les huitièmes têtes de série. Ils ne tiennent donc rien pour acquis.
Les tirs bloqués? Pas nécessairement la statistique la plus attirante. C'est du moins que ce que l'on tentait de dire à Karl Alzner jeudi matin dans le vestiaire des Capitals de Washington.
Les yeux d'Alzner se sont aussitôt mis à briller.
«Pour moi, ce l'est, a-t-il répliqué. Ça peut sonner bizarre, mais je suis fier de faire ça - et de ne pas être apeuré lorsque je plonge devant un tir.»
Dans l'intérêt des Capitals, c'est bien qu'Alzner ait cette attitude. Le jeune défenseur s'est placé huit fois devant les tirs des Rangers de New York dans le gain de 2-1 des Capitals en prolongation lors du premier match de leur série mercredi. Cela démontre en partie à quel point les Capitals ont modifié leur jeu défensif en seulement quelques mois.
Les Capitals ont bloqué 32 tirs, le plus haut total qu'ils ont réussi en 29 matchs éliminatoires sous les ordres de Bruce Boudreau. Si l'on oublie la prolongation, il en reste quand même 25. L'an dernier lors des six derniers matchs des séries des Caps, ils en avaient bloqué 11, 16, 14, 15, 11 et 12 contre le Canadien de Montréal.
«Ils ont fait du bon boulot en bloquant les tirs, a admis le défenseur des Rangers Bryan McCabe. Nous devons trouver un moyen d'en lancer plus, de foncer au filet et de marquer des buts un peu moins beaux.»
«Nous devons obtenir plus de chances de marquer, a noté l'entraîneur des Rangers John Tortorella. Nous devons penser 'lancer' davantage. Nos défenseurs, en particulier, doivent penser 'lancer'. Et le plus rapidement tu décoches ton tir, plus tu augmentes tes chances de peut-être envoyer la rondelle dans le filet.»
La différence entre une victoire et une défaite est très mince, mais cela a un énorme impact psychologique pour les Capitals, qui ont été éliminés au premier tour il y a un an. Et tout comme l'an dernier, ils sont les favoris et ils affrontent les huitièmes têtes de série. Ils ne tiennent donc rien pour acquis.