Ken Hitchcock enseigne
Hockey dimanche, 6 févr. 2005. 21:42 mercredi, 11 déc. 2024. 10:53
VOORHEES, N.J. (AP) - L'entraîneur des Flyers Ken Hitchcock a vécu un super dimanche et c'était avant même que son bon ami Andy Reid et les Eagles de Philadelphie n'entreprennent le match du Super Bowl.
Hitchcock a chaussé les patins, portant les couleurs des Flyers de la tête aux pieds, un sifflet autour du cou.
Il ne criait pas ses directives ou encouragements aux vedettes des Flyers Keith Primeau, Jeremy Roenick et compagnie. Non, il dirigeait un entraînement à l'intention de 15 adultes qui tentent d'apprendre à jouer au hockey.
Les quatre derniers mois et demi ont été difficiles pour le vétéran entraîneur, qui est venu à une victoire d'accéder à la finale de la coupe Stanley le printemps dernier. Les Flyers se sont inclinés en sept matches face au Lightning de Tampa Bay en finale d'association, et le lock-out le prive actuellement d'une occasion de remporter un deuxième titre.
Les dernières discussions entre la LNH et l'Association des joueurs ont pris fin, vendredi. L'association a précisé qu'aucun progrès n'avait été réalisé mais la ligue a laissé entendre que les discussions des derniers jours avaient été constructives.
"Comme entraîneur, vous contrôlez beaucoup de choses, a expliqué Hitchcock. Ce qui est déroutant pour moi présentement avec le lock-out, c'est que je n'ai aucun contrôle sur rien.
"Le silence est en train de me tuer. Je préférerais les voir se disputer."
Hitchcock a passé son temps en dirigeant des équipes à tous les niveaux pendant cette pause forcée. Il a travaillé au Texas avec les joueurs des ligues mineures, au niveau collégial, et même avec des enfants de neuf ans.
Mais le jeu de la LNH lui manque.
"Nous sommes en plein coeur d'une belle période, a indiqué Hitchcock au sujet de ses Flyers. Ca rend tout le monde impatient ici.
"Nous savons que c'est maintenant notre chance et c'est ce qui est un peu troublant."
Hitchcock garde espoir qu'une entente sera conclue. Le seul moment où il a douté, c'est lors de la première semaine de janvier, lorsque les négociations ont été rompues.
Dimanche soir, il planifiait de regarder le Super Bowl où Reid et les Eagles affrontaient les Patriots de la Nouvelle-Angleterre. Au fil de ses trois années comme entraîneur des Flyers, lui et Reid ont développé une solide amitié. C'est une occasion rare pour Hitchcock d'être capable de regarder le Super Bowl avec des amis, lui qui s'occupe habituellement de son équipe.
"Attendre deux semaines pour ce match a été atroce, a confié Hitchcock, qui a guidé les Stars de Dallas à la coupe Stanley en 1999. Je n'en reviens pas que deux semaines puissent paraître aussi longues. J'aurais aimé que le match ait lieu la semaine dernière."
Hitchcock a chaussé les patins, portant les couleurs des Flyers de la tête aux pieds, un sifflet autour du cou.
Il ne criait pas ses directives ou encouragements aux vedettes des Flyers Keith Primeau, Jeremy Roenick et compagnie. Non, il dirigeait un entraînement à l'intention de 15 adultes qui tentent d'apprendre à jouer au hockey.
Les quatre derniers mois et demi ont été difficiles pour le vétéran entraîneur, qui est venu à une victoire d'accéder à la finale de la coupe Stanley le printemps dernier. Les Flyers se sont inclinés en sept matches face au Lightning de Tampa Bay en finale d'association, et le lock-out le prive actuellement d'une occasion de remporter un deuxième titre.
Les dernières discussions entre la LNH et l'Association des joueurs ont pris fin, vendredi. L'association a précisé qu'aucun progrès n'avait été réalisé mais la ligue a laissé entendre que les discussions des derniers jours avaient été constructives.
"Comme entraîneur, vous contrôlez beaucoup de choses, a expliqué Hitchcock. Ce qui est déroutant pour moi présentement avec le lock-out, c'est que je n'ai aucun contrôle sur rien.
"Le silence est en train de me tuer. Je préférerais les voir se disputer."
Hitchcock a passé son temps en dirigeant des équipes à tous les niveaux pendant cette pause forcée. Il a travaillé au Texas avec les joueurs des ligues mineures, au niveau collégial, et même avec des enfants de neuf ans.
Mais le jeu de la LNH lui manque.
"Nous sommes en plein coeur d'une belle période, a indiqué Hitchcock au sujet de ses Flyers. Ca rend tout le monde impatient ici.
"Nous savons que c'est maintenant notre chance et c'est ce qui est un peu troublant."
Hitchcock garde espoir qu'une entente sera conclue. Le seul moment où il a douté, c'est lors de la première semaine de janvier, lorsque les négociations ont été rompues.
Dimanche soir, il planifiait de regarder le Super Bowl où Reid et les Eagles affrontaient les Patriots de la Nouvelle-Angleterre. Au fil de ses trois années comme entraîneur des Flyers, lui et Reid ont développé une solide amitié. C'est une occasion rare pour Hitchcock d'être capable de regarder le Super Bowl avec des amis, lui qui s'occupe habituellement de son équipe.
"Attendre deux semaines pour ce match a été atroce, a confié Hitchcock, qui a guidé les Stars de Dallas à la coupe Stanley en 1999. Je n'en reviens pas que deux semaines puissent paraître aussi longues. J'aurais aimé que le match ait lieu la semaine dernière."