Kopitar est sorti de l'ombre en séries
Hockey vendredi, 1 juin 2012. 20:02 vendredi, 13 déc. 2024. 05:31
NEWARK - Voici Anze Kopitar, un des meilleurs joueurs de la LNH que peu de gens semblent connaître.
Le Slovène, âgé de 24 ans, a terminé au premier rang des pointeurs des Kings lors des cinq dernières saisons, marquant au moins 25 buts à chaque fois. Il s'est classé au huitième rang des passeurs dans la LNH cette saison avec 51 aides, un sommet personnel.
Mais quand on demeure discret et qu'on joue au hockey dans le sud de la Californie, c'est facile de passer sous le radar. Tout ça pourrait changer rapidement alors que les Kings s'approchent d'un premier titre de la coupe Stanley.
«Quand nos matchs débutent à 19 h 30 sur la côte Ouest, beaucoup de personnes à l'autre bout du pays dorment déjà», a mentionné Justin Williams, un compagnon de trio de Kopitar, vendredi. «L'important, c'est que nous savons qu'il est très bon. Si le reste du monde veut le découvrir, c'est le bon moment de le faire.»
Kopitar a réduit le chiffre magique des Kings à trois en marquant en prolongation mercredi lors du match no 1 de la finale de la Coupe Stanley face aux Devils du New Jersey, donnant ainsi un gain de 2-1 aux siens.
Ce n'est pas une mauvaise façon de se faire remarquer.
«Pour une raison quelconque, les équipes de l'Ouest ne reçoivent pas la même couverture que celles dans l'Est, a noté l'attaquant Jeff Carter. Il est certainement un joueur qui s'est fait un nom au cours des séries.
«Les joueurs des Devils n'ont pas joué souvent contre lui et ne connaissent pas ses tendances. Vous pouvez regarder autant de vidéos que vous voulez, vous ne vous rendez pas compte de ce qu'il peut faire tant que vous n'avez pas joué contre lui.»
En 15 matchs depuis le début des séries, Kopitar a accumulé le même nombre de points que le capitaine des Kings et son compagnon de trio Dustin Brown. Les deux hommes ont inscrit sept buts et totalisent 16 points, aidant les Kings à compiler un dossier de 13-2. Si les amateurs de hockey n'avaient jamais remarqué le gros joueur de centre, c'est maintenant impossible de le manquer.
Les Kings ont compilé une fiche de 15-6-3 en saison régulière quand Kopitar a inscrit un but et ont un dossier de 92-36-13 quand il marque depuis son arrivée dans la LNH en 2006-2007.
«Il n'aime probablement pas l'attention qu'il reçoit, mais ça vient avec le métier», a indiqué Mike Richards, qui dispute une première saison à Los Angeles après un long séjour à Philadelphie. «Il se présente à l'aréna à chaque jour et travaille fort. C'est peut-être surprenant que des joueurs de l'Est reçoivent plus d'éloges que des joueurs de l'Ouest, mais il se retrouve certainement dans le top-5 ou le top-3.»
L'excellence de Kopitar dans toutes les facettes du jeu plait aussi au gardien de l'équipe Jonathan Quick, qui est peut-être le plus gros obstacle dans le chemin de Kopitar vers le trophée Conn-Smythe, remis au joueur par excellence des séries, si les Kings remportent les grands honneurs.
Le match no 2 de la série finale aura lieu samedi.
«Nous voulons tous ajouter quelque chose sur notre c.v., a dit Williams, et Kopy ne va pas s'arrêter tant qu'il ne l'aura pas fait.»
Le Slovène, âgé de 24 ans, a terminé au premier rang des pointeurs des Kings lors des cinq dernières saisons, marquant au moins 25 buts à chaque fois. Il s'est classé au huitième rang des passeurs dans la LNH cette saison avec 51 aides, un sommet personnel.
Mais quand on demeure discret et qu'on joue au hockey dans le sud de la Californie, c'est facile de passer sous le radar. Tout ça pourrait changer rapidement alors que les Kings s'approchent d'un premier titre de la coupe Stanley.
«Quand nos matchs débutent à 19 h 30 sur la côte Ouest, beaucoup de personnes à l'autre bout du pays dorment déjà», a mentionné Justin Williams, un compagnon de trio de Kopitar, vendredi. «L'important, c'est que nous savons qu'il est très bon. Si le reste du monde veut le découvrir, c'est le bon moment de le faire.»
Kopitar a réduit le chiffre magique des Kings à trois en marquant en prolongation mercredi lors du match no 1 de la finale de la Coupe Stanley face aux Devils du New Jersey, donnant ainsi un gain de 2-1 aux siens.
Ce n'est pas une mauvaise façon de se faire remarquer.
«Pour une raison quelconque, les équipes de l'Ouest ne reçoivent pas la même couverture que celles dans l'Est, a noté l'attaquant Jeff Carter. Il est certainement un joueur qui s'est fait un nom au cours des séries.
«Les joueurs des Devils n'ont pas joué souvent contre lui et ne connaissent pas ses tendances. Vous pouvez regarder autant de vidéos que vous voulez, vous ne vous rendez pas compte de ce qu'il peut faire tant que vous n'avez pas joué contre lui.»
En 15 matchs depuis le début des séries, Kopitar a accumulé le même nombre de points que le capitaine des Kings et son compagnon de trio Dustin Brown. Les deux hommes ont inscrit sept buts et totalisent 16 points, aidant les Kings à compiler un dossier de 13-2. Si les amateurs de hockey n'avaient jamais remarqué le gros joueur de centre, c'est maintenant impossible de le manquer.
Les Kings ont compilé une fiche de 15-6-3 en saison régulière quand Kopitar a inscrit un but et ont un dossier de 92-36-13 quand il marque depuis son arrivée dans la LNH en 2006-2007.
«Il n'aime probablement pas l'attention qu'il reçoit, mais ça vient avec le métier», a indiqué Mike Richards, qui dispute une première saison à Los Angeles après un long séjour à Philadelphie. «Il se présente à l'aréna à chaque jour et travaille fort. C'est peut-être surprenant que des joueurs de l'Est reçoivent plus d'éloges que des joueurs de l'Ouest, mais il se retrouve certainement dans le top-5 ou le top-3.»
L'excellence de Kopitar dans toutes les facettes du jeu plait aussi au gardien de l'équipe Jonathan Quick, qui est peut-être le plus gros obstacle dans le chemin de Kopitar vers le trophée Conn-Smythe, remis au joueur par excellence des séries, si les Kings remportent les grands honneurs.
Le match no 2 de la série finale aura lieu samedi.
«Nous voulons tous ajouter quelque chose sur notre c.v., a dit Williams, et Kopy ne va pas s'arrêter tant qu'il ne l'aura pas fait.»