L'attaque des Bruins est en panne
Boston Bruins jeudi, 2 juin 2011. 21:13 vendredi, 13 déc. 2024. 05:01
VANCOUVER - Avant la finale de la Coupe Stanley, les Bruins de Boston ont dit qu'ils préfèreraient affronter les Canucks de Vancouver à forces égales le plus souvent possible.
Ils disaient vouloir éviter le jeu de puissance des Canucks, qui a inscrit 17 buts au cours de leurs 18 premiers matchs éliminatoires pour un taux d'efficacité de 28 pour cent. Les gros attaquants des Bruins utiliseraient ainsi à fond l'échec avant à forces égales afin de créer des chances de marquer.
Il faut faire attention à ce que l'on souhaite.
Alors qu'ils préparent le deuxième match de la série, les Bruins cherchent maintenant à s'ajuster au rapide jeu de transition des Canucks à cinq contre cinq.
« C'était assez simple, a dit l'entraîneur-chef des Bruins, Claude Julien. Ils nous ont battus à cinq contre cinq et je crois que nos unités spéciales ont été aussi bonnes sinon meilleures que les leurs. Sans aucun doute, ils ont été la meilleure équipe à cinq contre cinq. »
Le match a été très serré, les deux clubs bénéficiant de plus de 16 minutes de jeu de puissance dans les deux premières périodes. Mais les Canucks ont obtenu leurs meilleures chances en troisième, alors qu'aucune pénalité n'a été décernée.
Pour Patrice Bergeron, ses coéquipiers et lui devront être aussi rapides que les Canucks, ou encore éliminer cet aspect de leur jeu dans le deuxième match.
« Nous avons eu un petit relâchement dans les 10 dernières minutes, a-t-il expliqué. Nous devons nous assurer de jouer tout le match. Nous pouvons jouer un jeu rapide comme le leur. »
Le vétéran Mark Recchi note que les Bruins ont été capables de s'ajuster tout au long de la saison.
« Nous avons été en mesure de contrôler le jeu le plus possible, mais nous devons être meilleurs à cinq contre cinq et travailler sur les aspects positifs de notre jeu de puissance. »
Pour Bergeron, la clé pour battre Roberto Luongo sera d'obtenir de meilleurs lancers.
« On a pu décocher quelques bons lancers, mais pas nécessairement de l'enclave, a-t-il expliqué. On peut améliorer cela et nous assurer de nous battre pour gagner notre position au devant du filet. Ils font du beau boulot pour nous y bloquer l'accès, mais on doit trouver une solution pour s'y rendre. »
Ils disaient vouloir éviter le jeu de puissance des Canucks, qui a inscrit 17 buts au cours de leurs 18 premiers matchs éliminatoires pour un taux d'efficacité de 28 pour cent. Les gros attaquants des Bruins utiliseraient ainsi à fond l'échec avant à forces égales afin de créer des chances de marquer.
Il faut faire attention à ce que l'on souhaite.
Alors qu'ils préparent le deuxième match de la série, les Bruins cherchent maintenant à s'ajuster au rapide jeu de transition des Canucks à cinq contre cinq.
« C'était assez simple, a dit l'entraîneur-chef des Bruins, Claude Julien. Ils nous ont battus à cinq contre cinq et je crois que nos unités spéciales ont été aussi bonnes sinon meilleures que les leurs. Sans aucun doute, ils ont été la meilleure équipe à cinq contre cinq. »
Le match a été très serré, les deux clubs bénéficiant de plus de 16 minutes de jeu de puissance dans les deux premières périodes. Mais les Canucks ont obtenu leurs meilleures chances en troisième, alors qu'aucune pénalité n'a été décernée.
Pour Patrice Bergeron, ses coéquipiers et lui devront être aussi rapides que les Canucks, ou encore éliminer cet aspect de leur jeu dans le deuxième match.
« Nous avons eu un petit relâchement dans les 10 dernières minutes, a-t-il expliqué. Nous devons nous assurer de jouer tout le match. Nous pouvons jouer un jeu rapide comme le leur. »
Le vétéran Mark Recchi note que les Bruins ont été capables de s'ajuster tout au long de la saison.
« Nous avons été en mesure de contrôler le jeu le plus possible, mais nous devons être meilleurs à cinq contre cinq et travailler sur les aspects positifs de notre jeu de puissance. »
Pour Bergeron, la clé pour battre Roberto Luongo sera d'obtenir de meilleurs lancers.
« On a pu décocher quelques bons lancers, mais pas nécessairement de l'enclave, a-t-il expliqué. On peut améliorer cela et nous assurer de nous battre pour gagner notre position au devant du filet. Ils font du beau boulot pour nous y bloquer l'accès, mais on doit trouver une solution pour s'y rendre. »