L'équipe avant les fleurs pour Luongo
Vancouver Canucks mercredi, 28 mars 2007. 20:22 mercredi, 11 déc. 2024. 17:50
VANCOUVER - Il est le meilleur gardien de l'histoire des Canucks de Vancouver, mais Roberto Luongo fait peu de cas de ses succès personnels. Il ne pense qu'aux succès de l'équipe.
C'est principalement le travail de ce grand gardien qui a fait que les Canucks sont déjà assurés d'une participation aux séries, eux qui avaient raté les éliminatoires la saison dernière.
Il est difficile d'imaginer que les Canucks auraient un dossier de 45-23-7, ce qui leur confère le premier rang de la section nord-est sans Luongo qu'ils ont obtenu le printemps dernier dans un échange avec la Floride pour les services de Todd Bertuzzi.
Le Montréalais a été devant le filet lors de 44 des 45 victoires des siens et a commencé 70 matches. Il a fait une grande différence comme le montre la fiche de 29-10-7 des Canucks dans des matches qui se sont soldés par la différence d'un point.
Mais Luongo ne veut pas parler de ce qu'il a fait pour l'équipe. Il préfère insister sur ce que ses coéquipiers ont fait pour l'aider.
"Je n'ai pas fait cela tout seul, a-t-il dit lors d'une conférence téléphonique. Il faut le travail de 20 joueurs pour avoir du succès et mériter une place en séries.
"Nous avons travaillé en équipe pendant toute la saison. Nous avons réussi ensemble et nous voulons en faire encore plus pendant les séries."
Avant les matches de mercredi, Luongo partageait le premier rang de la LNH pour le nombre de victoires, soit 44, était troisième avec une moyenne d'efficacité de .922 et cinquième avec une moyenne de buts alloués de 2.26.
On mentionne son nom en même temps que ceux de Brodeur et de Sidney Crosby quand on parle des candidats pour le trophée Hart, remis au joueur par excellence de la ligue. Mais le seul trophée qui importe à Luongo pour l'instant est la coupe Stanley.
"Honnêtement, je ne pense pas beaucoup à ces histoires de joueur par excellence, a dit Luongo. J'imagine que c'est un honneur qu'on mentionne notre nom.
"Mais entre temps, j'ai un travail à faire et je pense que le travail de mes coéquipiers a beaucoup à faire avec le fait que mon nom a été mentionné. Nous verrons tout cela après la fin de la saison. Mais pour l'instant, je veux me concentrer sur le travail qu'il me faut faire pour aider mon équipe."
Par contre, Luongo accorde son vote à Crosby pour le titre de joueur par excellence.
"Sid domine les marqueurs de la ligue, a-t-il dit. Il est certes un des meilleurs candidats."
Luongo ne s'en fait pas non plus avec la possibilité d'établir un nouveau record de victoires pour un gardien.
Autant lui que Brodeur peuvent battre la marque de 47 victoires, marque établie par Bernard Parent, des Flyers de Philadelphie en 1973-1974.
"Pour moi, ce record n'est pas très important, a-t-il dit. Je crois que les données ont changé à cause des victoires en fusillades. Le record ne veut pas dire autant."
Parent a mérité ses 47 victoires quand il n'y avait ni période supplémentaire ni fusillade dans la LNH. Cette année-là, Parent a mérité 12 verdicts nuls en plus de ses 47 victoires.
C'est principalement le travail de ce grand gardien qui a fait que les Canucks sont déjà assurés d'une participation aux séries, eux qui avaient raté les éliminatoires la saison dernière.
Il est difficile d'imaginer que les Canucks auraient un dossier de 45-23-7, ce qui leur confère le premier rang de la section nord-est sans Luongo qu'ils ont obtenu le printemps dernier dans un échange avec la Floride pour les services de Todd Bertuzzi.
Le Montréalais a été devant le filet lors de 44 des 45 victoires des siens et a commencé 70 matches. Il a fait une grande différence comme le montre la fiche de 29-10-7 des Canucks dans des matches qui se sont soldés par la différence d'un point.
Mais Luongo ne veut pas parler de ce qu'il a fait pour l'équipe. Il préfère insister sur ce que ses coéquipiers ont fait pour l'aider.
"Je n'ai pas fait cela tout seul, a-t-il dit lors d'une conférence téléphonique. Il faut le travail de 20 joueurs pour avoir du succès et mériter une place en séries.
"Nous avons travaillé en équipe pendant toute la saison. Nous avons réussi ensemble et nous voulons en faire encore plus pendant les séries."
Avant les matches de mercredi, Luongo partageait le premier rang de la LNH pour le nombre de victoires, soit 44, était troisième avec une moyenne d'efficacité de .922 et cinquième avec une moyenne de buts alloués de 2.26.
On mentionne son nom en même temps que ceux de Brodeur et de Sidney Crosby quand on parle des candidats pour le trophée Hart, remis au joueur par excellence de la ligue. Mais le seul trophée qui importe à Luongo pour l'instant est la coupe Stanley.
"Honnêtement, je ne pense pas beaucoup à ces histoires de joueur par excellence, a dit Luongo. J'imagine que c'est un honneur qu'on mentionne notre nom.
"Mais entre temps, j'ai un travail à faire et je pense que le travail de mes coéquipiers a beaucoup à faire avec le fait que mon nom a été mentionné. Nous verrons tout cela après la fin de la saison. Mais pour l'instant, je veux me concentrer sur le travail qu'il me faut faire pour aider mon équipe."
Par contre, Luongo accorde son vote à Crosby pour le titre de joueur par excellence.
"Sid domine les marqueurs de la ligue, a-t-il dit. Il est certes un des meilleurs candidats."
Luongo ne s'en fait pas non plus avec la possibilité d'établir un nouveau record de victoires pour un gardien.
Autant lui que Brodeur peuvent battre la marque de 47 victoires, marque établie par Bernard Parent, des Flyers de Philadelphie en 1973-1974.
"Pour moi, ce record n'est pas très important, a-t-il dit. Je crois que les données ont changé à cause des victoires en fusillades. Le record ne veut pas dire autant."
Parent a mérité ses 47 victoires quand il n'y avait ni période supplémentaire ni fusillade dans la LNH. Cette année-là, Parent a mérité 12 verdicts nuls en plus de ses 47 victoires.