L'unité spéciale des Blackhawks quasi-parfaite et un refrain chez les Kings: revers de 2-1 à l'étranger
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 21:08 dimanche, 2 juin 2013. 12:58L’unité spéciale des Blackhawks de Chicago est quasi-parfaite
Elle n’a concédé qu’un but en 43 désavantages numériques dans les séries
On peut dire que l’unité spéciale des Blackhawks de Chicago, qui écoule le temps sur les punitions est vraiment à point, car elle frise la perfection depuis le début des séries éliminatoires et aussi auparavant.
En effet, la formation dirigée par Joel Quenneville, qui a un dossier de 9–4 dans ses 13 premiers matchs en séries, a écoulé avec succès 42 des 43 désavantages numériques (97,67%) qu’elle a affrontés, ayant présenté un dossier parfait de 17 en 17 (100,0%) lors des cinq matchs disputés contre le Wild du Minnesota lors de la première ronde, un rendement de 23 en 24 (95,83%) dans la série de sept matchs contre les Red Wings de Detroit et fut parfaite lors des deux désavantages du premier match contre les Kings de Los Angeles.
Il n’y a eu que Jakub Kindl, des Red Wings de Detroit, qui a réussi un but dans ces circonstances, lors du quatrième match de la deuxième série, à 10 :03 de la deuxième période, dans un gain de 2 à 0, le 23 mai dernier.
Ce but brisait l’égalité de 0–0 et s’avérait le filet victorieux et aurait pu coûter cher aux Blackhawks, car il permettait aux Red Wings de prendre une avance de 3–1 après les quatre premiers matchs de cette série, mais l’équipe de la ville des vents a réussi à faire renverser la vapeur et remporter cette deuxième ronde dans la limite de sept matchs.
Les Blackhawks ont été parfaits en sept matchs à domicile, écoulant avec succès 23 désavantages numériques et n’ont flanché qu’une fois en 20 infériorités dans leurs cinq rencontres disputées à l’étranger.
Encore plus, les Blackhawks ont même réussi à marquer un but en désavantage numérique (Michael Frolik, face au Wild du Minnesota, lors du match du 3 mai), ce qui revient à dire qu‘ils sont 1–1 dans les buts marqués-concédés lorsqu‘ils évoluent en désavantage numérique dans les présentes séries !
Ils n'ont concédé qu’un but lors des 52 derniers désavantages numériques !
Le succès des Blackhawks à ce chapitre ne date pas d’hier, car ce fut une haute efficacité durant toute la saison régulière, eux qui ont présenté une moyenne de 87,23%, ne concédant que 18 buts (le plus bas total de la LNH) en 141 désavantages numériques, la troisième plus haute efficacité de tout le circuit.
Ils ont eu un dossier ordinaire de 84,51% (15e rang de la LNH), concédant 11 buts concédés en 71 désavantages en 24 matchs à domicile, mais ont été tout simplement extraordinaires à l’étranger, ne concédant que sept buts en 70 infériorités, une efficacité de 90,00%, la plus élevée du circuit à l’extérieur.
Depuis le 14 avril dernier, les Blackhawks ont écoulé avec succès 65 de leurs 67 derniers désavantages numériques (97,01%), ne cédant que deux fois en 21 rencontres, le seul but de la fin du calendrier régulier ayant été réussi par Jannik Hansen, des Canucks de Vancouver, à 14:28 de la première période, dans un revers de 3 à 1, le 22 avril, au Rogers Arena.
Depuis cette défaillance, les Blackhawks ont concédé un seul but en 52 désavantages, aucun lors des neuf derniers du calendrier régulier et un en 43 lors des présentes éliminatoires.
Que feront les Blackhawks à ce chapitre d’ici la fin de cette série face aux Kings de Los Angeles, les champions de la Coupe Stanley ?
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Un refrain dans les présentes séries : défaite de 2-1 des Kings à l’étranger …
Ils ont perdu 6 de leurs 7 matchs par ce résultat sur les glaces adverses !
Dans les présentes séries éliminatoires, les bulletins de nouvelles se suivent et se ressemblent pour les Kings de Los Angeles, car on y retrouve une note qui donne l’impression de ne pas avoir été changée : ils ont subi une défaite de 2–1 à l’étranger …
En effet, la formation dirigée par Darryl Sutter, qui a une fiche de 8–6 dans ses 14 premiers matchs en éliminatoires, a une fiche parfaite de 7–0 dans ses sept matchs disputés à domicile, mais a un rendement de 1–6 dans ses sept matchs à l’étranger, où elle a subi pas moins de six défaites par le même résultat de 2 à 1 !
Le seul match qui fut différent est celui du 8 mai, alors que les Kings avaient gagné 3 à 2, en prolongation, face aux Blues de St. Louis, au Scottrade Center, une rencontre que les Kings menaient par le pointage de 2 à 1 vers la fin de la 3e période, avant de voir les Blues créer l’égalité, sur un but de Alex Pietrangelo à 19:15 du troisième vingt, mais de triompher en prolongation, sur un filet du défenseur Slava Voynov.
Soulignons que les quatre derniers matchs des Kings à l’étranger ont été des revers de 2 à 1, eux qui avant de perdre par ce résultat samedi à Chicago, avaient été vaincus de la même manière dans leurs trois matchs disputés face aux Sharks de San Jose, au HP Pavilion, lors de leur deuxième série.
L’attaque a été anémique lors de leurs sept matchs éliminatoires, n’ayant réussi que neuf buts, une plus que médiocre moyenne de 1,29 par rencontre.
Que feront les Kings lors du deuxième match de la présente série face aux Blackhawks, qui viennent de gagner leurs quatre derniers matchs et qui n’ont concédé que six buts lors de cette séquence ?
LES MATCHS À L’ÉTRANGER DES KINGS DE LOS ANGELES
(LES SEPT MATCHS EN SÉRIES ÉLIMINATOIRES)
30 avril 2013-Los Angeles 1 à St. Louis 2 (prol.)
2 mai 2013-Los Angeles 1 à St. Louis 2
8 mai 2013-Los Angeles 3 à St. Louis 2 (prol.)
18 mai 2013-Los Angeles 1 à San Jose 2 (prol.)
21 mai 2013-Los Angeles 1 à San Jose 2
26 mai 2013-Los Angeles 1 à San Jose 2
1 juin 2013-Los Angeles 1 à Chicago 2
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