La douleur est vive chez les Canucks
Hockey jeudi, 16 juin 2011. 00:56 vendredi, 13 déc. 2024. 15:54
VANCOUVER - Ça devait être leur année. Ils ont remporté le trophée des Présidents, c'est un de leurs joueurs qui a terminé au premier rang des marqueurs de la LNH en saison et leur gardien est candidat au trophée Vézina.
Tous les ingrédients semblaient réunis... Ou presque.
La saison de conte de fées des Canucks de Vancouver n'a pas eu la fin espérée, mercredi soir. Ceux qui devaient tout rafler a finalement vu les Bruins de Boston remporter la coupe Stanley, sous leurs yeux et devants leurs partisans.
C'est évidemment une façon très décevante pour mettre fin à la meilleure saison de l'histoire des Canucks, qui participaient à la finale de la coupe Stanley pour la première fois en 17 ans.
«Tout le monde est déçu, a admis l'entraîneur des Canucks Alain Vigneault. Les joueurs ont fait de leur mieux, mais en bout de ligne, il faut donner le crédit aux Bruins, qui ont joué un match très solide. Ils comptent sur un excellent gardien (Tim Thomas) et ils ont été capables de marquer quelques buts difficiles autour de notre filet et ils méritaient de gagner.»
«Ils ne donnent pas grand-chose et lorsqu'ils le font, leur gardien fait les arrêts», a dit Roberto Luongo, qui a connu une finale en dents de scie, étant retiré de son filet à deux reprises et réalisant aussi deux jeux blancs.
Ce match no 7 en fut donc un autre crève-coeur pour les Canucks, qui n'ont toujours pas remporté de titre, et pour leurs partisans atterrés, qui sont restés par quelques milliers pour apercevoir la coupe.
Mark Messier et les Rangers de New York avaient gagné le match no 7 lors de la dernière présence des Canucks en finale, en 1994. Cette fois, c'est Thomas qui a réduit au silence l'équipe la plus productive de la LNH et effacé presque quatre décennies de déceptions en séries des Bruins. C'est aussi en partie lui qui a détruit le rêve d'une ville entière de voir la coupe Stanley parader dans le Stanley Park.
«Tout le monde dans notre situation en ce moment ressentirait une grande déception, que vous soyez favoris ou non, a ajouté Vigneault. Nous avons bataillé très fort. Nous avons fait de notre mieux, ils étaient une meilleure équipe. C'est simple.»
Tous les ingrédients semblaient réunis... Ou presque.
La saison de conte de fées des Canucks de Vancouver n'a pas eu la fin espérée, mercredi soir. Ceux qui devaient tout rafler a finalement vu les Bruins de Boston remporter la coupe Stanley, sous leurs yeux et devants leurs partisans.
C'est évidemment une façon très décevante pour mettre fin à la meilleure saison de l'histoire des Canucks, qui participaient à la finale de la coupe Stanley pour la première fois en 17 ans.
«Tout le monde est déçu, a admis l'entraîneur des Canucks Alain Vigneault. Les joueurs ont fait de leur mieux, mais en bout de ligne, il faut donner le crédit aux Bruins, qui ont joué un match très solide. Ils comptent sur un excellent gardien (Tim Thomas) et ils ont été capables de marquer quelques buts difficiles autour de notre filet et ils méritaient de gagner.»
«Ils ne donnent pas grand-chose et lorsqu'ils le font, leur gardien fait les arrêts», a dit Roberto Luongo, qui a connu une finale en dents de scie, étant retiré de son filet à deux reprises et réalisant aussi deux jeux blancs.
Ce match no 7 en fut donc un autre crève-coeur pour les Canucks, qui n'ont toujours pas remporté de titre, et pour leurs partisans atterrés, qui sont restés par quelques milliers pour apercevoir la coupe.
Mark Messier et les Rangers de New York avaient gagné le match no 7 lors de la dernière présence des Canucks en finale, en 1994. Cette fois, c'est Thomas qui a réduit au silence l'équipe la plus productive de la LNH et effacé presque quatre décennies de déceptions en séries des Bruins. C'est aussi en partie lui qui a détruit le rêve d'une ville entière de voir la coupe Stanley parader dans le Stanley Park.
«Tout le monde dans notre situation en ce moment ressentirait une grande déception, que vous soyez favoris ou non, a ajouté Vigneault. Nous avons bataillé très fort. Nous avons fait de notre mieux, ils étaient une meilleure équipe. C'est simple.»