Le départ de Cole fait mal à Eric Staal
Hockey mardi, 25 oct. 2011. 15:39 jeudi, 12 déc. 2024. 23:03
Le centre des Hurricanes de la Caroline Eric Staal ne connaît pas le début de saison espéré et le départ d'Erik Cole pourrait être en partie une des raisons qui explique sa mince production.
Staal a touché la cible trois fois en 2011-12, les trois fois en avantage numérique en huit parties. Il a également une passe et un ratio de moins dix au chapitre des plus et des moins. Selon le quotidien News Observer, Staal fait tout ce qu'il peut pour se concentrer sur le hockey et pour garder son esprit vif.
L'équipe n'a toujours pas trouvé son rythme de croisière comme en témoigne sa fiche de 3-3-2. Les Canes se mesurent aux Sénateurs d'Ottawa ce soir.
Staal éprouve des ennuis à développer une belle chimie avec ses compagnons de trio. La chimie n'est certes pas la même qu'il avait développée quand Cole était son ailier droit. L'entraîneur Paul Maurice a tenté des expériences avec Jeff Skinner et Alexei Ponikarovsky à l'aile gauche. Maurice a aussi essayé Tuomo Ruutu et Chad LaRose sur l'aile à droite.
À l'entraînement lundi, Ruutu était de retour à la droite de Staal après avoir été envoyé sur le trio de Jussi Jokinen avec lequel il a marqué une fois dans la défaite de 5-3 samedi devant les Jets de Winnipeg. Pour sa part, Ponikarovsky est demeuré à l'aile gauche.
Le jeu de Staal à égalité numérique n'est pas au point et il a déclaré qu'avoir Ruutu à sa droite n'était pas la même chose que de jouer avec Cole, cet attaquant de puissance qui a compté 26 buts, mais qui a quitté pour le Canadien en juillet dernier comme joueur autonome.
"Il est un joueur différent d'Erik, a dit Saal. Ruutu est un joueur définitivement physique et agressif. Quand il est à son mieux, il effectue un échec avant solide."
Staal n'a pas cherché à discréditer Ruutu. Il cherchait plutôt à faire le point sur son style de jeu, qui est différent de son ancien coéquipier. "Espérons pour lui et pour moi qu'on puisse continuer à grandir ensemble tout en aidant l'équipe à gagner."
Il y a aussi lieu de se demander si Staal est toujours affecté d'avoir fait subir une commotion cérébrale à son frère Marc des Rangers de New York, le 22 février dernier au RBC Center. Marc, qui est encore affecté par les symptômes post commotion, n'a toujours pas joué cette saison même s'il a participé aux séries éliminatoires le printemps dernier.
Samedi dernier à Winnipeg, Eric Staal a retenu l'attention de la section des sports du Globe & Mail qui publiait une grande photo de la mise en échec qu'il a assénée à son frère. Le titre qui coiffait l'article était "Blood Brothers: Marc Staal hasn't played since Eric gave him a concussion."
"Ce n'est pas ce à quoi je m'attendais en ouvrant le journal, a avoué Eric. Vous n'allez pas souvent au Canada et vous voyez quelque chose du genre dans le Globe & Mail."
"C'est encore difficile à accepter. Si je pouvais revenir en arrière, je le ferais parce que c'est mon frère et quelqu'un dont je suis très proche. Mais c'est arrivé. C'est le genre de jeu que vous devez tenter d'oublier et d'aller de l'avant."
Paul Maurice ne croit pas que les ennuis de santé de Marc Staal influencent le jeu d'Eric. "Au cours de sa carrière, Eric a dû faire face à de sérieux problèmes familiaux et il a toujours su très bien s'en tirer. La commotion est survenue à la suite d'un jeu légal. Je comprends qu'il soit inquiet pour son frère comme tout membre d'une famille et il est inquiet pour la carrière de son frère, mais il ne doit certainement pas laisser les événements le déranger."
Staal a touché la cible trois fois en 2011-12, les trois fois en avantage numérique en huit parties. Il a également une passe et un ratio de moins dix au chapitre des plus et des moins. Selon le quotidien News Observer, Staal fait tout ce qu'il peut pour se concentrer sur le hockey et pour garder son esprit vif.
L'équipe n'a toujours pas trouvé son rythme de croisière comme en témoigne sa fiche de 3-3-2. Les Canes se mesurent aux Sénateurs d'Ottawa ce soir.
Staal éprouve des ennuis à développer une belle chimie avec ses compagnons de trio. La chimie n'est certes pas la même qu'il avait développée quand Cole était son ailier droit. L'entraîneur Paul Maurice a tenté des expériences avec Jeff Skinner et Alexei Ponikarovsky à l'aile gauche. Maurice a aussi essayé Tuomo Ruutu et Chad LaRose sur l'aile à droite.
À l'entraînement lundi, Ruutu était de retour à la droite de Staal après avoir été envoyé sur le trio de Jussi Jokinen avec lequel il a marqué une fois dans la défaite de 5-3 samedi devant les Jets de Winnipeg. Pour sa part, Ponikarovsky est demeuré à l'aile gauche.
Le jeu de Staal à égalité numérique n'est pas au point et il a déclaré qu'avoir Ruutu à sa droite n'était pas la même chose que de jouer avec Cole, cet attaquant de puissance qui a compté 26 buts, mais qui a quitté pour le Canadien en juillet dernier comme joueur autonome.
"Il est un joueur différent d'Erik, a dit Saal. Ruutu est un joueur définitivement physique et agressif. Quand il est à son mieux, il effectue un échec avant solide."
Staal n'a pas cherché à discréditer Ruutu. Il cherchait plutôt à faire le point sur son style de jeu, qui est différent de son ancien coéquipier. "Espérons pour lui et pour moi qu'on puisse continuer à grandir ensemble tout en aidant l'équipe à gagner."
Il y a aussi lieu de se demander si Staal est toujours affecté d'avoir fait subir une commotion cérébrale à son frère Marc des Rangers de New York, le 22 février dernier au RBC Center. Marc, qui est encore affecté par les symptômes post commotion, n'a toujours pas joué cette saison même s'il a participé aux séries éliminatoires le printemps dernier.
Samedi dernier à Winnipeg, Eric Staal a retenu l'attention de la section des sports du Globe & Mail qui publiait une grande photo de la mise en échec qu'il a assénée à son frère. Le titre qui coiffait l'article était "Blood Brothers: Marc Staal hasn't played since Eric gave him a concussion."
"Ce n'est pas ce à quoi je m'attendais en ouvrant le journal, a avoué Eric. Vous n'allez pas souvent au Canada et vous voyez quelque chose du genre dans le Globe & Mail."
"C'est encore difficile à accepter. Si je pouvais revenir en arrière, je le ferais parce que c'est mon frère et quelqu'un dont je suis très proche. Mais c'est arrivé. C'est le genre de jeu que vous devez tenter d'oublier et d'aller de l'avant."
Paul Maurice ne croit pas que les ennuis de santé de Marc Staal influencent le jeu d'Eric. "Au cours de sa carrière, Eric a dû faire face à de sérieux problèmes familiaux et il a toujours su très bien s'en tirer. La commotion est survenue à la suite d'un jeu légal. Je comprends qu'il soit inquiet pour son frère comme tout membre d'une famille et il est inquiet pour la carrière de son frère, mais il ne doit certainement pas laisser les événements le déranger."