Luongo s'attire finalement des éloges
Vancouver Canucks vendredi, 3 juin 2011. 20:43 jeudi, 12 déc. 2024. 21:52
Critiqué de toutes parts depuis le début de sa carrière, Roberto Luongo est maintenant un candidat au trophée Conn Smythe remis au joueur par excellence des séries et il pourra être reconnu comme un gagnant plus que jamais s'il touche finalement à la coupe Stanley.
Selon son entraîneur, Luongo n'a jamais aussi bien joué en carrière
«Tous nos joueurs constatent facilement que Roberto est en pleine confiance et que sa volonté de gagner chaque partie est énorme. Je ne sais pas si elle est plus grande qu'elle pouvait l'être, mais il n'y aucun doute qu'il est un gagnant et il est en train de le prouver», a expliqué Alain Vigneault.
«Évidemment, les médias disaient tantôt qu'il joue le meilleur hockey de sa carrière. Mais je trouve qu'il joue très bien surtout depuis qu'il est avec nous à Vancouver. Il ne reçoit jamais le crédit qu'il mérite à Vancouver, mais je ne comprends pas pourquoi. Après tout, il arrête près de 40 tirs par match et son pourcentage d'arrêts se situe toujours parmi les meilleurs de la ligue», a ajouté Alex Burrows.
«Roland Melanson m'a aidé et ça fait aussi huit ou neuf séries consécutives que nous gagnons le premier match. La préparation mentale et physique sont aussi des facteurs qui jouent un grand rôle», a déclaré Luongo.
Pressé de commenter ses performances par les journalistes, Luongo s'est contenté de dire que s'il se retrouve en finale, c'est qu'il joue bien. Il se dépêche aussi d'avouer qu'il faut donner beaucoup de mérite à ses coéquipiers.
«Je peux seulement obtenir du succès avec de bonnes performances de mon équipe devant moi. Si mes coéquipiers jouent bien, je vais réussir de bons résultats et vice-versa. Je dois les aider et leur donner la confiance de jouer à la hauteur de leur potentiel», ajoute le gardien québécois.
La dernière fois que Luongo a disputé plus de 12 matchs en séries, c'était en 1998-99 alors le Titan de l'Acadie-Bathurst avait remporté la coupe du Président face aux Olympiques de Hull de Claude Julien.
*D'après un reportage de Renaud Lavoie
Selon son entraîneur, Luongo n'a jamais aussi bien joué en carrière
«Tous nos joueurs constatent facilement que Roberto est en pleine confiance et que sa volonté de gagner chaque partie est énorme. Je ne sais pas si elle est plus grande qu'elle pouvait l'être, mais il n'y aucun doute qu'il est un gagnant et il est en train de le prouver», a expliqué Alain Vigneault.
«Évidemment, les médias disaient tantôt qu'il joue le meilleur hockey de sa carrière. Mais je trouve qu'il joue très bien surtout depuis qu'il est avec nous à Vancouver. Il ne reçoit jamais le crédit qu'il mérite à Vancouver, mais je ne comprends pas pourquoi. Après tout, il arrête près de 40 tirs par match et son pourcentage d'arrêts se situe toujours parmi les meilleurs de la ligue», a ajouté Alex Burrows.
«Roland Melanson m'a aidé et ça fait aussi huit ou neuf séries consécutives que nous gagnons le premier match. La préparation mentale et physique sont aussi des facteurs qui jouent un grand rôle», a déclaré Luongo.
Pressé de commenter ses performances par les journalistes, Luongo s'est contenté de dire que s'il se retrouve en finale, c'est qu'il joue bien. Il se dépêche aussi d'avouer qu'il faut donner beaucoup de mérite à ses coéquipiers.
«Je peux seulement obtenir du succès avec de bonnes performances de mon équipe devant moi. Si mes coéquipiers jouent bien, je vais réussir de bons résultats et vice-versa. Je dois les aider et leur donner la confiance de jouer à la hauteur de leur potentiel», ajoute le gardien québécois.
La dernière fois que Luongo a disputé plus de 12 matchs en séries, c'était en 1998-99 alors le Titan de l'Acadie-Bathurst avait remporté la coupe du Président face aux Olympiques de Hull de Claude Julien.
*D'après un reportage de Renaud Lavoie