Le vétéran Martin St-Louis, des Rangers de New York, en arrache en attaque, lui qui ne semble pas en mesure de produire sur le plan offensif dans les présentes éliminatoires.

En effet, à l’aube de la quarantaine (il aura 40 ans le 18 juin), le petit joueur, qui avait présenté un rendement de 21-31-52 avec un différentiel de plus 12 lors de ses 74 matchs réguliers de la saison, n’a pas encore trouvé le fond du filet dans les présentes séries, affichant un dossier de 0-4-4 avec un différentiel de plus trois, 23 tirs au but et un temps d’utilisation de 17:37 minutes, en 11 rencontres éliminatoires.

Après avoir obtenu seulement quatre tirs lors de ses quatre premiers matchs, il a lancé 19 fois sur les gardiens lors des sept dernières parties, dont six tirs, lors du match du 24 avril, un gain de 2-1, en prolongation, face aux Penguins de Pittsburgh et quatre lancers, lors du revers de 2-1, le 30 avril, face aux Capitals de Washington.

Cela lui fait un dossier global de 0-7-7 avec un différentiel de plus cinq lors de ses 14 derniers matchs, lui qui avait terminé le calendrier avec une fiche de 0-3-3 avec un différentiel de plus deux lors de ses trois derniers matchs réguliers et dont le dernier but remonte au 6 avril, dans un gain de 4-3, en prolongation, face aux Blue Jackets de Columbus, au Madison Square Garden.

En tenant seulement compte des séries éliminatoires, il est 0-4-4 avec un différentiel de plus deux lors de ses 12 dernières parties, ayant été rayé de la feuille de pointage (moins un), lors du dernier match des séries de l’an dernier, lui dont le dernier but remonte au 11 juin 2014, dans un gain de 2-1, au Madison Square Garden et ce filet victorieux permettait aux Rangers d’éviter un balayage.

Soulignons que l’an dernier, St-Louis, qui avait été obtenu du Lightning de Tampa Bay, avait eu un rendement de 8-7-15 avec un différentiel ordinaire de moins cinq en 25 matchs éliminatoires, ayant aidé son équipe à se rendre en finale, s’inclinant en cinq matchs, face aux Kings de Los Angeles.

Il avait eu un rendement de 2-4-6 en sept matchs, contre les Flyers de Philadelphie, lors de la première ronde, un dossier de 1-1-2 en sept matchs, face aux Penguins de Pittsburgh, dans la deuxième ronde, un dossier de 3-2-5 dans les six matchs de la finale de l’Association de l’est, contre le Canadien de Montréal et de 2-0-2 dans les cinq matchs de la finale, contre les Kings de Los Angeles.

Il avait eu un différentiel égal dans chacune des trois premières séries, mais de moins cinq dans la grande finale.

Il disputera mercredi son 100e match dans les éliminatoires

En carrière, St-Louis affiche un dossier de 41-46-87 avec un différentiel de plus cinq en 99 matchs éliminatoires et un fait à souligner, il a réussi 11 buts victorieux et il disputera le 100e match de sa carrière, un duel décisif, face aux Capitals de Washington, en ce mercredi, 13 mai 2015.

Va-t-il remporter la Coupe Stanley, la veille de son 40e anniversaire?

Il pourrait arriver une chose intéressante dans le cas de Martin St-Louis, car il aura 40 ans le 18 juin et la dernière journée possible pour la septième partie de la finale de la Coupe Stanley sera le 17 juin 2015 et verrons-nous l’électrisant joueur soulever ce trophée pour la deuxième fois de sa carrière, à quelques minutes de la quarantaine ?

Dans le cas de St-Louis, il tentera de frapper dans le mille, lors de son 100e match à vie en séries de fin de saison, lui qui si les Rangers l'emportaient ce soir, serait confronté à son ancienne équipe pour la finale de l'Association de l'est.

Les Rangers ont une fiche de 8-5 dans les 7e matchs, 6-0 à domicile et 2-5 à l’étranger

Les Rangers de New York vont disputer une septième rencontre pour déterminer un vainqueur lors de leur deuxième série, face aux Capitals de Washington.

Malgré le fait qu’ils soient dans la LNH depuis 1926-1927, les Rangers de New York n’ont pas été impliqués dans beaucoup de séries qui ont atteint la limite de sept matchs dans les séries quatre-de-sept en séries éliminatoires.

En effet, la formation dirigée par Alain Vigneault n’a été impliquée que dans 13 séries qui ont atteint la limite de sept rencontres et elle présente une fiche de 8-5 lors de ces 13 séries.

Soulignons que les Rangers doivent être contents de disputer ce 7e match à domicile, car ils ont une fiche parfaite de 6-0 en six matchs locaux dans ces circonstances, comparativement à un piètre dossier de 2-5 lors des sept rencontres qui ont été disputées à l’étranger.

L’an dernier, les Rangers avaient réussi à triompher deux fois dans ces circonstances, lors de leurs deux premières séries, face aux Flyers de Philadelphie (à domicile) et les Penguins de Pittsburgh (à l’étranger), lors de ces séries.

En 2012-2013, les Rangers avaient vaincu les Capitals de Washington, 5-0, lors du match décisif, au Verizon Center, le 13 mai 2013 et c’était la première fois de leur histoire qu’ils gagnaient un septième match à l’étranger.

Il faut aussi tenir compte que les Blue Shirts ont un dossier parfait de 5-0 lors de leurs cinq dernières séries qui ont atteint la limite de sept rencontres, leur dernier revers à ce chapitre remontant à la saison 2008-2009, alors qu’ils avaient baissé pavillon, face aux Capitals de Washington, lors de la première ronde, une série qu’ils menaient 3-1 après quatre matchs.

Les Rangers de NY ont surmonté une seule fois un retard de 1-3 pour triompher 4-3 

S’ils veulent atteindre la finale de l’Association de l’est, les Rangers de New York devront réaliser un exploit qu’ils n’ont pas fait souvent dans toute leur histoire : surmonter un retard de 1-3 pour remporter une série quatre-de-sept.

En effet, les Blue Shirts, n’ont réalisé ce genre de retour victorieux qu’’une seule fois affichant un dossier de 1-15 en 16 tentatives dans ces circonstances.

Cette remontée est survenue l’an dernier, dans la deuxième ronde, face aux Penguins de Pittsburgh, alors qu’ils avaient surmonté ce retard de 1-3 pour gagner en sept matchs, dont le gain décisif, au Consol Energy Center.

En 11 occasions, les séries ont pris fin en cinq matchs (1-4), trois fois en six rencontres (2-4) et deux fois dans la limite de sept parties (3-4 et 4-3), lors de la première série quatre-de-sept de leur histoire en 1938-1939.

Lors de cette série-là, les Rangers accusaient un retard de 0-3 après trois matchs, face aux Bruins de Boston, dans la demi-finale et avaient réussi à créer l’égalité 3-3, remportant les trois matchs suivants, avant de s’incliner 2-1, en 3e prolongation, lors du septième et décisif match, le 2 avril 1939, au Boston Garden.

 

Les Rangers n’ont pas marqué en deuxième période, à domicile !

On dirait que les Rangers de New York semblent paralysés lorsqu’ils amorcent la deuxième période, surtout dans leurs matchs locaux.

En effet, la formation dirigée par Alain Vigneault, qui n’a marqué que 22 buts en 11 matchs éliminatoires, n’a pas réussi à déjouer les gardiens adverses lors de la deuxième période de ses six rencontres disputées au Madison Square Garden, ayant concédé six buts à ses adversaires lors de cette période médiane.

Au total, les Rangers, lors de leurs 11 matchs, ont été dominants lors de la première période, surclassant leurs adversaires 9-2 au chapitre des buts marqués-concédés, mais ont été surclassés 9-3, lors de la deuxième période et 8-7 lors du troisième vingt.

Ils ont aussi été parfaits en prolongation, marquant trois buts contre aucun pour leurs adversaires.

Soulignons que le rendement des Rangers et un peu à l’image des séries de l’an dernier, car ils avaient eu un rendement de 26-13 lors de la première période, de 23-27 lors de la deuxième période, de 13-16 lors du troisième vingt et de 2-4 lors de la prolongation.

Pendant ce temps, les Capitals n’ont marqué que neuf buts contre 12 pour leurs adversaires lors de leurs six matchs à l’étranger, n’ayant pas eu l’avantage dans aucune des périodes, ayant été surclassés 4-3, lors de la première période, 5-4, lors de la troisième période, 2-1, en prolongation et ce fut l’égalité 1-1, lors de la deuxième période. 

 

Les Capitals de Washington sont pitoyables dans les séries qui ont nécessité sept matchs

Même si le passé ne veut plus rien dire, on peut affirmer que les Capitals de Washington ont une réputation de perdants dans les séries qui nécessitent la limite de sept rencontres.

En effet, la formation dirigée par Barry Trotz affiche un piètre rendement à vie de 4-9 en 13 occasions dans ces circonstances.

Il faut également souligner que les Capitals ont souvent flanché sous la pression à domicile, car leur rendement n’est que de 3-7 en 10 occasions devant leurs partisans dans ces circonstances, comparativement à un rendement de 1-2 dans les trois fois où cela s’est déroulé à l’étranger.

Ils vont à la limite de sept rencontres pour une cinquième série de suite

Les Capitals semblent aimer se retrouver dans des séries qui atteignent la limite, car c’est la cinquième fois de suite qu’ils se rendent à une septième partie.

En 2011-2012, leurs deux séries avaient atteint la limite de sept rencontres et ils avaient triomphé des Bruins de Boston, 2 à 1, en prolongation, lors de la première ronde, avant de s’incliner par le résultat de 2 à 1, face aux Rangers de New York, au deuxième tour.

En 2012-2013, ils avaient subi la défaite dans la septième rencontre, 5-0, à domicile, face aux Rangers de New York, lors de la première ronde, une série qu’ils menaient 3-2 après cinq matchs, mais avaient été blanchis dans les deux dernières parties, dont 1-0, lors de la sixième rencontre.

Cette saison, ils avaient atteint la limite lors de leur première série, l’emportant 2-1, face aux Islanders de New York, lors du match décisif, au Verizon Center, le 27 avril dernier.

Soulignons qu’ils ont subi la défaite dans trois des quatre dernières fois où ils ont disputé une septième partie à domicile, s’inclinant contre les Penguins de Pittsburgh, en 2008-2009, face au Canadien de Montréal, en 2009-2010 et contre les Rangers de New York, en 2012-2013, avant de triompher dans leur première série cette année.

LA FICHE À VIE DES CAPITALS DANS LES 13 SÉRIES DE SEPT MATCHS (4-9)

1986-1987-Demi-finale de section-Islanders de NY 4 Washington 3 (2-3, 4e pro.) (dom)

1987-1988-Demi-finale de section-Washington 4 Philadelphie 3 (5-4, pro.) (dom)

1987-1988-Finale de section-New Jersey 4 Washington 3 (2-3) (dom)

1991-1992-Demi-finale de section-Pittsburgh 4 Washington 3 (1-3) (dom)

1994-1995-Quart-de-Finale-Ass.-Pittsburgh 4 Washington 3 (0-3) (étr)

2007-2008-Quart-de-Finale-Ass.-Philadelphie 4 Washington 3 (2-3, pro.) (dom)

2008-2009-Quart-de-Finale-Ass.-Washington 4 Rangers de NY 3 (2-1) (dom)

2008-2009-Demi-finale-Ass.-Pittsburgh 4 Washington 3 (2-6) (dom)

2009-2010-Quart-de-Finale-Ass.-Montréal 4 Washington 3 (1-2) (dom)

2011-2012-Quart-de-Finale-Ass.-Washington 4 Boston 3 (2-1, pro.) (étr)

2011-2012-Demi-finale-Ass.-Rangers de NY 4 Washington 3 (1-2) (étr)

2012-2013-Quart-de-Finale-Ass.-Rangers de NY 4 Washington 3 (0-5) (dom)

2014-2015-Première série-Ass.-Washington 4 Islanders de NY 3 (2-1) (dom)

(N.B. : les chiffres entre parenthèses indiquent le résultat du septième match.) (dom : domicile ; étr : étranger)

 

Alex Ovechkin imitera-t-il Mark Messier ?

L’attaquant Alex Ovechkin, des Capitals de Washington a fait une déclaration qui ressemblait à celle de Mark Messier, avec les Rangers de New York, le 24 mai 1994.

En effet, Ovechkin a assuré les partisans des Capitals que l’équipe gagnerait le septième et décisif match qui sera disputé ce soir, face aux Rangers de New York, au Madison Square Garden.

On sait que le 24 mai 1994, Mark Messier, le capitaine des Rangers de New York, qui avait vu son équipe subir une défaite de 4-1, face aux Devils du New Jersey, lors de la cinquième rencontre, à domicile, le 23 mai 1994, avait assuré les partisans que les Rangers gagneraient la sixième rencontre, au Meadowlands Arena, le 25 mai pour revenir disputer un match décisif, au Madison Square Garden, le 27 mai.

La prédiction de Mark Messier s’était non seulement réalisée, car les Rangers avaient gagné 4-2, lors du match du 25 mai, mais il avait été tout simplement un dieu, marquant trois buts lors de la seule troisième période, pour voir les siens effectuer un retour victorieux, car ils accusaient un retard de 2-0 après la première période et de 2-1, après le deuxième vingt.

Au troisième vingt, le capitaine Messier était passé de la parole aux actes, marquant trois buts, à 2:45, 12:12 et dans une cage déserte à 18:15, ce qui permettait à son équipe de disputer un 7e et décisif match à domicile, un gain de 2-1, en deuxième prolongation, le 27 mai 1994.

Dans le cas d’Alex Ovechkin, il devra lui aussi secouer sa guigne, car le récipiendaire du Trophée Maurice-Richard de la présente saison, avec 53 buts en 81 matchs, il n’a jamais eu beaucoup de succès dans les matchs décisifs et pis, il affiche un dossier ordinaire de 4-4-8 avec un différentiel de moins quatre et 55 tirs au but (un sommet dans le circuit) lors de ses 13 matchs éliminatoires.

Dans la présente série, il a un dossier de 2-1-3 avec un différentiel de moins un en six rencontres, lui qui après avoir marqué un but dans chacun des deux premiers matchs de cette série contre les Rangers, a été rayé de la feuille de pointage (0-0-0) lors de ses quatre dernières rencontres.

Va-t-il se lever comme l’avait fait Mark Messier, lors du match du 25 mai 1994 ?


 

Le fameux match du 25 mai 199

Il y a une ressemblance étrange entre l’actuelle série entre les Rangers de New York et les Capitals de Washington et celle de la saison 1993-1994.

On se souvient qu’en 1994, les Rangers, qui étaient les favoris, avaient perdu le 5e match (4 à 1), au Madison Square Garden et avaient rebondi avec deux victoires lors des deux derniers matchs de la série pour accéder à la finale et remporter la coupe Stanley.

Le 25 mai 1994, Mark Messier avait prédit une victoire des Rangers, mais les choses n’avaient pas bien débuté, car les Devils avaient pris les devants 2 à 0, lors du premier vingt, sur des buts de Scott Niedermayer et de Claude Lemieux et un filet de l’attaquant Alex Kovalev vers la toute fin de la 2e période, avait permis aux Rangers d’espérer une victoire.

Au troisième vingt, le capitaine Messier était passé de la parole aux actes, marquant trois buts, à 2 :45, 12 :12 et dans une cage déserte à 18 :15, ce qui permettait à son équipe de disputer un 7e et décisif match.

Les Rangers avaient obtenu 36 tirs, dont 35 sur Martin Brodeur, alors que Mike Richter avait reçu 30 lancers de la part des Devils.

C’est Kerry Fraser qui était l’arbitre en chef lors de cette rencontre historique.

Soulignons que le 27 mai 1994, la rencontre décisive avait également été extraordinaire, car les Rangers avaient gagné 2 à 1, sur un but de l’attaquant Stéphane Matteau à 4:24 de la deuxième prolongation, dans un match où le défenseur Brian Leetch avait marqué à 9 :31 de la 2e période, mais un filet de l’attaquant Valeri Zelepukin à 19 :52 de la 3e période, avait tout remis en question.

Voici le sommaire du match du 25 mai 1994.

25 MAI 1994-RANGERS NY 4 NEW JERSEY 2

PREMIÈRE PÉRIODE

1-NJ : Scott Niedermayer (2) (sans aide) 8:03

2-NJ : Claude Lemieux (7) (Niedermayer et Nicholls) 17:32

PUNITIONS : Larmer (Ran) 9:50 ; Holik (NJ) 15:12 ; Driver (NJ) 19:07.

DEUXIÈME PÉRIODE

3-RAN : Alex Kovalev (5) (Messier) 18:19

PUNITIONS : Nicholls (NJ) et Messier (Ran) 14:07 ; Tikkanen (Ran) 18:51.

TROISIÈME PÉRIODE

4-RAN : Mark Messier (8) (Kovalev et Leetch) 2:45

5-RAN : Mark Messier (9) (Kovalev et Leetch) 12:12

6-RAN : Mark Messier (10) (sans aide) (filet désert, désavantage numérique) 18:15

PUNITIONS : Niedermayer (NJ) et Tikkanen (Ran) 11:32 ; Anderson (Ran) 17:11 ; Nicholls (NJ) (dou. min. et inc.), Stevens (NJ) (inc.) et Anderson (Ran) (min. et inc.) 19:40 ; Daneyko (NJ) et Gilbert (Ran) 19:43.

TIRS AU BUT

RANGERS NY-9-13-14-36

NEW JERSEY-13-13-4-30

JEU DE PUISSANCE : RANGERS NY, 0 en 3 ; New Jersey, 0 en 3.

GARDIENS : RANGERS NY, Mike Richter (59:54, 30 tirs) ; NEW JERSEY : Martin Brodeur (58:44, 35 tirs)

OFFICIELS : Kerry Fraser ; JUGES DE LIGNES : Pat Dapuzzo et Gérard Gauthier.

ASSISTANCE : 18 200

 

Le défenseur Kris Russell des Flames a été lamentable contre les Ducks

On peut dire que le défenseur Kris Russell, des Flames de Calgary n’a pas été très reluisant dans la série contre les Ducks d’Anaheim.

En effet, auteur d’un rendement de 2-2-4 avec un différentiel de moins un, lors des six matchs disputés, dans la première ronde, gagnée en six matchs (4-2), face aux Canucks de Vancouver, il a eu une fiche offensive de 0-3-3, mais un misérable différentiel de moins huit, en seulement cinq rencontres, dans la deuxième ronde, perdue (1-4), contre les Ducks d’Anaheim.

On sait qu’il avait donné le ton à la première série, car il avait réussi le but victorieux, à 19 :30 de la troisième période, lors du gain de 2-1, dans le match initial, face aux Canucks de Vancouver, au Rogers Arena, le 15 avril dernier.

Il a eu un différentiel négatif dans les cinq matchs contre les Ducks

Soulignons qu’il a eu un différentiel négatif dans les cinq rencontres disputées face aux Ducks d’Anaheim, dans la deuxième série, affichant un rendement respectif de moins deux, moins un, moins deux, moins deux et moins un.

Dans les 11 matchs éliminatoires, il a été le deuxième joueur le plus utilisé chez la formation dirigée par Bob Hartley, ayant obtenu 26:44 minutes de temps de glace, tout juste derrière le défenseur T.J. Brodie, qui a été utilisé durant 27:07 minutes.

Durant le calendrier régulier, Russell, qui a eu 28 ans le 2 mai dernier et qui avait auparavant endossé l’uniforme des Blue Jackets de Columbus et des Blues de St. Louis, avait présenté un dossier de 4-30-34 avec un excellent différentiel de plus 18 en 79 rencontres.