Pascal Dupuis des Penguins est vraiment superbe cette saison !

Avec sept buts, il domine la LNH en compagnie de Sidney Crosby

Suite à une superbe saison régulière, malgré une tardive léthargie, l’attaquant Pascal Dupuis, des puissants Penguins de Pittsburgh, est encore très productif dans les séries éliminatoires.



En effet, natif de Laval, l’ex-joueurs du Wild du Minnesota, des Rangers de New York et des Thrashers d’Atlanta, qui avait présenté un dossier de 20–18-38 en 48 matchs réguliers, brille encore plus dans les présentes séries éliminatoires, comme l’indique son dossier de 7–3-10 en 10 rencontres.

Il avait ralenti en fin de saison régulière, car il n’avait pas marqué lors de ses sept dernières rencontres, affichant un dossier de 0–4-4, du 13 au 27 avril, tout juste avant le début des éliminatoires.

Son total de sept buts le place au sommet de la LNH à égalité avec l’excellent Sidney Crosby, dont la fiche est de 7–7-14 en neuf rencontres.

Son temps d’utilisation est de 18:30 dans les 10 matchs éliminatoires, le 3e plus élevé des attaquants des Penguins, derrière Sidney Crosby (21:58) et Evgeni Malkin (19:59).

La fiche de Dupuis est vraiment superbe, lui qui avant la présente saison, affichait un dossier de 12–21-33 lors de ses 82 premiers matchs éliminatoires et dont le sommet personnel était de quatre buts, réalisé en 16 matchs (4–4-8) en 2002–2003, dans l’uniforme du Wild du Minnesota, qui était dirigé par Jacques Lemaire.

En 2009–2010, il avait présenté un sommet personnel de huit points (2–6-8) en 13 matchs, alors que lorsqu’il a gagné la Coupe Stanley en 2008–2009, il avait été rayé de la feuille de pointage dans ses 16 matchs éliminatoires !

Lors de la saison régulière de 2011–2012, Dupuis avait connu la meilleure production de sa carrière, affichant un dossier de 25–34-59 en 82 matchs (quatre sommets personnels), lui qui avait réussi pas moins de huit buts victorieux.

En carrière Dupuis, qui a eu 34 ans le 7 avril dernier et qui n’a jamais été repêché par une équipe de la LNH, présente un rendement de 175–199-374 avec un différentiel de plus 56 en 798 matchs réguliers, lui qui est un joueur résistant, ayant participé à 292 des 294 derniers matchs de son équipe depuis le début de la saison 2009–2010.

On sait qu’il deviendra un joueur libre sans restriction à la fin de la présente campagne et qu‘il sera bien placé, malgré ses 34 ans, pour négocier une bonne entente de quelques saisons.

Les Penguins, qui l’avaient obtenu en compagnie de Marian Hossa, en retour de Colby Armstrong, Erik Christensen, Angelo Esposito et un choix de première ronde au repêchage de 2008 (Daultan Leveille), le 26 février 2008, seront-ils en mesure de répondre à ses demandes salariales pour le garder au sein de leur formation, le 1er juillet prochain ?

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Est-ce le dernier match de la carrière de Daniel Alfredsson des Sénateurs d'Ottawa ?

Une superbe carrière, mais aucune victoire de la Coupe Stanley …

En ce vendredi, 24 mai 2013, nous pourrions assister à un moment historique et aussi un peu triste, car c’est peut-être le dernier match de la carrière dans la LNH de l’illustre attaquant Daniel Alfredsson, des Sénateurs d’Ottawa.



En effet, le spectaculaire joueur suédois, qui a eu 40 ans le 11 décembre dernier et qui fut le 5e choix de l’équipe, le 133e au total lors du repêchage de 1994, pourrait disputer son dernier match dans le circuit, si les Sénateurs s’inclinaient ce soir, face aux Penguins de Pittsburgh, dans le cinquième match de cette série quatre-de-sept, dominée actuellement 3–1 par ces derniers.

C’est une excellente carrière qui pourrait prendre fin, car il a présenté en 17 saisons, une fiche 426–682-1108 avec un différentiel de plus 153 en 1178 matchs réguliers, au 56e rang de l’histoire de la LNH et il fut 228–361-589 en 595 matchs locaux et 198–321-519 en 583 matchs à l’étranger.

Alfredsson, dont la meilleure saison fut en 2005–2006, alors qu’il avait présenté une fiche de 43–60-103 (trois sommets personnels) en 77 matchs, a été 10–16-26 en 47 matchs réguliers lors de la saison écourtée.

Dans les présentes séries éliminatoires, il a un rendement de 4–6-10 en neuf matchs et il a une fiche à vie de 51–49-100 en 120 matchs, lui qui est devenu le 55e joueur à atteindre le plateau des 50 buts et le 86e joueur de l’histoire du circuit à atteindre le plateau des 100 points dans les séries de fin de saison.

Une note triste à son dossier : aucune Coupe Stanley en carrière

À l’image de certains joueurs comme Marcel Dionne, Adam Oates, Dale Hawerchuk, Gilbert Perreault, Pierre Turgon et certains autres, Alfredsson n’a pas réussi à boire dans la Coupe Stanley, lui qui a participé aux séries en 14 occasions lors de ses 17 campagnes dans la LNH et il a joué dans la finale une seule fois, en 2006–2007, s’inclinant en cinq matchs (1–4), face aux Ducks d’Anaheim.

Il avait été superbe lors des séries éliminatoires de cette saison-là, affichant un dossier de 14–8-22 en 20 matchs, terminant au premier rang de la LNH pour les buts (14) et les points (22).

Son rendement contre le Canadien de Montréal fut extraordinaire !

On va aussi retenir le fait que Daniel Alfredsson semblait à son meilleur lorsqu’il affrontait le Canadien de Montréal, car il a conservé une fiche à vie de 31–74-105 avec un différentiel de plus 19 en seulement 89 matchs, une moyenne de 1,18 point par rencontre.

Après avoir déclaré après le revers de 7 à 3 de mercredi soir, qu‘il ne croyait pas que les Sénateurs puissent revenir de l‘arrière et remporter la présente série face aux Penguins, celui qui est en nomination pour le Trophée Mark Messier aura la chance de poursuivre sa carrière en aidant les siens à triompher ce soir.

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