Patrick Roy s’approche de Mario Tremblay

Le Bleuet avait gagné ses six premiers matchs comme entraîneuf-chef du CH

Mine de rien, l’entraîneur-chef Patrick Roy, de l’Avalanche du Colorado, qui a remporté ses trois premiers matchs dans la LNH, se rapproche de plus en plus de la fiche de son bon ami Mario Tremblay !



En 1995–1996, Mario Tremblay avait remporté six victoires de suite lors de ses débuts en tant qu’entraîneur-chef du Canadien de Montréal, le 21 octobre 1995 (le premier entraîneur-recrue à gagner ses six premiers matchs dans la LNH), lui qui avait subi son premier revers le 1er novembre 1995, par un résultat de 5–2, face aux Capitals de Washington, à Landover.

Le Canadien, qui avait débuté avec un dossier de 0–5-0 après ses cinq premiers matchs, avait rebondi avec Mario Tremblay, présentant un rendement de 40–27-10 lors des 77 dernières rencontres.

Soulignons que lors du premier match de Mario Tremblay derrière le banc du CH, tout n’avait pas été facile, car l’équipe avait vaincu les Maple Leafs de Toronto (4–3) et le but victorieux avait été réussi à 19:59 de la troisième période et c’est l’attaquant Pierre Turgeon, qui avait joué les héros, au Centre Molson, marquant son 2e but de la rencontre dans la dernière seconde de jeu.

On sait que Patrick Roy et Mario Tremblay ont connu l’un des épisodes les plus sombres de toute l’histoire du Canadien de Montréal, car le 2 décembre 1995, alors que les Red Wings de Detroit, qui avaient écrasé le Tricolore 11–1, au Centre Molson, menaient 9–1 et Tremblay avait tardé avant de remplacer Roy et à son arrivée au banc, ce dernier avait lancé quelques mots au visage du président Ronald Corey et ce fut la fin de sa carrière dans l’uniforme du Canadien.

Quelques jours plus tard, il était échangé à l’Avalanche du Colorado avec le capitaine Mike Keane, en retour du gardien Jocelyn Thibault et les attaquants Andrei Kovalenko et Martin Rucinsky.

Pis, Roy avait aidé l’Avalanche du Colorado à remporter la Coupe Stanley lors de la première saison de l’équipe à Denver, la franchise qui avait été transférée de Québec (Nordiques), à la fin de la saison 1994–1995.

L’ex-gardien du Tricolore avait été excellent dans les séries éliminatoires et même s’il n’avait pas gagné le Trophée Conn Smythe (Joe Sakic), il avait été superbe dans la série contre les Red Wings de Detroit, lors de la finale de l’Association de l’Ouest, car ces derniers qui avaient récolté 131 points (le 2e plus haut total de l’histoire du circuit) et étaient les favoris pour remporter la Coupe Stanley.

Le premier match contre le Canadien sera le 2 novembre au Colorado et le premier à Montréal, le 18 mars 2014

Soulignons que la première rencontre entre Patrick Roy et l’Avalanche du Colorado, face à Michel Therrien et le Canadien de Montréal aura lieu samedi, le 2 novembre, au Pepsi Center de Denver, dans une rencontre qui débutera à 22h.

Par la suite, il faudra patienter jusqu’au jeudi, 18 mars 2014 pour voir le roi Patrick effectuer sa première présence au Centre Bell.

Verrait-il d’un bon œil d’avoir Mario Tremblay comme entraîneur-adjoint des gardiens de l’Avalanche lors de cette partie spéciale ?

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L’Avalanche du Colorado domine outrageusement les Bruins de Boston, au TD Garden

Le dernier revers à cet endroit remonte à la saison 1997-1998 !

On dirait que l’Avalanche du Colorado, malgré une piètre fiche lors des dernières saisons, est vraiment à l’aise en affrontant les Bruins de Boston et encore plus au TD Garden.





La troupe dirigée par Patrick Roy, qui a un dossier de 3–0 (0) lors de ses trois premiers matchs et qui a gagné un match corsé, 2–1, face aux Maple Leafs de Toronto, au Centre Air Canada, mardi soir, a un reluisant dossier de 10–4-1 (0) lors de ses 15 derniers matchs contre celle de Claude Julien, depuis le 2 février 1999.

Encore plus, l’Avalanche a une fiche presque parfaite de 6–0-1 (0) lors de ses sept derniers matchs disputés au TD Garden, le domicile des Bruins, son dernier revers (4–1) remontant aussi loin que le 30 mars 1998.

Lors de cette séquence de 6–0-1 (0), l’Avalanche a surclassé les Bruins 20–12 (plus huit) au chapitre des buts marqués et a enregistré deux blanchissages, ceux du 6 mars 2007 (2–0), alors que Peter Budaj avait réalisé 21 arrêts et vaincu Tim Thomas et celui du 10 octobre 2011 (1–0), lors de son dernier match sur cette patinoire, alors que Semyon Varlamov, l’actuel gardien numéro un de l’équipe, avait réalisé 30 arrêts.

Le dernier début de 3-0-0 remonte à l’histoire des Nordiques de Québec

Soulignons que l’Avalanche du Colorado vient de débuter avec un dossier parfait de 3–0 (0) pour la première fois de son histoire, qui a débuté en 1995–1996, alors que c’est en 1994–1995 que cette formation a eu un meilleur départ, alors qu’elle avait un dossier de 5–0-0 après cinq matchs, lors de la dernière saison des Nordiques de Québec, avant leur transfert vers la ville du Colorado.

Pendant ce temps, les Bruins de Boston ont une fiche de 2–0 (0) lors de leurs deux premiers matchs, ayant vaincu le Lightning de Tampa Bay, 3–1, jeudi dernier et les Red Wings de Detroit, 4–1, samedi soir.

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Pour les Predators de Nashville, les difficultés de 2012-2013 se poursuivent

Ils n’ont remporté qu’une seule victoire lors de leurs 14 derniers matchs

Après avoir terminé la saison 2012–2013 sur une très mauvaise note, les difficultés se poursuivent pour les Predators de Nashville en ce début de campagne 2013–2014.



La formation dirigée par Barry Trotz, qui n’avait pu faire mieux qu’une fiche de 1–9 (1) lors de ses 11 derniers matchs réguliers, lors de la saison dernière, vient de débuter avec un rendement de 1–2 (0) lors de ses trois premiers matchs du calendrier régulier.

Cela fait un dossier global de 2–11 (1) lors des 14 derniers matchs des Predators, eux qui ont été surclassés 48–25 (moins 23) au chapitre des buts marqués et en l’emportant 3–2, face au Wild du Minnesota, mardi soir, ils en étaient seulement à un 2e gain depuis le 4 avril dernier, l’autre étant celui du 23 avril 2013, 4–3, face aux faibles Flames de Calgary, au Bridgestone Arena de Nashville.

Avec une attaque qui n’a marqué que 25 buts lors des 14 derniers matchs, une anémique moyenne de 1,79 par rencontre, nul besoin d’insister sur le fait que les protégés de Trotz doivent exceller en défense et obtenir une performance extraordinaire du gardien Pekka Rinne pour espérer triompher sur une base régulière.

Ils n’ont vaincu que des équipes faibles depuis le 22 février 2013 !

Il faut se demander si les Predators ne sont pas la pire formation du circuit depuis le milieu de la saison passée, car après avoir débuté avec une fiche de 8–4 (5) lors de leurs 17 premiers matchs, ils avaient été 8–19 (4) lors de leurs 31 parties disputées du 22 février au 27 avril 2013 et ce qui frappe le plus est que leurs huit dernières victoires ont été enregistrées contre des formations qui n’ont pas participé aux éliminatoires.

Le Wild du Minnesota, même s’il a participé aux séries l’an dernier, n’est pas considéré comme une équipe puissante et leur dernier gain contre une équipe dominante remonte au 19 février 2013, alors qu’ils avaient vaincu les Red Wings de Detroit, 4–3, en prolongation, à domicile.

Depuis ce gain, ils ont vaincu les Oilers d’Edmonton (deux fois), les Stars de Dallas (deux fois), les Flames de Calgary (deux fois), l’Avalanche du Colorado (une fois) et les Blue Jackets de Columbus (une fois), cinq équipes qui n’ont pas participé aux éliminatoires l’an dernier, mais cette disette a pris fin mardi soir, en l’emportant difficilement 3–2, face au Wild du Minnesota.

Les Predators sont dans une séquence de cinq matchs de suite à domicile, eux qui recevront aujourd’hui, les Maple Leafs de Toronto et par la suite ce seront les Islanders de New York (samedi), les Panthers de la Floride (mardi) et les Kings de Los Angeles (jeudi, 17 octobre).

Leur prochain match à l’étranger sera celui du samedi, 19 octobre, alors qu’ils visiteront le Canadien de Montréal, au Centre Bell.

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