Il n’a marqué qu’un but en 10 matchs depuis son retour dans la formation

Après avoir été absent durant un mois (du 21 octobre au 20 novembre) en raison d’une blessure à la cheville droite, l’attaquant Louis Leblanc, des Bulldogs de Hamilton a de la difficulté à retrouver son rythme depuis son retour au jeu.



En effet, auteur d’un dossier de 2–0-2 lors de ses trois premiers matchs disputés cette saison, il n’a pu faire mieux qu’un rendement de 1–1-2 avec un différentiel de moins trois, lors de ses 10 rencontres disputées depuis le 21 novembre dernier, dont une fiche de 0–1-1 lors de ses sept dernières rencontres (dont aucun point lors des six dernières), depuis qu’il a marqué son unique but depuis ce retour, le 1er décembre, dans un gain de 3 à 0, face au puissant Heat d’Abbotsford.

Auteur d’une fiche globale de 3–1-4 avec un différentiel de moins deux en 13 rencontres, il avait réussi deux buts (dont un dans une cage déserte) lors de son 2e match de la saison, un gain de 4 à 1, face aux Marlies de Toronto, le 19 octobre dernier.

Leblanc, qui fut le premier choix du Canadien de Montréal, le 18e au total, lors du repêchage de 2009 et qui aura 22 ans le 26 janvier prochain, avait présenté une fiche de 11–11-22 avec un différentiel de moins 10 en 31 matchs avec les Bulldogs l’an dernier et également un dossier de 5–5-10 avec un différentiel positif de plus trois en 42 matchs avec le Tricolore en 2011–2012.

Que réserve l’avenir pour ce joueur dans l’organisation du Canadien de Montréal ?

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Quelle médiocrité pour jeu de puissance des Olympiques de Gatineau à domicile !

Ils ont la pire moyenne d’efficacité du hockey junior canadien devant leurs partisans

Si les Remparts de Québec ont le meilleur jeu de puissance de tout le hockey junior canadien (31,82% en 34 matchs), c’est une toute autre histoire pour les Olympiques de Gatineau de la LHJMQ, plus spécialement à domicile.



En effet, la formation dirigée par Benoit Groulx, dont la fiche est de 13–19-1–1 pour 28 points en 34 rencontres, présente une piètre efficacité globale de 12,50% (19 buts en 152 avantages), la pire de tout le circuit, derrière le Phoenix de Sherbrooke, une équipe d’expansion, dont l’efficacité est de 12,82%, ayant réussi 20 buts en 156 avantages, lors de leurs 34 matchs cette saison.

C’est surtout au Centre Robert-Guertin que les Olympiques sont atroces, n’affichant qu’une moyenne de 8,82%, ayant réussi seulement six buts en 68 avantages numériques et cela est au dernier rang du circuit, de loin derrière le Phoenix de Sherbrooke, dont l’efficacité est de 15,91%, ayant réussi 14 buts en 88 avantages, lors de leurs 18 matchs locaux cette saison.

Pis, cette efficacité de 8,82% à domicile des Olympiques est vraiment la pire de toutes les 60 équipes du hockey junior canadien, lors des matchs disputés localement, car les Bulls de Belleville, dans la Ligue junior de l’ontario ont une moyenne de 11,32%, n’ayant réussi que six buts en 53 avantages numériques, alors que dans la Ligue junior de l’ouest, les Rebels de Red Deer, ont une efficacité de 12,50%, ayant totalisé huit filets en 64 avantages numériques devant leurs partisans.

Cela est un peu difficile à comprendre, car la formation de Benoit Groulx présente un rendement de 15,48% (14e rang) lors de ses 18 matchs disputés à l’étranger, ayant réussi 13 buts en 84 supériorités numériques.

Sur le plan local, ce sont les Remparts de Québec qui affichent la plus haute efficacité en avantage numérique (34,18%), ayant réussi 27 buts en seulement 79 supériorités, lors de leurs 17 matchs au Colisée Pepsi, la meilleure des trois ligues canadiennes de hockey jusqu’ici cette saison, devant les Oil Kings d’Edmonton (WHL), dont le rendement est de 31,68%, ayant réussi 32 buts en 101 avantages numériques, lors de leurs 21 matchs disputés devant leurs partisans et les 67’s d’Ottawa (OHL), dont le rendement est de 31,67%, totalisant 19 buts en 60 supériorités numériques lors de leurs 17 rencontres disputées à domicile.

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