Quenneville parti, Roy pressenti?
Hockey vendredi, 9 mai 2008. 13:59 samedi, 14 déc. 2024. 06:40
DENVER - Joel Quenneville ne sera pas l'entraîneur de l'Avalanche du Colorado la saison prochaine. L'équipe de la LNH a fait savoir vendredi que Quenneville ne sera pas de retour en vue de la saison 2008-2009.
Dans un communiqué, le directeur général de l'Avalanche, François Giguère, a indiqué que les deux parties avaient décidé, d'un commun accord, de se séparer.
Après des rencontres avec Joel Quenneville, nous avons convenu que la meilleure décision pour les deux camps était de mettre fin à la relation, a expliqué le vice-président et directeur général François Giguère.
"Dès le début du processus, on va établir un profil de ce qu'on recherche comme entraîneur, mais je ne veux pas commencer à nommer des noms", ajoute Giguère. "Nous n'avons pas fixé de date limite pour trouver le nouvel entraîneur".
Depuis l'annonce du départ de Quenneville, les spéculations vont bon train au sujet de son remplaçant et les noms de Patrick Roy et Raymond Bourque y figurent.
"Je suis un peu surpris puisque je croyais que Joel Quenneville serait à la barre de l'Avalanche pour encore plusieurs saisons", a d'abord commenté Patrick Roy.
"Est-ce que je suis intéressé? Présentement, je suis très heureux à Québec avec les Remparts. Je ne me suis jamais arrêté à savoir si un jour j'irais dans la LNH. Présentement, je crois que ce ne sont que des spéculations", a-t-il ajouté.
"François Giguère va sûrement avoir une liste de candidats qu'il voudra rencontrer et on verra ensuite", explique l'entraîneur des Remparts.
L'Avalanche a éliminé le Wild du Minnesota lors du premier tour des séries éliminatoires. L'équipe de Denver a ensuite perdu devant Detroit au deuxième tour.
L'Avalanche a terminé au sixième rang (44-31-7) de l'Association Ouest. Quenneville en était à la dernière année de son contrat.
Giguère aura fort à faire durant l'entre-saison puisque 13 joueurs pourront se prévaloir de leur autonomie complète le 1er juillet.
Giguère ne s'impose pas d'échéancier dans l'embauche d'un nouvel entraîneur. Mais il entend choisir un entraîneur qui met l'accent sur la vitesse d'exécution. Il veut que l'Avalanche soit une équipe rapide.
"Nous avons toujours été une organisation qui misait sur le contrôle de la rondelle, la rapidité, l'énergie et l'attaque, a dit Giguère. L'Avalanche a toujours joué de cette façon et cette approche sera toujours la nôtre."
L'Avalanche a été décimé par les blessures tout au long de la saison. L'équipe a même été privée de bons éléments dans la série contre les Red Wings de Detroit. Peter Forsberg (aine), le meilleur compteur de l'équipe Paul Stastny (genou) ainsi que les avants Ryan Smyth (pied) et Wojtek Wolski (côtes) ont tous été blessés, sans parler de Marek Svatos (genou) absent avant même le début des séries.
"Joel Quenneville profite d'une excellente réputation dans le monde du hockey, a dit Giguère. Quand j'ai obtenu le poste de directeur général, je croyais en Joel. Et je crois toujours en Joel. Mais il arrive qu'on doive prendre des directions opposées. Ca ne veut pas dire que vous n'êtes pas un bon entraîneur."
Avant de diriger l'Avalanche, Quenneville a été l'entraîneur des Blues de St.Louis pendant près de huit saisons. Il a aussi joué 803 matchs dans la LNH chez les Maple Leafs de Toronto, les Rockies du Colorado/Devils du New Jersey, les Whalers de Hartford et les Capitals de Washington.
Dans un communiqué, le directeur général de l'Avalanche, François Giguère, a indiqué que les deux parties avaient décidé, d'un commun accord, de se séparer.
Après des rencontres avec Joel Quenneville, nous avons convenu que la meilleure décision pour les deux camps était de mettre fin à la relation, a expliqué le vice-président et directeur général François Giguère.
"Dès le début du processus, on va établir un profil de ce qu'on recherche comme entraîneur, mais je ne veux pas commencer à nommer des noms", ajoute Giguère. "Nous n'avons pas fixé de date limite pour trouver le nouvel entraîneur".
Depuis l'annonce du départ de Quenneville, les spéculations vont bon train au sujet de son remplaçant et les noms de Patrick Roy et Raymond Bourque y figurent.
"Je suis un peu surpris puisque je croyais que Joel Quenneville serait à la barre de l'Avalanche pour encore plusieurs saisons", a d'abord commenté Patrick Roy.
"Est-ce que je suis intéressé? Présentement, je suis très heureux à Québec avec les Remparts. Je ne me suis jamais arrêté à savoir si un jour j'irais dans la LNH. Présentement, je crois que ce ne sont que des spéculations", a-t-il ajouté.
"François Giguère va sûrement avoir une liste de candidats qu'il voudra rencontrer et on verra ensuite", explique l'entraîneur des Remparts.
L'Avalanche a éliminé le Wild du Minnesota lors du premier tour des séries éliminatoires. L'équipe de Denver a ensuite perdu devant Detroit au deuxième tour.
L'Avalanche a terminé au sixième rang (44-31-7) de l'Association Ouest. Quenneville en était à la dernière année de son contrat.
Giguère aura fort à faire durant l'entre-saison puisque 13 joueurs pourront se prévaloir de leur autonomie complète le 1er juillet.
Giguère ne s'impose pas d'échéancier dans l'embauche d'un nouvel entraîneur. Mais il entend choisir un entraîneur qui met l'accent sur la vitesse d'exécution. Il veut que l'Avalanche soit une équipe rapide.
"Nous avons toujours été une organisation qui misait sur le contrôle de la rondelle, la rapidité, l'énergie et l'attaque, a dit Giguère. L'Avalanche a toujours joué de cette façon et cette approche sera toujours la nôtre."
L'Avalanche a été décimé par les blessures tout au long de la saison. L'équipe a même été privée de bons éléments dans la série contre les Red Wings de Detroit. Peter Forsberg (aine), le meilleur compteur de l'équipe Paul Stastny (genou) ainsi que les avants Ryan Smyth (pied) et Wojtek Wolski (côtes) ont tous été blessés, sans parler de Marek Svatos (genou) absent avant même le début des séries.
"Joel Quenneville profite d'une excellente réputation dans le monde du hockey, a dit Giguère. Quand j'ai obtenu le poste de directeur général, je croyais en Joel. Et je crois toujours en Joel. Mais il arrive qu'on doive prendre des directions opposées. Ca ne veut pas dire que vous n'êtes pas un bon entraîneur."
Avant de diriger l'Avalanche, Quenneville a été l'entraîneur des Blues de St.Louis pendant près de huit saisons. Il a aussi joué 803 matchs dans la LNH chez les Maple Leafs de Toronto, les Rockies du Colorado/Devils du New Jersey, les Whalers de Hartford et les Capitals de Washington.