Roenick ouvert à un plafond
Hockey vendredi, 4 févr. 2005. 15:06 samedi, 14 déc. 2024. 04:32
(RDS.ca) - Le joueur vedette Jeremy Roenick des Flyers de Philadelphie a déclaré au Réseau ESPN qu'il pourrait vivre avec l'idée d'un plafond salarial et que le syndicat des joueurs devrait permettre à ses membres de voter sur n'importe quelle offre raisonnable de la LNH.
C'est une des déclarations faites par Roenick au sujet du lock-out, qui en est à sa 142e journée.
Bien qu'il soit en faveur de la tenue d'un vote, Roenick espère que les propriétaires vont présenter quelque chose d'intéressant. "Je suis en faveur d'un vote, c'est mon opinion personnelle. Je souhaite que les joueurs décident eux-mêmes. À un certain point, je ne veux pas que quelqu'un d'autre décide à ma place. Quand je vois tous les ravages de l'actuel conflit sur notre sport, je me dis que je pourrais vivre avec un plafond. J'aimerais me prononcer par vote et j'ai exprimé mon point de vue à mon association et à des gens de la Ligue nationale."
"S'il y a quelque chose de proposé aux joueurs par la LNH et les propriétaires, les joueurs devraient procéder prendre un vote. Si c'était le cas, je pense que nous jouerions au hockey actuellement."
Roenick a aussi mentionné qu'un plafond salarial pourrait être acceptable à certaines conditions. "Je pense vraiment que nous pourrions survivre avec un plafond. On pourrait survivre mais il faudrait surtout éviter que le plafond se situe à un niveau aussi ridicule que proposé actuellement. Je pense que les joueurs pourraient dire si quelque chose d'acceptable était présenté."
"Mais nous nous sommes jamais rendus là. Nous n'avons jamais reçu une offre acceptable. Je pense que plusieurs joueurs voudraient jouer avec un plafond mais pas celui actuellement proposé."
La LNH et l'AJLNH ont négocié pendant neuf heures jeudi. Les deux parties se rencontrent aussi vendredi. Aucun détail n'a encore été rendu public. "Je ne suis pas très optimiste," a dit Roenick.
Roenick estime que des syndiqués pourraient briser les rangs et rentrer au boulot éventuellement. "Nous continuons la bataille mais sans salaire, il y aura sans doute des joueurs qui pourraient accepter de jouer quand même. Des joueurs de troisième ou quatrième trios pourraient se laisser tenter. Ces joueurs pourraient dire "Nous avons besoin de nos salaires et nous devons jouer pour notre bien et celui de nos familles." "
C'est une des déclarations faites par Roenick au sujet du lock-out, qui en est à sa 142e journée.
Bien qu'il soit en faveur de la tenue d'un vote, Roenick espère que les propriétaires vont présenter quelque chose d'intéressant. "Je suis en faveur d'un vote, c'est mon opinion personnelle. Je souhaite que les joueurs décident eux-mêmes. À un certain point, je ne veux pas que quelqu'un d'autre décide à ma place. Quand je vois tous les ravages de l'actuel conflit sur notre sport, je me dis que je pourrais vivre avec un plafond. J'aimerais me prononcer par vote et j'ai exprimé mon point de vue à mon association et à des gens de la Ligue nationale."
"S'il y a quelque chose de proposé aux joueurs par la LNH et les propriétaires, les joueurs devraient procéder prendre un vote. Si c'était le cas, je pense que nous jouerions au hockey actuellement."
Roenick a aussi mentionné qu'un plafond salarial pourrait être acceptable à certaines conditions. "Je pense vraiment que nous pourrions survivre avec un plafond. On pourrait survivre mais il faudrait surtout éviter que le plafond se situe à un niveau aussi ridicule que proposé actuellement. Je pense que les joueurs pourraient dire si quelque chose d'acceptable était présenté."
"Mais nous nous sommes jamais rendus là. Nous n'avons jamais reçu une offre acceptable. Je pense que plusieurs joueurs voudraient jouer avec un plafond mais pas celui actuellement proposé."
La LNH et l'AJLNH ont négocié pendant neuf heures jeudi. Les deux parties se rencontrent aussi vendredi. Aucun détail n'a encore été rendu public. "Je ne suis pas très optimiste," a dit Roenick.
Roenick estime que des syndiqués pourraient briser les rangs et rentrer au boulot éventuellement. "Nous continuons la bataille mais sans salaire, il y aura sans doute des joueurs qui pourraient accepter de jouer quand même. Des joueurs de troisième ou quatrième trios pourraient se laisser tenter. Ces joueurs pourraient dire "Nous avons besoin de nos salaires et nous devons jouer pour notre bien et celui de nos familles." "