Talbot a suivi les conseils de Groulx
Hockey lundi, 27 avr. 2009. 17:11 mercredi, 11 déc. 2024. 14:38
Depuis son arrivée dans la Ligue nationale, Maxime Talbot est reconnu pour sa combativité et son jeu défensif. Toutefois, le joueur québécois était un habile marqueur dans les rangs juniors.
Maxime Talbot a dû faire des choix importants lorsqu'il est arrivé avec les Penguins en 2005. Reconnu pour ses talents de marqueurs chez les juniors, Talbot est devenu un joueur à caractère défensif avec la bande à Sidney Crosby. C'est son ancien entraîneur-chef avec les Olympiques de Gatineau, Benoît Groulx, qui avait convaincu Talbot d'apporter certaines modifications à son style de jeu.
"À certaines occasions, je me portais trop à l'attaque et j'avais tendance à tricher. Benoît m'a alors fait venir à son bureau et m'a dit que ce n'est pas de cette façon que je me taillerais un poste au sein de la Ligue nationale. Il m'a conseillé de m'ajuster et de bien jouer défensivement. C'est ce qui s'est produit", a indiqué le numéro 25 des Penguins.
Talbot a eu un avant-goût de ce qu'il l'attendait dans la Ligue nationale lors de son passage avec l'équipe canadienne junior en 2004.
"Lorsque tu te tailles une place au Championnat mondial junior, on t'assigne un rôle précis. Le mien était de me retrouver au sein d'un troisième trio. Notre rôle était de jouer contre les meilleurs trios adverses. C'est là que je me suis dit que je pourrais accomplir cette tâche dans la Ligue nationale."
Toutefois, Talbot ne s'en cache pas : il s'ennuie de marquer des buts. Avec les Olympiques, le choix de huitième ronde des Penguins en 2002 avait notamment connu une saison de 46 buts alors qu'il n'a pu faire mieux que 13 buts dans la Ligue nationale.
"Ce n'est pas toujours facile, surtout lorsque tu disputes 15 ou 20 matchs sans marquer. C'est plaisant de bloquer un lancer ou d'effectuer une solide mise en échec, mais marquer un but quand ça n'arrive pas souvent, ça fais du bien! "
C'est pour cette raison que Talbot ne se gêne pas pour manifester sa joie après avoir marqué un but.
"C'est tellement toujours une surprise lorsque je marque un but que je n'ai jamais le temps de rien planifier. Je pose toujours le même geste. Si j'en marquais un peu plus souvent, je pourrais varier mon répertoire à ce chapitre", a lancé Talbot avec le sourire.
Guy Carbonneau et Ian Laperrière étaient également reconnus pour leur talent offensif dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec, mais ils ont également dû modifier leur rôle dans la LNH. Carbonneau a notamment remporté trois fois le trophée Selke.
Maxime Talbot a dû faire des choix importants lorsqu'il est arrivé avec les Penguins en 2005. Reconnu pour ses talents de marqueurs chez les juniors, Talbot est devenu un joueur à caractère défensif avec la bande à Sidney Crosby. C'est son ancien entraîneur-chef avec les Olympiques de Gatineau, Benoît Groulx, qui avait convaincu Talbot d'apporter certaines modifications à son style de jeu.
"À certaines occasions, je me portais trop à l'attaque et j'avais tendance à tricher. Benoît m'a alors fait venir à son bureau et m'a dit que ce n'est pas de cette façon que je me taillerais un poste au sein de la Ligue nationale. Il m'a conseillé de m'ajuster et de bien jouer défensivement. C'est ce qui s'est produit", a indiqué le numéro 25 des Penguins.
Talbot a eu un avant-goût de ce qu'il l'attendait dans la Ligue nationale lors de son passage avec l'équipe canadienne junior en 2004.
"Lorsque tu te tailles une place au Championnat mondial junior, on t'assigne un rôle précis. Le mien était de me retrouver au sein d'un troisième trio. Notre rôle était de jouer contre les meilleurs trios adverses. C'est là que je me suis dit que je pourrais accomplir cette tâche dans la Ligue nationale."
Toutefois, Talbot ne s'en cache pas : il s'ennuie de marquer des buts. Avec les Olympiques, le choix de huitième ronde des Penguins en 2002 avait notamment connu une saison de 46 buts alors qu'il n'a pu faire mieux que 13 buts dans la Ligue nationale.
"Ce n'est pas toujours facile, surtout lorsque tu disputes 15 ou 20 matchs sans marquer. C'est plaisant de bloquer un lancer ou d'effectuer une solide mise en échec, mais marquer un but quand ça n'arrive pas souvent, ça fais du bien! "
C'est pour cette raison que Talbot ne se gêne pas pour manifester sa joie après avoir marqué un but.
"C'est tellement toujours une surprise lorsque je marque un but que je n'ai jamais le temps de rien planifier. Je pose toujours le même geste. Si j'en marquais un peu plus souvent, je pourrais varier mon répertoire à ce chapitre", a lancé Talbot avec le sourire.
Guy Carbonneau et Ian Laperrière étaient également reconnus pour leur talent offensif dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec, mais ils ont également dû modifier leur rôle dans la LNH. Carbonneau a notamment remporté trois fois le trophée Selke.