Une dernière mauvaise impression
Hockey mercredi, 29 avr. 2009. 22:41 mercredi, 11 déc. 2024. 18:36
NEWARK, New Jersey - Ce ne sont pas la blessure au coude de Martin Brodeur, son record de la LNH pour les victoires par un gardien, les 51 victoires records de la formation ou son septième titre de la section Atlantique en 12 ans dont les gens se souviendront à propos de la dernière saison des Devils du New Jersey.
Ce sera plutôt leur effondrement lors du septième match.
Les Devils étaient à 80 secondes d'éliminer les Hurricanes de la Caroline en première ronde des séries, mardi, quand ils ont accordé deux buts en l'espace de 48 secondes et ont perdu le match et la série 4-3.
"Elles sont toutes difficiles, mais il y a certaines fois où vous entrez en séries et que vous croyez vraiment avoir une équipe pour faire un bon bout de chemin, a déclaré le capitaine Jamie Langenbrunner. De perdre de cette façon fait encore plus mal. Je pense que nous croyions vraiment en cette équipe, alors c'est difficile à avaler."
La fin de cette saison a été pratiquement impossible à croire.
S'accrochant à une avance de 3-2, les Devils étaient incapables de sortir la rondelle de leur zone au cours des deux dernières minutes et Jussi Jokinen en a profité pour créer l'égalité avec 80 secondes à jouer, après avoir accepté une superbe passe du défenseur Joni Pitkanen, posté de l'autre côté de la patinoire.
Ce but a réduit au silence les 17 625 spectateurs sur place. Moins d'une minute plus tard, Eric Staal leur a brisé le coeur en battant Brodeur d'un puissant tir du cercle des mises en jeu à sa gauche, avec 31,7 secondes à faire, laissant les spectateurs, les joueurs des Devils et les membres de la direction dans un état de choc.
Ce n'est pas peu dire, compte tenu que cette équipe a perdu la finale d'association de 1994 contre les éventuels gagnants de la coupe Stanley, les Rangers de New York, en deuxième prolongation et le septième match de la finale de 2001 contre l'Avalanche du Colorado.
"Il faut que ce soit la pire défaite", a déclaré Jay Pandolfo, qui a remporté la coupe Stanley deux fois avec les Devils. "Nous avions la victoire. C'est un septième match. Ce fera mal longtemps, je vous le garantis."
Le président et directeur général des Devils, Lou Lamoriello, était aussi déçu que quiconque.
"Tout s'est passé tellement vite. C'est comme si on ne pouvait croire ce que l'on voyait, mais c'était bien réel."
Selon lui, c'est la première fois de sa carrière que les événements d'un match se retournent si dramatiquement contre son club. Toutefois, il refuse de blâmer qui que ce soit.
"La saison 2009-10 s'est amorcée aujourd'hui, a-t-il expliqué. Vous ne pouvez oublier ce qui vient de se passer, mais vous chercher des raisons, pas des excuses."
C'est la deuxième année d'affilée où les Devils se font éliminer en première ronde. Ils n'ont pas atteint la finale d'association depuis 2003, alors qu'ils ont remporté la coupe.
"Tout ce qu'on veut, c'est la coupe, a ajouté Lamoriello. Alors si on amorce la saison en pensant que nous avons une chance de la gagner avec les effectifs en place, on est corrects.
"En ce qui a trait à notre philosophie, je crois en ntore structure et en notre noyau. On doit juste être meilleurs."
Ce sera plutôt leur effondrement lors du septième match.
Les Devils étaient à 80 secondes d'éliminer les Hurricanes de la Caroline en première ronde des séries, mardi, quand ils ont accordé deux buts en l'espace de 48 secondes et ont perdu le match et la série 4-3.
"Elles sont toutes difficiles, mais il y a certaines fois où vous entrez en séries et que vous croyez vraiment avoir une équipe pour faire un bon bout de chemin, a déclaré le capitaine Jamie Langenbrunner. De perdre de cette façon fait encore plus mal. Je pense que nous croyions vraiment en cette équipe, alors c'est difficile à avaler."
La fin de cette saison a été pratiquement impossible à croire.
S'accrochant à une avance de 3-2, les Devils étaient incapables de sortir la rondelle de leur zone au cours des deux dernières minutes et Jussi Jokinen en a profité pour créer l'égalité avec 80 secondes à jouer, après avoir accepté une superbe passe du défenseur Joni Pitkanen, posté de l'autre côté de la patinoire.
Ce but a réduit au silence les 17 625 spectateurs sur place. Moins d'une minute plus tard, Eric Staal leur a brisé le coeur en battant Brodeur d'un puissant tir du cercle des mises en jeu à sa gauche, avec 31,7 secondes à faire, laissant les spectateurs, les joueurs des Devils et les membres de la direction dans un état de choc.
Ce n'est pas peu dire, compte tenu que cette équipe a perdu la finale d'association de 1994 contre les éventuels gagnants de la coupe Stanley, les Rangers de New York, en deuxième prolongation et le septième match de la finale de 2001 contre l'Avalanche du Colorado.
"Il faut que ce soit la pire défaite", a déclaré Jay Pandolfo, qui a remporté la coupe Stanley deux fois avec les Devils. "Nous avions la victoire. C'est un septième match. Ce fera mal longtemps, je vous le garantis."
Le président et directeur général des Devils, Lou Lamoriello, était aussi déçu que quiconque.
"Tout s'est passé tellement vite. C'est comme si on ne pouvait croire ce que l'on voyait, mais c'était bien réel."
Selon lui, c'est la première fois de sa carrière que les événements d'un match se retournent si dramatiquement contre son club. Toutefois, il refuse de blâmer qui que ce soit.
"La saison 2009-10 s'est amorcée aujourd'hui, a-t-il expliqué. Vous ne pouvez oublier ce qui vient de se passer, mais vous chercher des raisons, pas des excuses."
C'est la deuxième année d'affilée où les Devils se font éliminer en première ronde. Ils n'ont pas atteint la finale d'association depuis 2003, alors qu'ils ont remporté la coupe.
"Tout ce qu'on veut, c'est la coupe, a ajouté Lamoriello. Alors si on amorce la saison en pensant que nous avons une chance de la gagner avec les effectifs en place, on est corrects.
"En ce qui a trait à notre philosophie, je crois en ntore structure et en notre noyau. On doit juste être meilleurs."