Z. Chara rencontrera le SPVM sous peu
Boston Bruins mardi, 28 juin 2011. 12:58 samedi, 14 déc. 2024. 13:31
MONTRÉAL - Après avoir soulevé la coupe Stanley, il y a deux semaines, le défenseur des Bruins de Boston Zdeno Chara devra maintenant rencontrer les enquêteurs de la police de Montréal.
Le Service de police de la ville de Montréal (SPVM) a indiqué mardi que cette rencontre aurait lieu d'ici quelques semaines ou quelques mois. Il n'a toutefois pas précisé où et quand exactement la rencontre se tiendrait.
Le 8 mars, au Centre Bell, Zdeno Chara avait appliqué une violente mise en échec à l'endroit de l'attaquant du Canadien de Montréal Max Pacioretty, lui fracturant une vertèbre cervicale en plus de lui infliger une commotion cérébrale.
Plaidant qu'il n'avait pas eu l'intention de blesser Pacioretty, le défenseur des Bruins n'avait pas été suspendu par la Ligue nationale de hockey (LNH). Après sa mise en échec, Chara avait écopé une pénalité de partie pour mauvaise conduite.
L'attaquant du Tricolore, lui, n'est pas revenu au jeu pour le reste de la saison.
Mardi, un porte-parole du SPVM, l'agent Ian Lafrenière, a indiqué qu'il ne restait que M. Chara à rencontrer dans le cadre de l'enquête. Il a ajouté que cette rencontre aurait lieu « au cours des prochaines semaines ou des prochains mois ».
En ce qui concerne le lieu de cette rencontre Boston ou Montréal , M. Lafrenière a expliqué que la police ne discutait jamais de ce type de détails et qu'elle n'annonçait jamais la tenue d'une rencontre avec un suspect.
Après la décision de la LNH concernant la mise en échec de Chara, la police de Montréal avait été inondée d'appels téléphoniques de citoyens qui voulaient signaler une agression.
Le directeur des poursuites criminelles et pénales du Québec avait ensuite recommandé la tenue d'une enquête sur l'incident. Le défenseur des Bruins sera rencontré par le SPVM dans le cadre de cette enquête.
Le parcours des Bruins en séries éliminatoires a ralenti le travail des policiers. En fait, le SPVM a refusé d'interroger Chara durant les séries de fin de saison.
« La plupart de ces personnes (concernées par l'enquête) étaient des hockeyeurs, leur disponibilité a donc été un problème, parce qu'elles participaient aux séries éliminatoires », a expliqué l'agent Lafrenière.
Ce dernier a indiqué que les Bruins de Boston avaient fait preuve d'une grande coopération au cours de l'enquête, notamment en retenant les services d'un avocat montréalais pour servir d'intermédiaire entre les différentes parties concernées.
Après la rencontre, les enquêteurs pourront rédiger leur rapport et le remettre à un procureur de la Couronne, qui décidera si des accusations doivent être déposées contre le défenseur.
Mais selon plusieurs observateurs, il est peu probable que des accusations seront portées contre Zdeno Chara.
L'annonce de la rencontre entre Chara et la police montréalaise a immédiatement suscité des réactions de médias de Boston et de partisans des Bruins.
« La police de Montréal a encore l'intention d'interroger Chara? Gaspillage de l'argent des contribuables. J'espère qu'il (Chara) apportera la coupe avec lui », a écrit l'un de ces partisans sur la plateforme de microblogues Twitter.
Le Service de police de la ville de Montréal (SPVM) a indiqué mardi que cette rencontre aurait lieu d'ici quelques semaines ou quelques mois. Il n'a toutefois pas précisé où et quand exactement la rencontre se tiendrait.
Le 8 mars, au Centre Bell, Zdeno Chara avait appliqué une violente mise en échec à l'endroit de l'attaquant du Canadien de Montréal Max Pacioretty, lui fracturant une vertèbre cervicale en plus de lui infliger une commotion cérébrale.
Plaidant qu'il n'avait pas eu l'intention de blesser Pacioretty, le défenseur des Bruins n'avait pas été suspendu par la Ligue nationale de hockey (LNH). Après sa mise en échec, Chara avait écopé une pénalité de partie pour mauvaise conduite.
L'attaquant du Tricolore, lui, n'est pas revenu au jeu pour le reste de la saison.
Mardi, un porte-parole du SPVM, l'agent Ian Lafrenière, a indiqué qu'il ne restait que M. Chara à rencontrer dans le cadre de l'enquête. Il a ajouté que cette rencontre aurait lieu « au cours des prochaines semaines ou des prochains mois ».
En ce qui concerne le lieu de cette rencontre Boston ou Montréal , M. Lafrenière a expliqué que la police ne discutait jamais de ce type de détails et qu'elle n'annonçait jamais la tenue d'une rencontre avec un suspect.
Après la décision de la LNH concernant la mise en échec de Chara, la police de Montréal avait été inondée d'appels téléphoniques de citoyens qui voulaient signaler une agression.
Le directeur des poursuites criminelles et pénales du Québec avait ensuite recommandé la tenue d'une enquête sur l'incident. Le défenseur des Bruins sera rencontré par le SPVM dans le cadre de cette enquête.
Le parcours des Bruins en séries éliminatoires a ralenti le travail des policiers. En fait, le SPVM a refusé d'interroger Chara durant les séries de fin de saison.
« La plupart de ces personnes (concernées par l'enquête) étaient des hockeyeurs, leur disponibilité a donc été un problème, parce qu'elles participaient aux séries éliminatoires », a expliqué l'agent Lafrenière.
Ce dernier a indiqué que les Bruins de Boston avaient fait preuve d'une grande coopération au cours de l'enquête, notamment en retenant les services d'un avocat montréalais pour servir d'intermédiaire entre les différentes parties concernées.
Après la rencontre, les enquêteurs pourront rédiger leur rapport et le remettre à un procureur de la Couronne, qui décidera si des accusations doivent être déposées contre le défenseur.
Mais selon plusieurs observateurs, il est peu probable que des accusations seront portées contre Zdeno Chara.
L'annonce de la rencontre entre Chara et la police montréalaise a immédiatement suscité des réactions de médias de Boston et de partisans des Bruins.
« La police de Montréal a encore l'intention d'interroger Chara? Gaspillage de l'argent des contribuables. J'espère qu'il (Chara) apportera la coupe avec lui », a écrit l'un de ces partisans sur la plateforme de microblogues Twitter.