Lock-out : Brisson a encore de l'espoir
Hockey vendredi, 7 déc. 2012. 17:13 vendredi, 13 déc. 2024. 11:38
Pat Brisson, l'agent qui a orchestré le plus récent blitz de négociations entre un groupe de propriétaires et de joueurs de la Ligue nationale, s'attend toujours à ce que le lock-out qui paralyse les activités du circuit se règle avant qu'on ne soit forcé d'annuler une deuxième saison complète en neuf ans.
« J'ai toujours cru qu'il y aurait du hockey cette année et j'y crois encore », a confié Brisson lors d'une entrevue exclusive accordée à notre informateur LNH Renaud Lavoie et diffusée à l'émission Hockey 360 vendredi.
« C'est sûr qu'une éventuelle saison sera raccourcie, mais je suis quand même optimiste qu'il y aura du hockey à un moment donné. Je ne peux pas croire qu'on pourrait annuler une saison. Je n'y crois pas. Il va vraiment falloir qu'on en arrive là avant que j'y croie », a-t-il insisté.
Rencontré dans la nuit de jeudi à vendredi après qu'une vague de pourparlers de trois jours eut heurté un nouveau mur, Brisson s'est dit déçu du dénouement final de son initiative, mais néanmoins encouragé par les progrès réalisés au cours de la semaine.
« Je suis satisfait de la façon dont ça a bougé, si on regarde le fameux montant intégral et plusieurs autres aspects de la situation économique. On est passé très près et j'étais déçu de voir que certaines concessions avaient été retirées de la table. Mais il faut maintenant prendre du recul et se réaligner, parce qu'à un moment donné, ça va se régler. »
À sa sortie de la salle de réunion jeudi, l'AJLNH avait déclaré qu'elle avait présenté une nouvelle offre dans l'espoir de mettre un terme au lock-out. Le directeur exécutif du syndicat, Donald Fehr, avait alors dit que les deux parties étaient « de toute évidence très proches, sinon l'une au-dessus de l'autre au sujet de nombreux enjeux majeurs ».
Mais la LNH a refusé l'offre du syndicat et a décidé de mettre un terme aux discussions, précisant au passage que les parties n'étaient pas aussi proches que Fehr le suggérait.
Vendredi, le plus célèbre client de Brisson, Sidney Crosby, s'est dit complètement découragé par le plus récent constat d'échec dans un conflit qui s'étire depuis près de trois mois.
Aucune date n'a été établie pour la reprise des pourparlers.
« J'ai toujours cru qu'il y aurait du hockey cette année et j'y crois encore », a confié Brisson lors d'une entrevue exclusive accordée à notre informateur LNH Renaud Lavoie et diffusée à l'émission Hockey 360 vendredi.
« C'est sûr qu'une éventuelle saison sera raccourcie, mais je suis quand même optimiste qu'il y aura du hockey à un moment donné. Je ne peux pas croire qu'on pourrait annuler une saison. Je n'y crois pas. Il va vraiment falloir qu'on en arrive là avant que j'y croie », a-t-il insisté.
Rencontré dans la nuit de jeudi à vendredi après qu'une vague de pourparlers de trois jours eut heurté un nouveau mur, Brisson s'est dit déçu du dénouement final de son initiative, mais néanmoins encouragé par les progrès réalisés au cours de la semaine.
« Je suis satisfait de la façon dont ça a bougé, si on regarde le fameux montant intégral et plusieurs autres aspects de la situation économique. On est passé très près et j'étais déçu de voir que certaines concessions avaient été retirées de la table. Mais il faut maintenant prendre du recul et se réaligner, parce qu'à un moment donné, ça va se régler. »
À sa sortie de la salle de réunion jeudi, l'AJLNH avait déclaré qu'elle avait présenté une nouvelle offre dans l'espoir de mettre un terme au lock-out. Le directeur exécutif du syndicat, Donald Fehr, avait alors dit que les deux parties étaient « de toute évidence très proches, sinon l'une au-dessus de l'autre au sujet de nombreux enjeux majeurs ».
Mais la LNH a refusé l'offre du syndicat et a décidé de mettre un terme aux discussions, précisant au passage que les parties n'étaient pas aussi proches que Fehr le suggérait.
Vendredi, le plus célèbre client de Brisson, Sidney Crosby, s'est dit complètement découragé par le plus récent constat d'échec dans un conflit qui s'étire depuis près de trois mois.
Aucune date n'a été établie pour la reprise des pourparlers.