Martin pourrait garder huit défenseurs
Hockey mercredi, 23 sept. 2009. 18:26 mercredi, 11 déc. 2024. 16:37
BROSSARD - Roman Hamrlik et Paul Mara étaient de retour à l'entraînement, mercredi, mais le fait demeure qu'ils ont pris du retard sur leurs coéquipiers du Canadien au chapitre de la mise en forme. Il est donc possible que Jacques Martin décide de retenir huit défenseurs au sein de sa formation, du moins en début de saison, afin de se donner une meilleure marge de manoeuvre en cas de pépin.
Ce qui ouvre la porte, du moins un peu plus qu'avant, aux jeunes arrières qui sont toujours au camp du Canadien, soit Yannick Weber et Mathieu Carle.
Il reste présentement neuf défenseurs au camp, les autres étant Andrei Markov, Jaroslav Spacek, Josh Gorges, Hal Gill et Ryan O'Byrne.
Durant la séance d'entraînement de mercredi, Weber a évolué avec Gill, et Carle avec Mara. Markov et O'Byrne ont alterné avec Gorges, tandis que Spacek a fait de même avec Markov et Hamrlik.
Jacques Martin devra retrancher un ou deux défenseurs d'ici le début de la campagne, tout dépendant s'il en garde sept ou huit. Carle est le négligé, tandis que Weber et O'Byrne semblent lutter pour le septième poste.
"Ce qu'il faut regarder, quand on compose son équipe, c'est ce que chaque joueur peut apporter, a noté l'entraîneur du Canadien. Ensuite il faut décider quels atouts seront les plus utiles à l'équipe. Weber nous apporte de l'offensive, tandis qu'O'Byrne apporte l'aspect robustesse, et un jeu plus défensif.
"Markov est clairement notre meilleur défenseur, a ajouté Martin. Quant aux autres, il n'y a pas de si grandes différences entre eux. Ca me fait penser aux Hurricanes de la Caroline, l'année où ils avaient remporté la coupe Stanley. Ils avaient trois duos de défenseurs très équilibrés. On ne pouvait pas dire qu'un était vraiment meilleur que l'autre."
Weber, qui semblait crispé dans les premiers matchs préparatoires, s'est davantage porté à l'attaque, lundi, contre les Penguins de Pittsburgh.
"Les quelques premiers matchs, je ne me sentais pas bien et je n'étais pas à mon mieux, a indiqué le défenseur suisse. J'ai négligé l'aspect offensif un peu, je me suis concentré sur la défensive. Il ne sert à rien d'aller à l'attaque quand c'est pour mettre en péril ton jeu défensif.
"Mais j'ai retrouvé ma confiance et le dernier match, j'ai essayé de jouer mon style, la façon dont l'entraîneur veut que je joue. Je m'améliore à chaque jour et la confiance revient. Je suis content d'être encore ici et d'avoir la chance de me montrer à mon mieux."
Carle, lui, ne lâche pas le morceau pour autant, même si ses chances de rester à Montréal sont minces, du moins pour l'instant.
"Je m'efforce de prendre le moins de risques possible, de faire une bonne première passe, de suivre l'attaque et de bien jouer défensivement. C'est là-dessus que je base ma préparation avant chaque match et ça s'est bien déroulé jusqu'à maintenant", a-t-il expliqué.
Carle a été présenté dans le même souffle que les Weber et P.K. Subban par le passé. On l'avait toutefois un peu oublié cette année, après qu'il ait vu son camp avec le Canadien prendre fin prématurément l'année dernière et celle d'avant, en raison de blessures.
"Je ne suis pas arrivé ici en me disant que j'étais derrière tout le monde. Je me suis dit que je ferais ma petite affaire et on verra, a indiqué Carle. On a réduit le groupe à 30 joueurs et je suis encore là. Ca me met d'autant plus en confiance.
"J'ai changé mon approche de A à Z dans le but, justement, de pouvoir accéder à la Ligue nationale. Avant, j'étais un défenseur strictement offensif, maintenant je me considère comme un joueur qui peut bien jouer dans les deux sens de la patinoire."
Hamrlik et Mara de retour
Victime d'un virus qui lui a fait rater le camp jusqu'ici, Hamrlik vise d'être prêt à temps pour le match d'ouverture du 1er octobre, à Toronto. Chose qu'il avait réussi à faire, l'an dernier, après s'être blessé dès le premier match préparatoire.
"C'était ma première pratique, il y avait beaucoup d'intensité et je suis content d'avoir passé au travers!, a dit Hamrlik de la séance de mercredi. J'avais une grippe ou un rhume, je ne sais pas trop, alors j'y suis allé mollo au plan de l'entraînement. C'est difficile de revenir dans ce contexte, surtout en plein camp d'entraînement, mais il reste quelques jours avant le début de la saison. Il s'agira pour moi de retrouver ma confiance. J'aimerais disputer au moins un match préparatoire.
"Si je me sens à 100 pour cent, j'aimerais assurément jouer samedi (contre les Sabres)."
Mara, qui était blessé au bas du corps, a dit que son état progressait bien et qu'il espérait affronter les Bruins jeudi.
"C'est sûr que tu t'amènes au camp et tu veux impressionner la première semaine, alors c'est frustrant de devoir tout arrêter pour une petite blessure, a reconnu Mara. Mais il valait mieux que je me repose pour éviter que ça devienne un problème à long terme. C'est la première fois que me blesse au camp. En espérant qu'on en reste là."
Ce qui ouvre la porte, du moins un peu plus qu'avant, aux jeunes arrières qui sont toujours au camp du Canadien, soit Yannick Weber et Mathieu Carle.
Il reste présentement neuf défenseurs au camp, les autres étant Andrei Markov, Jaroslav Spacek, Josh Gorges, Hal Gill et Ryan O'Byrne.
Durant la séance d'entraînement de mercredi, Weber a évolué avec Gill, et Carle avec Mara. Markov et O'Byrne ont alterné avec Gorges, tandis que Spacek a fait de même avec Markov et Hamrlik.
Jacques Martin devra retrancher un ou deux défenseurs d'ici le début de la campagne, tout dépendant s'il en garde sept ou huit. Carle est le négligé, tandis que Weber et O'Byrne semblent lutter pour le septième poste.
"Ce qu'il faut regarder, quand on compose son équipe, c'est ce que chaque joueur peut apporter, a noté l'entraîneur du Canadien. Ensuite il faut décider quels atouts seront les plus utiles à l'équipe. Weber nous apporte de l'offensive, tandis qu'O'Byrne apporte l'aspect robustesse, et un jeu plus défensif.
"Markov est clairement notre meilleur défenseur, a ajouté Martin. Quant aux autres, il n'y a pas de si grandes différences entre eux. Ca me fait penser aux Hurricanes de la Caroline, l'année où ils avaient remporté la coupe Stanley. Ils avaient trois duos de défenseurs très équilibrés. On ne pouvait pas dire qu'un était vraiment meilleur que l'autre."
Weber, qui semblait crispé dans les premiers matchs préparatoires, s'est davantage porté à l'attaque, lundi, contre les Penguins de Pittsburgh.
"Les quelques premiers matchs, je ne me sentais pas bien et je n'étais pas à mon mieux, a indiqué le défenseur suisse. J'ai négligé l'aspect offensif un peu, je me suis concentré sur la défensive. Il ne sert à rien d'aller à l'attaque quand c'est pour mettre en péril ton jeu défensif.
"Mais j'ai retrouvé ma confiance et le dernier match, j'ai essayé de jouer mon style, la façon dont l'entraîneur veut que je joue. Je m'améliore à chaque jour et la confiance revient. Je suis content d'être encore ici et d'avoir la chance de me montrer à mon mieux."
Carle, lui, ne lâche pas le morceau pour autant, même si ses chances de rester à Montréal sont minces, du moins pour l'instant.
"Je m'efforce de prendre le moins de risques possible, de faire une bonne première passe, de suivre l'attaque et de bien jouer défensivement. C'est là-dessus que je base ma préparation avant chaque match et ça s'est bien déroulé jusqu'à maintenant", a-t-il expliqué.
Carle a été présenté dans le même souffle que les Weber et P.K. Subban par le passé. On l'avait toutefois un peu oublié cette année, après qu'il ait vu son camp avec le Canadien prendre fin prématurément l'année dernière et celle d'avant, en raison de blessures.
"Je ne suis pas arrivé ici en me disant que j'étais derrière tout le monde. Je me suis dit que je ferais ma petite affaire et on verra, a indiqué Carle. On a réduit le groupe à 30 joueurs et je suis encore là. Ca me met d'autant plus en confiance.
"J'ai changé mon approche de A à Z dans le but, justement, de pouvoir accéder à la Ligue nationale. Avant, j'étais un défenseur strictement offensif, maintenant je me considère comme un joueur qui peut bien jouer dans les deux sens de la patinoire."
Hamrlik et Mara de retour
Victime d'un virus qui lui a fait rater le camp jusqu'ici, Hamrlik vise d'être prêt à temps pour le match d'ouverture du 1er octobre, à Toronto. Chose qu'il avait réussi à faire, l'an dernier, après s'être blessé dès le premier match préparatoire.
"C'était ma première pratique, il y avait beaucoup d'intensité et je suis content d'avoir passé au travers!, a dit Hamrlik de la séance de mercredi. J'avais une grippe ou un rhume, je ne sais pas trop, alors j'y suis allé mollo au plan de l'entraînement. C'est difficile de revenir dans ce contexte, surtout en plein camp d'entraînement, mais il reste quelques jours avant le début de la saison. Il s'agira pour moi de retrouver ma confiance. J'aimerais disputer au moins un match préparatoire.
"Si je me sens à 100 pour cent, j'aimerais assurément jouer samedi (contre les Sabres)."
Mara, qui était blessé au bas du corps, a dit que son état progressait bien et qu'il espérait affronter les Bruins jeudi.
"C'est sûr que tu t'amènes au camp et tu veux impressionner la première semaine, alors c'est frustrant de devoir tout arrêter pour une petite blessure, a reconnu Mara. Mais il valait mieux que je me repose pour éviter que ça devienne un problème à long terme. C'est la première fois que me blesse au camp. En espérant qu'on en reste là."