McDonagh, un futur Chris Chelios?
Hockey lundi, 26 nov. 2007. 18:24 samedi, 14 déc. 2024. 06:41
Au cours des deux dernières années, le Canadien a réclamé un défenseur américain en première ronde de la séance de sélection amateur. En juin dernier, c'est Ryan McDonagh qui fut cette toute première sélection, un arrière qui entreprend sa première saison avec les Badgers de l'Université du Wisconsin.
Il y a eu des murmures dans les chaumières du Québec lorsque le Canadien a tourné le dos à Angelo Esposito pour faire de McDonagh son tout premier choix. Mais le défenseur de 6 pieds 1 pouce et 200 livres, originaire de St. Paul au Minnesota, s'adapte extrêmement bien au hockey universitaire américain. Il possède un coup de patin très fluide, excelle dans les deux sens de la patinoire et doit simplement acquérir un peu plus d'expérience.
"Mon coup de patin est assurément mon meilleur atout", analyse McDonagh.
"C'est tout un patineur, confirme son entraîneur, Mike Eaves. Et peu importe le niveau dans lequel tu joues, tu dois patiner. Il gagne ses batailles le long des rampes, effectue une bonne première passe et possède une belle vision du jeu."
McDonagh semble un défenseur d'impact qui excelle dans les deux sens de la patinoire et qui peut changer le cours d'un match avec une percutante mise en échec.
"Il joue autant en avantage qu'en désavantage numérique. Je ne peux pas le qualifier de pur quart-arrière, parce qu'il joue aussi bien dans les deux sens de la patinoire", répète Trevor Timmins, le directeur du recrutement du Canadien.
Le style de McDonagh est difficile à comparer. Chose certaine, il veut devenir un arrière complet qui pourra aider le Canadien sur une base régulière beaucoup plus rapidement qu'on pourrait l'imaginer.
"Je veux qu'il y ait plus d'une dimension dans mon jeu, souhaite McDonagh. Je m'occupe surtout de ma défensive, mais j'aime aussi contribuer à l'attaque."
"Il a un peu le même style que Chris Chelios, constate Timmins. Je ne veux pas le comparer à Chris, mais sa façon de jouer s'apparente beaucoup à la sienne. C'est un joueur qui aura une longue carrière, qui passera beaucoup de temps sur la patinoire et qui apportera du leadership."
Il y a eu des murmures dans les chaumières du Québec lorsque le Canadien a tourné le dos à Angelo Esposito pour faire de McDonagh son tout premier choix. Mais le défenseur de 6 pieds 1 pouce et 200 livres, originaire de St. Paul au Minnesota, s'adapte extrêmement bien au hockey universitaire américain. Il possède un coup de patin très fluide, excelle dans les deux sens de la patinoire et doit simplement acquérir un peu plus d'expérience.
"Mon coup de patin est assurément mon meilleur atout", analyse McDonagh.
"C'est tout un patineur, confirme son entraîneur, Mike Eaves. Et peu importe le niveau dans lequel tu joues, tu dois patiner. Il gagne ses batailles le long des rampes, effectue une bonne première passe et possède une belle vision du jeu."
McDonagh semble un défenseur d'impact qui excelle dans les deux sens de la patinoire et qui peut changer le cours d'un match avec une percutante mise en échec.
"Il joue autant en avantage qu'en désavantage numérique. Je ne peux pas le qualifier de pur quart-arrière, parce qu'il joue aussi bien dans les deux sens de la patinoire", répète Trevor Timmins, le directeur du recrutement du Canadien.
Le style de McDonagh est difficile à comparer. Chose certaine, il veut devenir un arrière complet qui pourra aider le Canadien sur une base régulière beaucoup plus rapidement qu'on pourrait l'imaginer.
"Je veux qu'il y ait plus d'une dimension dans mon jeu, souhaite McDonagh. Je m'occupe surtout de ma défensive, mais j'aime aussi contribuer à l'attaque."
"Il a un peu le même style que Chris Chelios, constate Timmins. Je ne veux pas le comparer à Chris, mais sa façon de jouer s'apparente beaucoup à la sienne. C'est un joueur qui aura une longue carrière, qui passera beaucoup de temps sur la patinoire et qui apportera du leadership."