Plusieurs questions demeurent à Saint Louis
Hockey samedi, 27 sept. 2003. 15:33 samedi, 14 déc. 2024. 16:43
(RDS.ca) - Même s'ils ont un alignement en santé, du moins, plus que l'an dernier, il y a encore quelques questions sans réponse chez les Blues de Saint Louis. Les plus importantes... qui sera le gardien numéro un et est-ce que Chris Pronger redeviendra un défenseur digne d'un vainqueur du Trophée Hart?
Même sans Pronger, qui a raté toute la saison sauf la dernière semaine en 2002-03, et sans véritable gardien numéro un, les Blues ont tout de même terminé au cinquième rang dans l'Association de l'Ouest avec 99 points. Mais ils se sont inclinés en sept rencontres devant les Canucks de Vancouver en première ronde.
Pronger n'était certes pas à son meilleur en séries, mais il a passé l'été à s'entraîner plutôt qu'à se réhabiliter. Néanmoins, les Blues s'améliorent grandement avec Pronger dans leur rang, mais comment le défenseur se sentira-t-il dans un environnement différent? Les choses ont en effet quelque peu changé depuis sa blessure.
La paire formée de Al MacInnis, finaliste du Trophée Norris, et de Barrett Jackman, le vainqueur du Trophée Calder, est intouchable. Avec Pronger sur la touche, Alexander Khavanov et Bryce Salvador ont eu beaucoup de temps de glace et la chimie entre les deux défenseurs s'est faite, de sorte que les Blues ont déjà quatre défenseurs qui seraient facilement les quatre premiers dans plusieurs formations.
Mais le directeur général des Blues, Larry Pleau, a peut être résolu le problème en faisant l'acquisition de Murray Baron, un agent libre des Canucks de Vancouver. Il pourrait être le défenseur idéal, un complément parfait pour faire équipe avec Pronger. Le style robuste de Baron pourrait enlever de la pression sur Pronger qui a été victime de passablement de coups salauds ces dernières années.
Chez les gardiens, Pleau avait remis les clés de l'auto au jeune Brent Johnson l'an dernier. Ce dernier a prouvé qu'il était un élève au volant. Il s'est blessé et a perdu son poste de gardien numéro un et un certain respect de ses coéquipiers et de ses patrons.
Puis Chris Osgood est arrivé quelques minutes avant l'heure limite des transactions. Ozzie, comme on le surnomme, a apporté de la stabilité même s'il n'était pas spectaculaire. Son éthique du travail qui lui a coûté des postes à Detroit et avec les Islanders de New York, a semblé satisfaire les dirigeants des Blues. Il est très solide sur les tirs bas, mais très mauvais sur des tirs hauts.
Les rumeurs persistantes à Saint Louis veulent que les Blues soient la prochaine destination de Curtis Joseph, qui avait été banni par Mike Keenan il y a huit ans. Mais son salaire de huit millions pourrait décourager le propriétaire des Blues, Bill Laurie.
Si Ozzie ne répond pas aux attentes, on va sûrement entendre dans les estrades "We want Cujo!"
Les Blues se sont aussi départis de trois "spécialistes" des désavantages numériques eux qui, comme plusieurs équipes, cherchent à réduire leur masse salariale avant la grève ou le lock-out de l'an prochain. Ainsi sont partis Tyson Nash, Cory Stillman et Martin Rucinsky. Mais cette unité n'était pas tellement efficace de toute façon, les Blues terminant à égalité au 24e rang dans la LNH avec 81,7%.
Petr Cajanek, Dallas Drake, Steve Martins et Doug Weight travailleront donc à améliorer les désavantages numériques.
Même sans Pronger, qui a raté toute la saison sauf la dernière semaine en 2002-03, et sans véritable gardien numéro un, les Blues ont tout de même terminé au cinquième rang dans l'Association de l'Ouest avec 99 points. Mais ils se sont inclinés en sept rencontres devant les Canucks de Vancouver en première ronde.
Pronger n'était certes pas à son meilleur en séries, mais il a passé l'été à s'entraîner plutôt qu'à se réhabiliter. Néanmoins, les Blues s'améliorent grandement avec Pronger dans leur rang, mais comment le défenseur se sentira-t-il dans un environnement différent? Les choses ont en effet quelque peu changé depuis sa blessure.
La paire formée de Al MacInnis, finaliste du Trophée Norris, et de Barrett Jackman, le vainqueur du Trophée Calder, est intouchable. Avec Pronger sur la touche, Alexander Khavanov et Bryce Salvador ont eu beaucoup de temps de glace et la chimie entre les deux défenseurs s'est faite, de sorte que les Blues ont déjà quatre défenseurs qui seraient facilement les quatre premiers dans plusieurs formations.
Mais le directeur général des Blues, Larry Pleau, a peut être résolu le problème en faisant l'acquisition de Murray Baron, un agent libre des Canucks de Vancouver. Il pourrait être le défenseur idéal, un complément parfait pour faire équipe avec Pronger. Le style robuste de Baron pourrait enlever de la pression sur Pronger qui a été victime de passablement de coups salauds ces dernières années.
Chez les gardiens, Pleau avait remis les clés de l'auto au jeune Brent Johnson l'an dernier. Ce dernier a prouvé qu'il était un élève au volant. Il s'est blessé et a perdu son poste de gardien numéro un et un certain respect de ses coéquipiers et de ses patrons.
Puis Chris Osgood est arrivé quelques minutes avant l'heure limite des transactions. Ozzie, comme on le surnomme, a apporté de la stabilité même s'il n'était pas spectaculaire. Son éthique du travail qui lui a coûté des postes à Detroit et avec les Islanders de New York, a semblé satisfaire les dirigeants des Blues. Il est très solide sur les tirs bas, mais très mauvais sur des tirs hauts.
Les rumeurs persistantes à Saint Louis veulent que les Blues soient la prochaine destination de Curtis Joseph, qui avait été banni par Mike Keenan il y a huit ans. Mais son salaire de huit millions pourrait décourager le propriétaire des Blues, Bill Laurie.
Si Ozzie ne répond pas aux attentes, on va sûrement entendre dans les estrades "We want Cujo!"
Les Blues se sont aussi départis de trois "spécialistes" des désavantages numériques eux qui, comme plusieurs équipes, cherchent à réduire leur masse salariale avant la grève ou le lock-out de l'an prochain. Ainsi sont partis Tyson Nash, Cory Stillman et Martin Rucinsky. Mais cette unité n'était pas tellement efficace de toute façon, les Blues terminant à égalité au 24e rang dans la LNH avec 81,7%.
Petr Cajanek, Dallas Drake, Steve Martins et Doug Weight travailleront donc à améliorer les désavantages numériques.