Priorité Montréal pour Dan Ellis
Hockey mercredi, 30 juin 2010. 16:12 samedi, 14 déc. 2024. 07:44
Une journée après avoir été échangé au Canadien, le gardien Dan Ellis a admis en entrevue au réseau NHL Network qu'il aimerait s'entendre avec sa nouvelle équipe au lieu de tester le marché des joueurs autonomes.
«Montréal était l'une des équipes que nous regardions. C'est vraiment excitant et on ne s'attendait pas à ce que ça se produise», a raconté Ellis qui a confié à Radio-Canada qu'un contrat de deux ans autour de quatre millions serait près de ses demandes.
«On espère s'entendre avec le Canadien. Ma femme et mes enfants sont excités présentement. C'est près de la maison parce que même si je suis né à Saskatoon, j'ai grandi dans le Nord de l'Ontario.»
Le gardien de six pieds et 193 livres a discuté avec le directeur général du Canadien Pierre Gauthier et l'entraîneur Jacques Martin à la suite de la transaction. Ellis est donc conscient de la situation qui pourrait l'attendre à Montréal avec Carey Price et ça ne l'effraie pas.
«Ma principale préoccupation est de jouer pour une équipe gagnante», avoue-t-il. «Si je peux jouer sur une équipe en partageant le travail avec un autre gardien et que nous pouvons mener l'équipe aussi loin que possible en séries et gagner la coupe Stanley, ce serait la meilleure chose. Tu n'as pas toujours besoin d'être le numéro un», explique-t-il.
Retrouver son français!
Ellis, qui s'est fait ravir son poste de numéro un l'an dernier par Pekka Rinne chez les Predators de Nashville, est emballé par la possibilité d'évoluer pour le Canadien.
«Plusieurs personnes rêvent de porter ce chandail! J'étais l'un de ceux-là en grandissant alors que je les suivais beaucoup. Mon frère et moi étions de grands fans du Canadien et des Maple Leafs même si ça semble difficile à croire», dévoile Ellis en vantant la tradition et la classe de l'organisation montréalaise.
Ayant grandit en Ontario, Ellis connaît la culture québécoise et ça lui rappellerait des souvenirs d'enfance de poursuivre sa carrière avec le Tricolore.
«À Montréal, c'est la tradition et la culture. Je pourrais travailler sur mon français ce que je n'ai pas fait depuis la 9e année », évoque-t-il.
Dès qu'il a été échangé, Ellis a dévoilé sur le réseau social Twitter qu'il était emballé. Le gardien de 30 ans est un fidèle de ce réseau pour le plaisir des amateurs.
«C'est Steve Sullivan (Predators) qui m'a fait embarquer dans cela. Il était déjà sur Twitter et on se taquinait souvent. On s'est dit que ça pourrait devenir intéressant de permettre aux fans de découvrir nos personnalités. Quand j'étais jeune, je tentais de trouver des informations pour savoir comment c'était être un joueur de la LNH et ce n'était pas facile. J'essaie d'être le plus franc et c'est amusant!»
Ellis, qui semble posséder un excellent sens de l'humour, a d'ailleurs ajouté une blague.
«Il semble qu'il y a plus de journalistes à Montréal, on verra si je peux rivaliser avec eux »
«Montréal était l'une des équipes que nous regardions. C'est vraiment excitant et on ne s'attendait pas à ce que ça se produise», a raconté Ellis qui a confié à Radio-Canada qu'un contrat de deux ans autour de quatre millions serait près de ses demandes.
«On espère s'entendre avec le Canadien. Ma femme et mes enfants sont excités présentement. C'est près de la maison parce que même si je suis né à Saskatoon, j'ai grandi dans le Nord de l'Ontario.»
Le gardien de six pieds et 193 livres a discuté avec le directeur général du Canadien Pierre Gauthier et l'entraîneur Jacques Martin à la suite de la transaction. Ellis est donc conscient de la situation qui pourrait l'attendre à Montréal avec Carey Price et ça ne l'effraie pas.
«Ma principale préoccupation est de jouer pour une équipe gagnante», avoue-t-il. «Si je peux jouer sur une équipe en partageant le travail avec un autre gardien et que nous pouvons mener l'équipe aussi loin que possible en séries et gagner la coupe Stanley, ce serait la meilleure chose. Tu n'as pas toujours besoin d'être le numéro un», explique-t-il.
Retrouver son français!
Ellis, qui s'est fait ravir son poste de numéro un l'an dernier par Pekka Rinne chez les Predators de Nashville, est emballé par la possibilité d'évoluer pour le Canadien.
«Plusieurs personnes rêvent de porter ce chandail! J'étais l'un de ceux-là en grandissant alors que je les suivais beaucoup. Mon frère et moi étions de grands fans du Canadien et des Maple Leafs même si ça semble difficile à croire», dévoile Ellis en vantant la tradition et la classe de l'organisation montréalaise.
Ayant grandit en Ontario, Ellis connaît la culture québécoise et ça lui rappellerait des souvenirs d'enfance de poursuivre sa carrière avec le Tricolore.
«À Montréal, c'est la tradition et la culture. Je pourrais travailler sur mon français ce que je n'ai pas fait depuis la 9e année », évoque-t-il.
Dès qu'il a été échangé, Ellis a dévoilé sur le réseau social Twitter qu'il était emballé. Le gardien de 30 ans est un fidèle de ce réseau pour le plaisir des amateurs.
«C'est Steve Sullivan (Predators) qui m'a fait embarquer dans cela. Il était déjà sur Twitter et on se taquinait souvent. On s'est dit que ça pourrait devenir intéressant de permettre aux fans de découvrir nos personnalités. Quand j'étais jeune, je tentais de trouver des informations pour savoir comment c'était être un joueur de la LNH et ce n'était pas facile. J'essaie d'être le plus franc et c'est amusant!»
Ellis, qui semble posséder un excellent sens de l'humour, a d'ailleurs ajouté une blague.
«Il semble qu'il y a plus de journalistes à Montréal, on verra si je peux rivaliser avec eux »