Sans contrat, Bégin n'a pas encore peur
Boston Bruins vendredi, 27 août 2010. 13:24 samedi, 14 déc. 2024. 11:46
Même si le mois de septembre approche à grands pas, le joueur autonome Steve Bégin ne cède pas encore à la panique et son premier souhait serait de poursuivre sa carrière avec les Bruins de Boston.
«Je demeure confiant de me trouver une place. Quand le 1er juillet est arrivé, je m'étais dit que je devrais signer vers la fin août ou au début septembre. On approche ce moment donc il reste une à deux semaines avant que je commence à m'énerver ou devenir nerveux», indique Bégin avec un sourire. «Pendant ce temps, on s'entraîne beaucoup et on patine parce qu'on ne sait jamais quand on peut recevoir un appel.»
L'attaquant de 32 ans a vécu une belle saison l'an dernier à Boston sous les ordres de Claude Julien et il aimerait poursuivre l'aventure. D'ailleurs, les Bruins n'ont pas fermé la porte à le remettre sous contrat.
«Ils veulent encore me signer, mais ils ont des problèmes au niveau de la masse salariale et ils essaient de faire des changements sauf que c'est plutôt tranquille dans la LNH présentement», précise Bégin avant un entraînement à Candiac.
«C'est sûr que j'aimerais retourner à Boston, ce serait mon choix numéro un! Mais ce que je veux, c'est jouer et je serais content n'importe où», ajoute-t-il.
Et un retour à Montréal?
Bégin, qui a récolté cinq buts et neuf passes en 77 parties la saison dernière, serait aussi heureux de faire un retour à Montréal.
«C'est certain que j'aimerais revenir et je ne tournerais jamais le dos à Montréal, mais j'ai passé de bons moments l'an passé à Boston et j'ai adoré cela tout comme ma famille», raconte le sympathique athlète.
Depuis son départ de l'organisation du Canadien, l'entraîneur Guy Carbonneau et le directeur général Bob Gainey ont quitté leur poste. Ce contexte pourrait-il faciliter son rapatriement?
«C'est important de mettre les points sur les i et les barres sur les t. Je n'ai jamais été en chicane avec personne. J'ai eu du plaisir à Montréal, j'ai passé six belles années et si j'avais à revenir, ça me ferait plaisir. J'adore la ville et les partisans, mais ce n'est pas moi qui décide», note Bégin.
En plus de son entraînement sur la glace, le combatif attaquant a renoué avec une autre passion, la boxe, et il a la chance de s'entraîner avec un nom très connu.
«Je prends des cours de boxe avec Stéphane Larouche d'InterBox une fois par semaine. Quand j'étais plus jeune, je faisais régulièrement de la boxe et j'avais mis cela de côté depuis environ 10 ans. C'est l'un des meilleurs entraînements pour le cardiovasculaire et j'avais le temps ainsi que les bonnes personnes pour y revenir, je ne pouvais pas avoir un meilleur endroit», explique-t-il.
«Cet entraînement sert davantage pour me mettre en forme et ça donne aussi confiance. De plus, ça aide pour le caractère, l'endurance et la force physique. Les boxeurs sont des machines, c'est bon pour le corps», souligne Bégin qui n'envisage pas encore un duel contre Lucian Bute à sa retraite du hockey.
«Non, je ne pense pas que ça arrivera, je ne voudrais pas le faire mal paraître», conclut-il à la blague.
D'après une entrevue effectuée par Alexandre Tourigny
«Je demeure confiant de me trouver une place. Quand le 1er juillet est arrivé, je m'étais dit que je devrais signer vers la fin août ou au début septembre. On approche ce moment donc il reste une à deux semaines avant que je commence à m'énerver ou devenir nerveux», indique Bégin avec un sourire. «Pendant ce temps, on s'entraîne beaucoup et on patine parce qu'on ne sait jamais quand on peut recevoir un appel.»
L'attaquant de 32 ans a vécu une belle saison l'an dernier à Boston sous les ordres de Claude Julien et il aimerait poursuivre l'aventure. D'ailleurs, les Bruins n'ont pas fermé la porte à le remettre sous contrat.
«Ils veulent encore me signer, mais ils ont des problèmes au niveau de la masse salariale et ils essaient de faire des changements sauf que c'est plutôt tranquille dans la LNH présentement», précise Bégin avant un entraînement à Candiac.
«C'est sûr que j'aimerais retourner à Boston, ce serait mon choix numéro un! Mais ce que je veux, c'est jouer et je serais content n'importe où», ajoute-t-il.
Et un retour à Montréal?
Bégin, qui a récolté cinq buts et neuf passes en 77 parties la saison dernière, serait aussi heureux de faire un retour à Montréal.
«C'est certain que j'aimerais revenir et je ne tournerais jamais le dos à Montréal, mais j'ai passé de bons moments l'an passé à Boston et j'ai adoré cela tout comme ma famille», raconte le sympathique athlète.
Depuis son départ de l'organisation du Canadien, l'entraîneur Guy Carbonneau et le directeur général Bob Gainey ont quitté leur poste. Ce contexte pourrait-il faciliter son rapatriement?
«C'est important de mettre les points sur les i et les barres sur les t. Je n'ai jamais été en chicane avec personne. J'ai eu du plaisir à Montréal, j'ai passé six belles années et si j'avais à revenir, ça me ferait plaisir. J'adore la ville et les partisans, mais ce n'est pas moi qui décide», note Bégin.
En plus de son entraînement sur la glace, le combatif attaquant a renoué avec une autre passion, la boxe, et il a la chance de s'entraîner avec un nom très connu.
«Je prends des cours de boxe avec Stéphane Larouche d'InterBox une fois par semaine. Quand j'étais plus jeune, je faisais régulièrement de la boxe et j'avais mis cela de côté depuis environ 10 ans. C'est l'un des meilleurs entraînements pour le cardiovasculaire et j'avais le temps ainsi que les bonnes personnes pour y revenir, je ne pouvais pas avoir un meilleur endroit», explique-t-il.
«Cet entraînement sert davantage pour me mettre en forme et ça donne aussi confiance. De plus, ça aide pour le caractère, l'endurance et la force physique. Les boxeurs sont des machines, c'est bon pour le corps», souligne Bégin qui n'envisage pas encore un duel contre Lucian Bute à sa retraite du hockey.
«Non, je ne pense pas que ça arrivera, je ne voudrais pas le faire mal paraître», conclut-il à la blague.
D'après une entrevue effectuée par Alexandre Tourigny