Savard a rapidement été impressionné
Hockey mercredi, 2 mai 2012. 18:44 samedi, 14 déc. 2024. 15:39
Parmi la dizaine de candidats qui ont été contactés dans les recherches visant à trouver le prochain directeur général du Canadien, Marc Bergevin s'est rapidement distingué et sa nomination est vite apparue comme un choix évident pour Geoff Molson et son conseiller Serge Savard.
C'est du moins ce qu'a confié M. Savard dans une entrevue accordée à l'équipe de l'émission Le 5 à 7 mercredi.
« On l'a rencontré une première fois à New York, où on a passé au moins trois heures avec lui. Ça a été une réunion très constructive de laquelle on est sortis assez impressionnés. Il était le premier sur notre liste après la première réunion », a dévoilé le Sénateur, qui a servi de bras droit au président du Canadien dans le processus d'embauche.
« On l'a rencontré de nouveau pendant environ cinq heures lundi après-midi et c'est après ça qu'on a pris notre décision », a détaillé l'ancien directeur général du Tricolore.
Parce qu'il s'exprime dans la langue maternelle de la majorité des Québécois, Bergevin répond au tout premier critère qui avait été mentionné par Savard et Molson au début de leur quête. Son important vécu dans les vestiaires de la Ligue nationale - il a été défenseur de huit équipes pendant deux décennies complètes - a également joué en sa faveur, mais c'est l'expérience qu'il a acquise au cours de son après-carrière qui l'a aidé à marquer le plus de points.
« C'est un gars qui a fait ses classes, a noté Savard au 5 à 7. Il a passé sept ou huit ans dans l'organisation des Blackhawks, où il a occupé une multitude de postes. Pour nous, c'est comme s'il sortait de l'université, qu'il venait de terminer un cours pour devenir directeur général. »
« J'ai aussi beaucoup aimé sa personnalité, a ajouté Savard. Quand tu passes une dizaine d'heures avec un gars, tu l'exposes à plusieurs situations et j'obtenais toujours les réponses que je voulais entendre. Je trouve qu'il a un jugement extraordinaire et tout ce qu'on entend sur lui, c'est qu'il est un travailleur infatigable. »
Savard a maintenant rempli le mandat qui lui avait été confié et avance qu'il n'a plus d'engagement envers le Canadien. « Si on a besoin de mes conseils dans le futur, ça me fera plaisir d'aider, mais on ne m'a encore rien demandé. »
C'est du moins ce qu'a confié M. Savard dans une entrevue accordée à l'équipe de l'émission Le 5 à 7 mercredi.
« On l'a rencontré une première fois à New York, où on a passé au moins trois heures avec lui. Ça a été une réunion très constructive de laquelle on est sortis assez impressionnés. Il était le premier sur notre liste après la première réunion », a dévoilé le Sénateur, qui a servi de bras droit au président du Canadien dans le processus d'embauche.
« On l'a rencontré de nouveau pendant environ cinq heures lundi après-midi et c'est après ça qu'on a pris notre décision », a détaillé l'ancien directeur général du Tricolore.
Parce qu'il s'exprime dans la langue maternelle de la majorité des Québécois, Bergevin répond au tout premier critère qui avait été mentionné par Savard et Molson au début de leur quête. Son important vécu dans les vestiaires de la Ligue nationale - il a été défenseur de huit équipes pendant deux décennies complètes - a également joué en sa faveur, mais c'est l'expérience qu'il a acquise au cours de son après-carrière qui l'a aidé à marquer le plus de points.
« C'est un gars qui a fait ses classes, a noté Savard au 5 à 7. Il a passé sept ou huit ans dans l'organisation des Blackhawks, où il a occupé une multitude de postes. Pour nous, c'est comme s'il sortait de l'université, qu'il venait de terminer un cours pour devenir directeur général. »
« J'ai aussi beaucoup aimé sa personnalité, a ajouté Savard. Quand tu passes une dizaine d'heures avec un gars, tu l'exposes à plusieurs situations et j'obtenais toujours les réponses que je voulais entendre. Je trouve qu'il a un jugement extraordinaire et tout ce qu'on entend sur lui, c'est qu'il est un travailleur infatigable. »
Savard a maintenant rempli le mandat qui lui avait été confié et avance qu'il n'a plus d'engagement envers le Canadien. « Si on a besoin de mes conseils dans le futur, ça me fera plaisir d'aider, mais on ne m'a encore rien demandé. »