Snowball poursuivi
Hockey vendredi, 7 déc. 2007. 14:32 samedi, 14 déc. 2024. 06:52
Trois-Rivières - L'organisation du Caron et Guay est encore sous le choc. En organisant les préparatifs pour la venue de Robert Snowball, l'état major du club fut étonné d'apprendre qu'il a finalement décidé de ne pas se présenter.
En effet M. Snowball s'est fait offrir un poste à temps plein comme pompier à London en Ontario. De plus, étant donné la proximité des deux villes, il a décidé de s'aligner avec Port Huron de la IHL lorsque son horaire le permettra. Cependant, en vertu du contrat qu'il a signé avec le Caron et Guay, il lui est impossible de s'aligner avec une autre formation sans le consentement du club.
C'est sans hésitation que d'un commun accord messieurs Léo-Guy Morrissette et Jean-Luc St-Onge, les propriétaires de l'équipe, on entrepris des démarches judicaire à l'endroit de M. Snowball afin qu'il honore le contrat qu'il a signé au mois de septembre.
«Depuis mon arrivé avec le club, je m'efforce de réparer les dommages laissé par gens qui n'ont pas honoré leur paroles. C'est pour cette raison qu'il était primordial que chaque joueur signe un contrat en bonne est dû forme, afin de justement démontrer le professionnalisme du club. C'est pourquoi que lorsque M. Snowball a apposé sa signature dans le bas chacune des 7 pages de notre contrat, il était clair qu'il l'honorerait», fulminait M. St-Onge.
« Ce que je déplore le plus, c'est qu'il téléphonait à chaque semaine pour s'informer des récentes performances du club, et il avait même discuter avec de ses anciens co-équipiers évoluant avec le club. Rien ne pouvait nous laissé présager cela, mais en même temps nous avions un contrat en béton jamais je n'aurais pensé ce genre de geste possible », commenta-t-il.
C'est justement ce contrat en béton qui va permettre au club de poursuivre en justice M. Snowball. Ce n'est pas vraiment que l'organisation veut revoir M. Snowball à Trois-Rivières, mais plutôt démontrer qu'il est fini le temps où l'on se moque des organisations, où les joueurs donne leur parole et ne la respecte pas. Une close dans le contrat définissait bien les sanctions imposées aux joueurs en cas de non respect de l'entente, donc l'organisation tient à ce que justice soit faite.
Sous les directives de leurs conseillers juridique, l'organisation n'émettra aucun autre commentaire tant et aussi longtemps que l'affaire sera devant la justice.
En effet M. Snowball s'est fait offrir un poste à temps plein comme pompier à London en Ontario. De plus, étant donné la proximité des deux villes, il a décidé de s'aligner avec Port Huron de la IHL lorsque son horaire le permettra. Cependant, en vertu du contrat qu'il a signé avec le Caron et Guay, il lui est impossible de s'aligner avec une autre formation sans le consentement du club.
C'est sans hésitation que d'un commun accord messieurs Léo-Guy Morrissette et Jean-Luc St-Onge, les propriétaires de l'équipe, on entrepris des démarches judicaire à l'endroit de M. Snowball afin qu'il honore le contrat qu'il a signé au mois de septembre.
«Depuis mon arrivé avec le club, je m'efforce de réparer les dommages laissé par gens qui n'ont pas honoré leur paroles. C'est pour cette raison qu'il était primordial que chaque joueur signe un contrat en bonne est dû forme, afin de justement démontrer le professionnalisme du club. C'est pourquoi que lorsque M. Snowball a apposé sa signature dans le bas chacune des 7 pages de notre contrat, il était clair qu'il l'honorerait», fulminait M. St-Onge.
« Ce que je déplore le plus, c'est qu'il téléphonait à chaque semaine pour s'informer des récentes performances du club, et il avait même discuter avec de ses anciens co-équipiers évoluant avec le club. Rien ne pouvait nous laissé présager cela, mais en même temps nous avions un contrat en béton jamais je n'aurais pensé ce genre de geste possible », commenta-t-il.
C'est justement ce contrat en béton qui va permettre au club de poursuivre en justice M. Snowball. Ce n'est pas vraiment que l'organisation veut revoir M. Snowball à Trois-Rivières, mais plutôt démontrer qu'il est fini le temps où l'on se moque des organisations, où les joueurs donne leur parole et ne la respecte pas. Une close dans le contrat définissait bien les sanctions imposées aux joueurs en cas de non respect de l'entente, donc l'organisation tient à ce que justice soit faite.
Sous les directives de leurs conseillers juridique, l'organisation n'émettra aucun autre commentaire tant et aussi longtemps que l'affaire sera devant la justice.