Trop tard pour une saison complète ?
Hockey jeudi, 25 oct. 2012. 16:08 mercredi, 11 déc. 2024. 17:00
NEW YORK - À quelques heures de la date limite établie par la LNH pour conclure une entente avec les joueurs et préserver une saison complète, rien ne se passait et les deux parties ne se parlaient pas, jeudi soir.
Bill Daly a mentionné à RDS que les chances de disputer une saison complète de 82 matchs semblaient nulles maintenant.
Plus tôt, le commissaire Gary Bettman a brossé un portrait pessimiste du dossier, disant qu'il était peu probable qu'une nouvelle entente surviendrait jeudi et rendrait possible une saison de 82 matchs, qui commencerait le 2 novembre.
La ligue a proposé de partager les revenus liés au hockey 50-50 mais a posé comme condition qu'une entente arrive avant jeudi, qui mènerait à une saison après un camp d'entraînement d'une semaine.
Les pourparlers ont échoué la semaine dernière et cette semaine, la LNH a refusé l'offre de l'Association des joueurs de recommencer à discuter sans conditions. Il n'y a pas de négociations de prévues cette semaine ou dans un avenir rapproché.
Les joueurs ont demandé mardi soir une séance de discussions pour mercredi, mais la ligue a décliné cette invitation. La position de la LNH est que s'ils ne veulent pas parler de l'offre déjà sur la table, il n'y a pas de raisons de se rencontrer.
L'Association des joueurs veut que tout soit ouvert aux discussions mais Bettman ne l'entend pas ainsi, ce qui fait que la saison reste en danger.
Il y a déjà eu 135 matchs annulés jusqu'au 1er novembre. Une saison partielle reste possible, et la LNH n'a pas encore annulé des événements prestigieux comme la Classique hivernale du Jour de l'An, ou le match des étoiles.
La LNH a annulé la totalité de la saison 2004-05 à cause d'un lock-out qui a mené à l'instauration d'un plafond salarial.
Les deux parties n'ont pas discuté depuis que la ligue a rejeté les trois contre-offres des joueurs la semaine dernière, deux jours après avoir offert de partager les revenus 50-50.
Un aspect important du litige concerne les contrats déjà signés. Les joueurs veulent s'assurer qu'ils seront versés en entier, et sans affecter les contrats futurs.
Le lock-out en cours, amorcé le 15 septembre, est le troisième sous le règne de Bettman.
Bill Daly a mentionné à RDS que les chances de disputer une saison complète de 82 matchs semblaient nulles maintenant.
Plus tôt, le commissaire Gary Bettman a brossé un portrait pessimiste du dossier, disant qu'il était peu probable qu'une nouvelle entente surviendrait jeudi et rendrait possible une saison de 82 matchs, qui commencerait le 2 novembre.
La ligue a proposé de partager les revenus liés au hockey 50-50 mais a posé comme condition qu'une entente arrive avant jeudi, qui mènerait à une saison après un camp d'entraînement d'une semaine.
Les pourparlers ont échoué la semaine dernière et cette semaine, la LNH a refusé l'offre de l'Association des joueurs de recommencer à discuter sans conditions. Il n'y a pas de négociations de prévues cette semaine ou dans un avenir rapproché.
Les joueurs ont demandé mardi soir une séance de discussions pour mercredi, mais la ligue a décliné cette invitation. La position de la LNH est que s'ils ne veulent pas parler de l'offre déjà sur la table, il n'y a pas de raisons de se rencontrer.
L'Association des joueurs veut que tout soit ouvert aux discussions mais Bettman ne l'entend pas ainsi, ce qui fait que la saison reste en danger.
Il y a déjà eu 135 matchs annulés jusqu'au 1er novembre. Une saison partielle reste possible, et la LNH n'a pas encore annulé des événements prestigieux comme la Classique hivernale du Jour de l'An, ou le match des étoiles.
La LNH a annulé la totalité de la saison 2004-05 à cause d'un lock-out qui a mené à l'instauration d'un plafond salarial.
Les deux parties n'ont pas discuté depuis que la ligue a rejeté les trois contre-offres des joueurs la semaine dernière, deux jours après avoir offert de partager les revenus 50-50.
Un aspect important du litige concerne les contrats déjà signés. Les joueurs veulent s'assurer qu'ils seront versés en entier, et sans affecter les contrats futurs.
Le lock-out en cours, amorcé le 15 septembre, est le troisième sous le règne de Bettman.