Une question de fierté dit Cunneyworth
Hockey mardi, 7 févr. 2012. 23:51 jeudi, 12 déc. 2024. 21:29
MONTRÉAL - Le Canadien a finalement trouvé une façon de gagner, mardi. Trop souvent cette saison, il avait inventé des façons de perdre.
« C'est ce qui est le plus frustrant avec cette équipe, a analysé l'ailier Mathieu Darche, au terme de la victoire de 3-2 face aux Penguins de Pittsburgh. Nous jouons de bons matchs, mais trouvons une façon de perdre plusieurs d'entre eux.
« À l'époque où j'étais avec le Lightning de Tampa, nous perdions parce que nous n'étions pas compétitifs.
« Cette saison, nous accusons un grand retard sur l'équipe de huitième place dans l'Association de l'Est, mais nous ne jouons pas aussi mal que l'écart l'indique. »
L'entraîneur Randy Cunneyworth a admis que ses troupiers jouent avec la crainte d'être humiliés quand ils se mesurent à des équipes de premier plan.
« C'est psychologique et c'est une question de fierté. Vous savez que si vous n'êtes pas à votre mieux contre les meilleures équipes, vous risquez d'être bafoués. »
Encore une fois, le CH a vu les Penguins revenir de l'arrière en troisième période, deux fois plutôt qu'une, afin de provoquer le surtemps.
Tomas Plekanec a pointé du doigt l'inertie du jeu de puissance en guise d'explication.
Les Penguins ont fait 1-1 pendant un avantage numérique du Canadien tandis que les troupiers de Cunneyworth ont laissé filer une belle occasion en supériorité avec moins de cinq minutes à jouer.
« Notre jeu de puissance..., a soupiré le joueur de centre. Les Penguins en ont profité pour prendre l'inititative du jeu. Nous avons par la suite été quelque peu chanceux sur le but de Lars (Eller). Mais notre jeu de puissance, je ne sais pas ce qui ne fonctionne pas. Manque de cohésion ou de concentration, il nous faut être sur la même page. »
Le jeune Louis Leblanc a continué de faire bonne impression, à son deuxième rappel de la saison. Après avoir amassé une passe samedi, il a réussi un beau but, mardi.
« Louis est actif et combatif. Il prend de bonnes décisions dans le feu de l'action et il bataille ferme dans les coins de patinoire, a ajouté Cunneyworth. Il a marqué un très beau but. »
Leblanc ne s'emballe pas, lui qui en était à son 18e match avec le Canadien cette saison. Il montre une fiche de trois buts et de quatre passes.
« À tous les jours que je passe ici, c'est un nouveau pas vers l'avant pour moi, une nouvelle expérience, a-t-il dit. Ce soir, on m'a utilisé en supériorité numérique ainsi qu'au cours de la séance des tirs de barrage. J'en profite et j'ai du plaisir. »
Leblanc a eu 15:16 minutes de temps de jeu et il a dirigé quatre des 30 tirs cadrés du Canadien.
Pour un deuxième match d'affilée, Scott Gomez a été le joueur le moins utilisé de l'équipe, avec 11:12 minutes.
Le Canadien a perdu les services de Yannick Weber en prolongation. Mis en échec par Chris Kunitz en entrée de zone des Penguins, le jeune défenseur a paru se blesser à la jambe gauche.
« C'est ce qui est le plus frustrant avec cette équipe, a analysé l'ailier Mathieu Darche, au terme de la victoire de 3-2 face aux Penguins de Pittsburgh. Nous jouons de bons matchs, mais trouvons une façon de perdre plusieurs d'entre eux.
« À l'époque où j'étais avec le Lightning de Tampa, nous perdions parce que nous n'étions pas compétitifs.
« Cette saison, nous accusons un grand retard sur l'équipe de huitième place dans l'Association de l'Est, mais nous ne jouons pas aussi mal que l'écart l'indique. »
L'entraîneur Randy Cunneyworth a admis que ses troupiers jouent avec la crainte d'être humiliés quand ils se mesurent à des équipes de premier plan.
« C'est psychologique et c'est une question de fierté. Vous savez que si vous n'êtes pas à votre mieux contre les meilleures équipes, vous risquez d'être bafoués. »
Encore une fois, le CH a vu les Penguins revenir de l'arrière en troisième période, deux fois plutôt qu'une, afin de provoquer le surtemps.
Tomas Plekanec a pointé du doigt l'inertie du jeu de puissance en guise d'explication.
Les Penguins ont fait 1-1 pendant un avantage numérique du Canadien tandis que les troupiers de Cunneyworth ont laissé filer une belle occasion en supériorité avec moins de cinq minutes à jouer.
« Notre jeu de puissance..., a soupiré le joueur de centre. Les Penguins en ont profité pour prendre l'inititative du jeu. Nous avons par la suite été quelque peu chanceux sur le but de Lars (Eller). Mais notre jeu de puissance, je ne sais pas ce qui ne fonctionne pas. Manque de cohésion ou de concentration, il nous faut être sur la même page. »
Le jeune Louis Leblanc a continué de faire bonne impression, à son deuxième rappel de la saison. Après avoir amassé une passe samedi, il a réussi un beau but, mardi.
« Louis est actif et combatif. Il prend de bonnes décisions dans le feu de l'action et il bataille ferme dans les coins de patinoire, a ajouté Cunneyworth. Il a marqué un très beau but. »
Leblanc ne s'emballe pas, lui qui en était à son 18e match avec le Canadien cette saison. Il montre une fiche de trois buts et de quatre passes.
« À tous les jours que je passe ici, c'est un nouveau pas vers l'avant pour moi, une nouvelle expérience, a-t-il dit. Ce soir, on m'a utilisé en supériorité numérique ainsi qu'au cours de la séance des tirs de barrage. J'en profite et j'ai du plaisir. »
Leblanc a eu 15:16 minutes de temps de jeu et il a dirigé quatre des 30 tirs cadrés du Canadien.
Pour un deuxième match d'affilée, Scott Gomez a été le joueur le moins utilisé de l'équipe, avec 11:12 minutes.
Le Canadien a perdu les services de Yannick Weber en prolongation. Mis en échec par Chris Kunitz en entrée de zone des Penguins, le jeune défenseur a paru se blesser à la jambe gauche.