Une victoire signée Jaroslav Halak
Hockey lundi, 1 févr. 2010. 20:36 mercredi, 11 déc. 2024. 09:59
Les acteurs de soutien du Canadien ont été à la hauteur, mais c'est Jaroslav Halak qui a joué le premier rôle.
Le Canadien a trimé dur et son gardien l'a sauvé à plusieurs reprises dans un gain surprise de 3-2 sur les Canucks de Vancouver, mardi au Centre Bell.
Les hommes de Jacques Martin retrouvent le sentier de la victoire après une série de trois revers. Pour les Canucks, la série de victoires s'arrête à sept.
«On a marqué à cinq contre cinq et ce, trois fois,» a dit l'entraîneur avec un sourire en coin.
Jaroslav Halak, qui jouait même s'il a subi la défaite à sa dernière sortie, a gardé son équipe dans la partie plus souvent qu'à son tour face aux Canucks, qui sont parvenus très souvent à imposer un échec avant efficace et à maîtriser la rondelle à leur guise. La partie n'était même pas vieille de 60 secondes, que Henrik Sedin avait déjà été volé deux fois par Jaroslav Halak. Le Slovaque a fait face à un total de 47 tirs.
Martin se félicitait d'avoir écouté son instinct pour le choix de son portier. «J'avais le sentiment que c'était le gardien que je devais utiliser ce soir.»
Le brio de Halak a limité le premier trio des Canucks à un seul point, une passe de Daniel Sedin.
Le Canadien a bien répondu lors de ce premier match en l'absence de son meilleur buteur Michael Cammalleri, qui sera absent au moins six semaines en raison d'une blessure au genou droit.
Le rythme a été endiablé au deuxième tiers même si aucun but n'a été marqué. Pendant quelques minutes à mi-chemin dans la période, l'action se déplaçait d'un bout à l'autre sans interruption. La foule était dans le coup.
Ironiquement, le Canadien arrive à livrer des solides performances face à des formations de premier ordre, ce que l'équipe semble incapable de faire contre des équipes de son rang.
Contre toute attente, c'est le Canadien qui a ouvert la marque par l'entremise de Sergei Kostitsyn. En prime, le but a été compté à égalité numérique, une première depuis la partie du 26 janvier contre les Rangers de New York, soit il y a plus de trois rencontres ou près de 220 minutes de jeu si vous préférez. Kostitsyn, qui a aussi récolté une passe, a brièvement quitté avant la fin de la partie en fin de troisième avant de revenir.
Les Canucks n'ont pas tardé à répliquer en avantage numérique lorsque Mikael Samuelsson a battu Jaroslav Halak d'un tir frappé qui a échappé au gardien du Canadien en avantage numérique.
En fin de première période, Maxim Lapierre a sauté sur un retour de lancer pour battre Roberto Luongo. Mathieu Darche venait de faire une passe en direction du filet des Canucks. Pour Lapierre, c'était un deuxième but en cinq parties après avoir mis fin à une disette de 28 matchs. C'était alors 2-1.
«Jaro a gagné le match, a avoué Darche. Les Canucks lançaient de partout. L'important, ce sont les deux points au classement.»
«On a respecté le système et on a joué serré, a soutenu Lapierre. Il ne faut pas se fier au nombre de tirs au but parce qu'on a très bien joué.»
En troisième, un troisième retour de lancer de Tomas Plekanec a été le bon et il a battu Luongo, qui n'y pouvait rien. C'était un 14e pour Plekanec.
Martin a particulièrement encensé les trios de Plekanec et de Lapierre. «Ils ont créé des chances de marquer. Puis, la ligne de Plekanec a joué souvent contre les frères Sedin et Alex Burrows, qui ont été limités à un seul point alors que le trio de Lapierre a bien fait en zone offensive.»
Ryan Kesler a rapproché les Canucks à un seul but en trouvant le fond du filet en avantage numérique en troisième alors que Darche avait écopé d'une pénalité de quatre minutes pour bâton élevé.
Benoit Pouliot a amassé deux aides dans la victoire.
«Sergei aurait pu en avoir deux ou trois ce soir, a déclaré Pouliot. La vedette a été Jaro dans le filet avec des arrêts incroyables. Maintenant, il faut accorder moins de lancers.»
Les Canucks ont vu leurs espoirs s'estomper quand Alexandre Burrows a écopé une pénalité pour obstruction à l'endroit de Halak, à 39 secondes de la fin.
Ryan O'Byrne a joué une autre partie solide. «Il va à la guerre, il s'améliore toujours et il obtient plus de temps de glace,» a dit son entraîneur.
Le Canadien a trimé dur et son gardien l'a sauvé à plusieurs reprises dans un gain surprise de 3-2 sur les Canucks de Vancouver, mardi au Centre Bell.
Les hommes de Jacques Martin retrouvent le sentier de la victoire après une série de trois revers. Pour les Canucks, la série de victoires s'arrête à sept.
«On a marqué à cinq contre cinq et ce, trois fois,» a dit l'entraîneur avec un sourire en coin.
Jaroslav Halak, qui jouait même s'il a subi la défaite à sa dernière sortie, a gardé son équipe dans la partie plus souvent qu'à son tour face aux Canucks, qui sont parvenus très souvent à imposer un échec avant efficace et à maîtriser la rondelle à leur guise. La partie n'était même pas vieille de 60 secondes, que Henrik Sedin avait déjà été volé deux fois par Jaroslav Halak. Le Slovaque a fait face à un total de 47 tirs.
Martin se félicitait d'avoir écouté son instinct pour le choix de son portier. «J'avais le sentiment que c'était le gardien que je devais utiliser ce soir.»
Le brio de Halak a limité le premier trio des Canucks à un seul point, une passe de Daniel Sedin.
Le Canadien a bien répondu lors de ce premier match en l'absence de son meilleur buteur Michael Cammalleri, qui sera absent au moins six semaines en raison d'une blessure au genou droit.
Le rythme a été endiablé au deuxième tiers même si aucun but n'a été marqué. Pendant quelques minutes à mi-chemin dans la période, l'action se déplaçait d'un bout à l'autre sans interruption. La foule était dans le coup.
Ironiquement, le Canadien arrive à livrer des solides performances face à des formations de premier ordre, ce que l'équipe semble incapable de faire contre des équipes de son rang.
Contre toute attente, c'est le Canadien qui a ouvert la marque par l'entremise de Sergei Kostitsyn. En prime, le but a été compté à égalité numérique, une première depuis la partie du 26 janvier contre les Rangers de New York, soit il y a plus de trois rencontres ou près de 220 minutes de jeu si vous préférez. Kostitsyn, qui a aussi récolté une passe, a brièvement quitté avant la fin de la partie en fin de troisième avant de revenir.
Les Canucks n'ont pas tardé à répliquer en avantage numérique lorsque Mikael Samuelsson a battu Jaroslav Halak d'un tir frappé qui a échappé au gardien du Canadien en avantage numérique.
En fin de première période, Maxim Lapierre a sauté sur un retour de lancer pour battre Roberto Luongo. Mathieu Darche venait de faire une passe en direction du filet des Canucks. Pour Lapierre, c'était un deuxième but en cinq parties après avoir mis fin à une disette de 28 matchs. C'était alors 2-1.
«Jaro a gagné le match, a avoué Darche. Les Canucks lançaient de partout. L'important, ce sont les deux points au classement.»
«On a respecté le système et on a joué serré, a soutenu Lapierre. Il ne faut pas se fier au nombre de tirs au but parce qu'on a très bien joué.»
En troisième, un troisième retour de lancer de Tomas Plekanec a été le bon et il a battu Luongo, qui n'y pouvait rien. C'était un 14e pour Plekanec.
Martin a particulièrement encensé les trios de Plekanec et de Lapierre. «Ils ont créé des chances de marquer. Puis, la ligne de Plekanec a joué souvent contre les frères Sedin et Alex Burrows, qui ont été limités à un seul point alors que le trio de Lapierre a bien fait en zone offensive.»
Ryan Kesler a rapproché les Canucks à un seul but en trouvant le fond du filet en avantage numérique en troisième alors que Darche avait écopé d'une pénalité de quatre minutes pour bâton élevé.
Benoit Pouliot a amassé deux aides dans la victoire.
«Sergei aurait pu en avoir deux ou trois ce soir, a déclaré Pouliot. La vedette a été Jaro dans le filet avec des arrêts incroyables. Maintenant, il faut accorder moins de lancers.»
Les Canucks ont vu leurs espoirs s'estomper quand Alexandre Burrows a écopé une pénalité pour obstruction à l'endroit de Halak, à 39 secondes de la fin.
Ryan O'Byrne a joué une autre partie solide. «Il va à la guerre, il s'améliore toujours et il obtient plus de temps de glace,» a dit son entraîneur.