Weber s'inspire du parcours de Streit
Hockey vendredi, 30 sept. 2011. 15:37 vendredi, 13 déc. 2024. 16:31
BROSSARD, Qc - Yannick Weber ne peut pas avoir de meilleur confident que Mark Streit par le temps qui court.
Déçu d'avoir été écarté du groupe de défenseurs du Canadien, le jeune Suisse, qu'on utilise plutôt à l'attaque, peut compter sur le réconfort de son compatriote Streit, qui est exactement passé par là chez le Tricolore.
« Ces temps-ci, on se parle à tous les jours ou presque, a confié Weber, vendredi. Mark et moi sommes de bons amis. Depuis quelques étés, nous passons beaucoup de temps ensemble. »
Il n'y a pas mieux placé que Streit afin de comprendre dans quel état d'esprit Weber se retrouve. Comme lui, Streit a dû ronger son frein dans l'organisation du Canadien et on l'a fait jouer à l'attaque, avant qu'il n'aille décrocher le gros lot à Uniondale, où il vient d'être choisi le capitaine des Islanders de New York.
« Il n'y a pas de meilleur modèle pour moi que Mark, a-t-il admis. Il est arrivé dans la Ligue nationale à un âge plus avancé, mais regardez par où il est passé et où il est rendu. Il a signé un gros contrat et il est le capitaine des Islanders. »
Weber, qui vient de souffler ses 23 chandelles, a souligné que son compatriote de presque 11 ans son aîné lui remonte le moral et l'aide à garder sa motivation.
« Il me répète de ne pas m'en faire et que je suis capable de jouer. Il me donne confiance en mes moyens. »
La carrière de Streit a véritablement pris son envol quand les Islanders l'ont mis sous contrat, en 2008. Weber n'est pas arrivé à la conclusion qu'il serait préférable qu'il aille s'épanouir sous d'autres cieux.
« Non, je veux rester ici. J'apprécie beaucoup la ville et l'équipe, a-t-il mentionné. Je n'ai jamais envisagé de quitter et je ne souhaite pas que ça arrive. »
Le patineur natif de Morges a eu un entretien dernièrement avec l'entraîneur Jacques Martin, qui lui a manifesté sa déception face à son rendement.
« Je me suis présenté au camp en bonne forme et je me sentais bien. Je n'ai peut-être pas été bon comme je l'aurais voulu, mais je n'ai pas le sentiment d'avoir été si terrible que ça », a-t-il affirmé.
Il s'est dit prêt à aider l'équipe comme attaquant. Il avait fait bonne impression à l'aile droite, la saison dernière, lui qui n'avait pas joué à cette position depuis son enfance.
« En autant que je joue. Je préfère jouer comme attaquant que d'être laissé de côté, a-t-il résumé. C'est une longue saison. On ne sait jamais ce qui peut arriver. On aura peut-être besoin de mes services comme défenseur, à un moment donné. »
Déçu d'avoir été écarté du groupe de défenseurs du Canadien, le jeune Suisse, qu'on utilise plutôt à l'attaque, peut compter sur le réconfort de son compatriote Streit, qui est exactement passé par là chez le Tricolore.
« Ces temps-ci, on se parle à tous les jours ou presque, a confié Weber, vendredi. Mark et moi sommes de bons amis. Depuis quelques étés, nous passons beaucoup de temps ensemble. »
Il n'y a pas mieux placé que Streit afin de comprendre dans quel état d'esprit Weber se retrouve. Comme lui, Streit a dû ronger son frein dans l'organisation du Canadien et on l'a fait jouer à l'attaque, avant qu'il n'aille décrocher le gros lot à Uniondale, où il vient d'être choisi le capitaine des Islanders de New York.
« Il n'y a pas de meilleur modèle pour moi que Mark, a-t-il admis. Il est arrivé dans la Ligue nationale à un âge plus avancé, mais regardez par où il est passé et où il est rendu. Il a signé un gros contrat et il est le capitaine des Islanders. »
Weber, qui vient de souffler ses 23 chandelles, a souligné que son compatriote de presque 11 ans son aîné lui remonte le moral et l'aide à garder sa motivation.
« Il me répète de ne pas m'en faire et que je suis capable de jouer. Il me donne confiance en mes moyens. »
La carrière de Streit a véritablement pris son envol quand les Islanders l'ont mis sous contrat, en 2008. Weber n'est pas arrivé à la conclusion qu'il serait préférable qu'il aille s'épanouir sous d'autres cieux.
« Non, je veux rester ici. J'apprécie beaucoup la ville et l'équipe, a-t-il mentionné. Je n'ai jamais envisagé de quitter et je ne souhaite pas que ça arrive. »
Le patineur natif de Morges a eu un entretien dernièrement avec l'entraîneur Jacques Martin, qui lui a manifesté sa déception face à son rendement.
« Je me suis présenté au camp en bonne forme et je me sentais bien. Je n'ai peut-être pas été bon comme je l'aurais voulu, mais je n'ai pas le sentiment d'avoir été si terrible que ça », a-t-il affirmé.
Il s'est dit prêt à aider l'équipe comme attaquant. Il avait fait bonne impression à l'aile droite, la saison dernière, lui qui n'avait pas joué à cette position depuis son enfance.
« En autant que je joue. Je préfère jouer comme attaquant que d'être laissé de côté, a-t-il résumé. C'est une longue saison. On ne sait jamais ce qui peut arriver. On aura peut-être besoin de mes services comme défenseur, à un moment donné. »