"Y a pas grand-monde qui comprend Kovalev"
Hockey dimanche, 28 janv. 2007. 18:10 jeudi, 12 déc. 2024. 23:37
MONTRÉAL (PC) - Alex Kovalev tient un beau discours. Après l'entraînement de dimanche, le Russe a rappelé qu'il a toujours à cœur les succès de l'équipe. Mais sur la glace, les résultats tardent à venir, ce qui frustre autant le partisan que l'entraîneur.
En 50 matchs, Kovalev a marqué 12 buts et récolté 23 passes pour 35 points. Ce rendement le plaçait au 93e rang des compteurs de la Ligue nationale avant les rencontres de dimanche. Depuis que le Canadien a entrepris sa glissade le 23 décembre à Boston, Kovalev a inscrit trois buts et amassé sept passes en 16 rencontres.
«Il n'y a pas grand-monde qui le comprend, admet Guy Carbonneau. Kovalev fait quand même partie de la solution», a-t-il pris soin d'ajouter.
De son côté, Kovalev fait valoir que la solution doit venir de tous les joueurs.
«C'est un jeu d'équipe, dit-il. Actuellement, on ne se fait pas confiance.»
En fait, Kovalev devrait dire qu'il n'a pas confiance en ses compagnons de trio Tomas Plekanec et Guillaume Latendresse. C'est pour cette raison qu'il cherche toujours à déjouer les cinq joueurs de l'équipe rivale. Il a d'ailleurs tenu à rappeler les succès qu'il a eus à Pittsburgh associé aux Tchèques Martin Straka et Robert Lang.
«J'essaie de recréer la même chose ici, dit-il. Avec Straka et Lang, on se parlait pour trouver des solutions.
«Je me sens responsable, a-t-il ajouté. Je m'impose aussi de la pression, ce que me reprochent mes amis. Mais cette pression ne me dérange pas.»
Kovalev répète souvent qu'il souhaite remporter la coupe Stanley à Montréal.
«Je veux la gagner. C'est pourquoi j'ai décidé de jouer ici. Il n'y a pas de meilleure ville où remporter la coupe. Je suis certain que le défilé serait encore plus impressionnant qu'à New York (1994). J'aimerais faire partie de la grande histoire du Canadien qui va bientôt fêter son centenaire.»
Kovalev a marqué trois buts dans un match à 10 reprises mais jamais dans l'uniforme du Canadien. La dernière fois, c'était le 25 janvier 2003, soit il y a quatre ans dans une victoire de 5-3 des Penguins face aux Blackhawks de Chicago.
«J'espère toujours que le prochain match sera le bon, dit-il. J'aimerais bien marquer trois buts. Je pourrais alors faire ma danse du moonwalk».
C'est ce que tout partisan du Tricolore souhaite voir un jour.
En 50 matchs, Kovalev a marqué 12 buts et récolté 23 passes pour 35 points. Ce rendement le plaçait au 93e rang des compteurs de la Ligue nationale avant les rencontres de dimanche. Depuis que le Canadien a entrepris sa glissade le 23 décembre à Boston, Kovalev a inscrit trois buts et amassé sept passes en 16 rencontres.
«Il n'y a pas grand-monde qui le comprend, admet Guy Carbonneau. Kovalev fait quand même partie de la solution», a-t-il pris soin d'ajouter.
De son côté, Kovalev fait valoir que la solution doit venir de tous les joueurs.
«C'est un jeu d'équipe, dit-il. Actuellement, on ne se fait pas confiance.»
En fait, Kovalev devrait dire qu'il n'a pas confiance en ses compagnons de trio Tomas Plekanec et Guillaume Latendresse. C'est pour cette raison qu'il cherche toujours à déjouer les cinq joueurs de l'équipe rivale. Il a d'ailleurs tenu à rappeler les succès qu'il a eus à Pittsburgh associé aux Tchèques Martin Straka et Robert Lang.
«J'essaie de recréer la même chose ici, dit-il. Avec Straka et Lang, on se parlait pour trouver des solutions.
«Je me sens responsable, a-t-il ajouté. Je m'impose aussi de la pression, ce que me reprochent mes amis. Mais cette pression ne me dérange pas.»
Kovalev répète souvent qu'il souhaite remporter la coupe Stanley à Montréal.
«Je veux la gagner. C'est pourquoi j'ai décidé de jouer ici. Il n'y a pas de meilleure ville où remporter la coupe. Je suis certain que le défilé serait encore plus impressionnant qu'à New York (1994). J'aimerais faire partie de la grande histoire du Canadien qui va bientôt fêter son centenaire.»
Kovalev a marqué trois buts dans un match à 10 reprises mais jamais dans l'uniforme du Canadien. La dernière fois, c'était le 25 janvier 2003, soit il y a quatre ans dans une victoire de 5-3 des Penguins face aux Blackhawks de Chicago.
«J'espère toujours que le prochain match sera le bon, dit-il. J'aimerais bien marquer trois buts. Je pourrais alors faire ma danse du moonwalk».
C'est ce que tout partisan du Tricolore souhaite voir un jour.