JO-2012 : Londres inquiète le CIO
Jeux olympiques mercredi, 7 oct. 2009. 14:03 vendredi, 13 déc. 2024. 05:40
COPENHAGUE - Le président de la commission de coordination du Comité international olympique (CIO) pour les Jeux de Londres-2012, Denis Oswald, s'est dit "très inquiet", mercredi à Copenhague, que des discussions soient encore en cours pour décider de l'emplacement de certains sites.
"Des emplacements doivent encore être décidés et le fait que ces discussions aient encore lieu trois ans avant le début des Jeux est très inquiétant", a estimé M. Oswald au cours de la présentation de son rapport aux membres du CIO.
"Il est urgent que le plan de tous les sites soit établi et nous sommes confiant dans le fait que ce sera le cas lors de notre prochaine visite à Londres, en novembre", a-t-il ajouté.
La construction des sites temporaires de deux sports, la gymnastique rythmique et le badminton, fait l'objet d'un désaccord entre le comité d'organisation (LOCOG) et la municipalité de Londres en raison de leur coût jugé exorbitant par cette dernière.
L'une des solutions proposées a été de renoncer à construire les sites temporaires, estimés à 60 millions de dollars, et de reloger les deux sports sur le site où devaient avoir lieu les épreuves de boxe.
Cette option a toutefois été rejetée par la Fédération internationale de boxe.
Le directeur des opérations du LOCOG, Paul Deighton, a promis une solution avant la fin de l'année.
"Des emplacements doivent encore être décidés et le fait que ces discussions aient encore lieu trois ans avant le début des Jeux est très inquiétant", a estimé M. Oswald au cours de la présentation de son rapport aux membres du CIO.
"Il est urgent que le plan de tous les sites soit établi et nous sommes confiant dans le fait que ce sera le cas lors de notre prochaine visite à Londres, en novembre", a-t-il ajouté.
La construction des sites temporaires de deux sports, la gymnastique rythmique et le badminton, fait l'objet d'un désaccord entre le comité d'organisation (LOCOG) et la municipalité de Londres en raison de leur coût jugé exorbitant par cette dernière.
L'une des solutions proposées a été de renoncer à construire les sites temporaires, estimés à 60 millions de dollars, et de reloger les deux sports sur le site où devaient avoir lieu les épreuves de boxe.
Cette option a toutefois été rejetée par la Fédération internationale de boxe.
Le directeur des opérations du LOCOG, Paul Deighton, a promis une solution avant la fin de l'année.