Klöden prêt à aller à Pékin
Jeux olympiques mercredi, 21 mai 2008. 09:28 mercredi, 11 déc. 2024. 09:53
CESENA, Italie - L'Allemand Andreas Klöden s'est dit prêt à aller aux JO de Pékin pour l'Allemagne, en revenant sur un propos précédent prêtant à ambiguïté.
Klöden, qui s'est exprimé par le biais d'un communiqué publié par son équipe Astana, a précisé qu'il était candidat à une sélection pour Pékin, pour la course sur route et le contre-la-montre.
"Pour le moment, je suis le meilleur Allemand dans le contre-la-montre, a estimé Klöden. Naturellement je souhaite représenter mon pays. Ce n'est pas parce que le cyclisme a perdu en popularité en Allemagne que je ne serai pas fier de défendre les couleurs de mon pays. Si je suis sélectionné, j'irai bien sûr".
Dans un entretien publié mardi par le journal organisateur du Giro, la Gazzetta dello Sport, Klöden disait: "J'aimerais courir les deux courses sur route (course en ligne et contre-la-montre). Mais pas pour l'Allemagne. C'est irréalisable. Avec l'Allemagne, c'est terminé pour moi."
"J'ai dit que, jusqu'à présent, la fédération allemande ne m'avait pas contacté pour les JO", a précisé le coureur au sujet de cette interview.
Le communiqué de l'équipe Astana, citant Klöden, s'est efforcé aussi de désamorcer l'affaire née des déclarations allusives de son coureur à l'encontre de la formation CSF.
Selon sa formation, Klöden n'a jamais mentionné le nom d'une équipe où les contrôles (de santé) seraient moins sévères.
"J'ai seulement dit que par contraste avec beaucoup de petites équipes, Astana, High Road, Slipstream et CSC avaient un système interne de contrôles antidopage très performant", a rectifié le coureur.
Bruno Reverberi, le directeur sportif de CSF, avait estimé les déclarations de Klöden "infamantes" et annoncé son intention de porter plainte contre lui.
Klöden, qui s'est exprimé par le biais d'un communiqué publié par son équipe Astana, a précisé qu'il était candidat à une sélection pour Pékin, pour la course sur route et le contre-la-montre.
"Pour le moment, je suis le meilleur Allemand dans le contre-la-montre, a estimé Klöden. Naturellement je souhaite représenter mon pays. Ce n'est pas parce que le cyclisme a perdu en popularité en Allemagne que je ne serai pas fier de défendre les couleurs de mon pays. Si je suis sélectionné, j'irai bien sûr".
Dans un entretien publié mardi par le journal organisateur du Giro, la Gazzetta dello Sport, Klöden disait: "J'aimerais courir les deux courses sur route (course en ligne et contre-la-montre). Mais pas pour l'Allemagne. C'est irréalisable. Avec l'Allemagne, c'est terminé pour moi."
"J'ai dit que, jusqu'à présent, la fédération allemande ne m'avait pas contacté pour les JO", a précisé le coureur au sujet de cette interview.
Le communiqué de l'équipe Astana, citant Klöden, s'est efforcé aussi de désamorcer l'affaire née des déclarations allusives de son coureur à l'encontre de la formation CSF.
Selon sa formation, Klöden n'a jamais mentionné le nom d'une équipe où les contrôles (de santé) seraient moins sévères.
"J'ai seulement dit que par contraste avec beaucoup de petites équipes, Astana, High Road, Slipstream et CSC avaient un système interne de contrôles antidopage très performant", a rectifié le coureur.
Bruno Reverberi, le directeur sportif de CSF, avait estimé les déclarations de Klöden "infamantes" et annoncé son intention de porter plainte contre lui.