L'entraîneur de judo suspendu
Jeux olympiques vendredi, 20 août 2004. 06:23 vendredi, 13 déc. 2024. 15:39
MONTREAL (PC) - L'entraîneur de judo québécois Sylvain Hébert a été suspendu de ses fonctions d'entraîneur de l'équipe nationale du Canada à l'approche des Jeux olympiques, à la suite d'une plainte de cinq judokas, selon ce qu'a appris "La Presse".
L'une d'elles serait Marie-Hélène Chisholm, de Port-Cartier, qui a combattu, plus tôt cette semaine, pour la médaille de bronze dans sa catégorie aux Jeux olympiques.
La nature exacte des doléances des athlètes n'a pas été dévoilée, mais celles-ci ont été jugées suffisamment importantes pour que M. Hébert, qui aurait normalement dû se rendre à Athènes, soit remplacé peu avant les Jeux par Ewan Beaton, coordonnateur des entraîneurs nationaux à Judo Canada.
Un comité formé par Judo Canada devrait entendre les parties et leurs avocats après les Jeux, en septembre, mais la fédération nationale refuse de faire le moindre commentaire d'ici là.
M. Hébert, qui a 40 ans, demeure toutefois entraîneur du Club de judo de Varennes, en Montérégie. Hier, à son domicile, Sylvain Hébert a refusé de répondre aux questions.
Il avait été nommé entraîneur national en 1996, quatre ans avant que son club ne devienne l'un des deux centres de haute performance reconnus par Judo Canada.
L'une d'elles serait Marie-Hélène Chisholm, de Port-Cartier, qui a combattu, plus tôt cette semaine, pour la médaille de bronze dans sa catégorie aux Jeux olympiques.
La nature exacte des doléances des athlètes n'a pas été dévoilée, mais celles-ci ont été jugées suffisamment importantes pour que M. Hébert, qui aurait normalement dû se rendre à Athènes, soit remplacé peu avant les Jeux par Ewan Beaton, coordonnateur des entraîneurs nationaux à Judo Canada.
Un comité formé par Judo Canada devrait entendre les parties et leurs avocats après les Jeux, en septembre, mais la fédération nationale refuse de faire le moindre commentaire d'ici là.
M. Hébert, qui a 40 ans, demeure toutefois entraîneur du Club de judo de Varennes, en Montérégie. Hier, à son domicile, Sylvain Hébert a refusé de répondre aux questions.
Il avait été nommé entraîneur national en 1996, quatre ans avant que son club ne devienne l'un des deux centres de haute performance reconnus par Judo Canada.