Réponse à Bert Hébert 2e partie
Lutte mercredi, 18 déc. 2002. 16:21 vendredi, 13 déc. 2024. 18:53
Mise en situation: J'avais été très impressionné par le long texte de mon confrère Bertrand Hébert publié sur RDS.ca/lutte et titré "La solution à l'essor de la lutte au Québec". Texte que j'ai divisé en 26 interrogations auquel j'avais promis d'y apporter ma vision - pas la solution - parce que la connaître, j'hésiterais à vous la partager et je m'empresserais de la mettre en marché! J'aurais pu y répondre par un paragraphe ou deux et titrer ma chronique "Bertrand Hébert est un illuminé". J'ai trop de respect pour Bert pour briser son rêve.
2-Bert: On a ici le seul territoire qui peut espérer renaître à cause du facteur francophone, qui pourrait nous permettre de créer une vedette locale grâce aux médias du Québec. Cependant, personne n'a jamais présenté un plan détaillé de ce qu'on devrait faire une fois cet investisseur ou plutôt bienfaiteur trouvé.
Paul: Faites moi rire! Je suis en train de m'étouffer et l'Office de la langue française doit être aussi morte de rire "à cause du facteur francophone". Bert, parmi les 10 ou 11 fédérations qui oeuvrent au Québec, à l'exception de la (FLQ) Fédération Lutte Québécoise et de Lutte International 2000, pas une seule est à résonance française. Tous des copiages ou influences américains. Pour créer une vedette, ça prend des sous et un retour sur les sous investis. Tout homme d'affaires averti sait quoi faire, ce qu'il veut savoir c'est comment ça va rapporter (une garantie sur son investissement).
3-Bert: Il doit plutôt penser investir sans compter pour mettre en place une structure solide qui au mieux se financera elle-même par la suite. Retour sur l'investissement? Il faut le faire pour le plaisir avec comme perspective de ne jamais revoir un sou de cet investissement de départ. Voici donc MA SOLUTION:
Paul: Ça n'existe pas Bert des hommes d'affaires qui font de la business pour le plaisir, ce dont tu parles, c'est quelqu'un qui te ferait un don. Oui beaucoup d'hommes d'affaires font des dons en retour d'un crédit d'impôt. En perceptive de ne jamais revoir un sou, non les hommes d'affaires sérieux ne sont pas des illuminés.
Les solutions de Bert
4-Bert: Premièrement, l'investisseur se doit d'être silencieux au niveau de la direction créative de la compagnie. Il doit être l'administrateur de la compagnie avant tout et non pas vouloir devenir une vedette dans le monde de la lutte.
Paul: Si tu as lu mon texte précédent, tu as pu constaté que je suis tout à fait d'accord avec toi et par expérience, j'en ai vu mourir trois au Québec et il a dû en avoir d'autres aux USA.
5-Bert: Il doit ensuite trouver son homme de confiance et d'expérience sur la scène locale, celui qui serait respecté et connu de tous. Pas faire comme plusieurs petits investisseurs et s'associer avec le premier requin venu et y laisser leur chemise après deux ou trois galas. Non, il faut celui qui pourrait réussir à unir tout le monde sous une seule enseigne. Ce rassembleur aurait tout un travail en avant de lui puisqu'il devrait trouver le moyen de réunir plusieurs ennemis au sein d'une même compagnie.
Paul: Je ne crois pas et ne connais pas d'hommes d'affaires sérieux qui va investir avec le premier venu qui fait deux ou trois galas, je ne sais pas à qui tu te réfères? Réunir les ennemis, Bert, il n'y a pas tant d'ennemis que ça comme le laissent entendre les crack pots anonymes des babillards internet.
Les fédérations mineures du Québec, toutes à l'exception de la NCW, sont parties en guerre contre la FLQ pour deux raisons: premièrement, la libre circulation des lutteurs bénévoles, je crois avoir rendu un précieux service pour l'avancement des lutteurs en leur permettant de lutter plus d'une fois par semaine, maintenant toutes le fédé imitent la FLQ. Deuxièmement, parce qu'un des dirigeants y avait gagné sa vie professionnellement à plusieurs niveaux (22 ans) dans ce métier et ça devenait gênant de manipuler les nouveaux lutteurs en les empêchant de lutter (d'évoluer) plus d'une fois par semaine. Tout à fait d'accord que ça prend un rassembleur avec des buts réalisables et votés. Une politique d'un vote par fédé, rien de sorcier là-dedans, un c.a. composé d'un (pas deux) dirigeant par fédé où la majorité démocratiquement prime sur les personnalités. La suite la semaine prochaine avec le tome 3 des solutions à Bert.
PS: Vous pouvez lire la chronique de 1,2,3 par Paul Leduc dans Allo Vedettes, populaire hebdomadaire artistique mis en vente le samedi.
2-Bert: On a ici le seul territoire qui peut espérer renaître à cause du facteur francophone, qui pourrait nous permettre de créer une vedette locale grâce aux médias du Québec. Cependant, personne n'a jamais présenté un plan détaillé de ce qu'on devrait faire une fois cet investisseur ou plutôt bienfaiteur trouvé.
Paul: Faites moi rire! Je suis en train de m'étouffer et l'Office de la langue française doit être aussi morte de rire "à cause du facteur francophone". Bert, parmi les 10 ou 11 fédérations qui oeuvrent au Québec, à l'exception de la (FLQ) Fédération Lutte Québécoise et de Lutte International 2000, pas une seule est à résonance française. Tous des copiages ou influences américains. Pour créer une vedette, ça prend des sous et un retour sur les sous investis. Tout homme d'affaires averti sait quoi faire, ce qu'il veut savoir c'est comment ça va rapporter (une garantie sur son investissement).
3-Bert: Il doit plutôt penser investir sans compter pour mettre en place une structure solide qui au mieux se financera elle-même par la suite. Retour sur l'investissement? Il faut le faire pour le plaisir avec comme perspective de ne jamais revoir un sou de cet investissement de départ. Voici donc MA SOLUTION:
Paul: Ça n'existe pas Bert des hommes d'affaires qui font de la business pour le plaisir, ce dont tu parles, c'est quelqu'un qui te ferait un don. Oui beaucoup d'hommes d'affaires font des dons en retour d'un crédit d'impôt. En perceptive de ne jamais revoir un sou, non les hommes d'affaires sérieux ne sont pas des illuminés.
Les solutions de Bert
4-Bert: Premièrement, l'investisseur se doit d'être silencieux au niveau de la direction créative de la compagnie. Il doit être l'administrateur de la compagnie avant tout et non pas vouloir devenir une vedette dans le monde de la lutte.
Paul: Si tu as lu mon texte précédent, tu as pu constaté que je suis tout à fait d'accord avec toi et par expérience, j'en ai vu mourir trois au Québec et il a dû en avoir d'autres aux USA.
5-Bert: Il doit ensuite trouver son homme de confiance et d'expérience sur la scène locale, celui qui serait respecté et connu de tous. Pas faire comme plusieurs petits investisseurs et s'associer avec le premier requin venu et y laisser leur chemise après deux ou trois galas. Non, il faut celui qui pourrait réussir à unir tout le monde sous une seule enseigne. Ce rassembleur aurait tout un travail en avant de lui puisqu'il devrait trouver le moyen de réunir plusieurs ennemis au sein d'une même compagnie.
Paul: Je ne crois pas et ne connais pas d'hommes d'affaires sérieux qui va investir avec le premier venu qui fait deux ou trois galas, je ne sais pas à qui tu te réfères? Réunir les ennemis, Bert, il n'y a pas tant d'ennemis que ça comme le laissent entendre les crack pots anonymes des babillards internet.
Les fédérations mineures du Québec, toutes à l'exception de la NCW, sont parties en guerre contre la FLQ pour deux raisons: premièrement, la libre circulation des lutteurs bénévoles, je crois avoir rendu un précieux service pour l'avancement des lutteurs en leur permettant de lutter plus d'une fois par semaine, maintenant toutes le fédé imitent la FLQ. Deuxièmement, parce qu'un des dirigeants y avait gagné sa vie professionnellement à plusieurs niveaux (22 ans) dans ce métier et ça devenait gênant de manipuler les nouveaux lutteurs en les empêchant de lutter (d'évoluer) plus d'une fois par semaine. Tout à fait d'accord que ça prend un rassembleur avec des buts réalisables et votés. Une politique d'un vote par fédé, rien de sorcier là-dedans, un c.a. composé d'un (pas deux) dirigeant par fédé où la majorité démocratiquement prime sur les personnalités. La suite la semaine prochaine avec le tome 3 des solutions à Bert.
PS: Vous pouvez lire la chronique de 1,2,3 par Paul Leduc dans Allo Vedettes, populaire hebdomadaire artistique mis en vente le samedi.