New York n'a pas enfreint les règles
Jeux olympiques vendredi, 22 avr. 2005. 17:12 vendredi, 13 déc. 2024. 17:52
LONDON (AP) - New York n'a pas enfreint les règles en faisant des promesses alléchantes aux fédérations internationales et aux comités olympiques nationaux dans le cadre de sa campagne de candidature pour les Jeux d'été de 2012, a estimé vendredi la commission d'éthique du Comité international olympique (CIO).
Le CIO a ouvert mardi une enquête sur certaines pratiques des comités de candidature de New York et de Londres afin de déterminer si elles avaient été au-delà du contenu de leur dossier de candidature présenté en novembre. Si la métropole américaine a été blanchie, la capitale britannique reste soumise à investigations.
Dans un courrier au comité de candidature new-yorkais, la commission d'éthique du CIO note que New York a apporté la preuve que son offre d'assistance marketing aux fédérations sportives faisait "partie intégrante" de son dossier.
En février, New York 2012 avait du reste présenté à la commission d'évaluation du CIO ce projet de partenariat visant à aider certains sports à s'implanter aux États-Unis via les services d'un conseil de marketing sportif.
Le CIO a par conséquent fait savoir que l'affaire était "close", ce qui n'est pas le cas de Londres, soupçonnée d'avoir outrepassé ses droits en proposant des subventions d'un montant pouvant aller jusqu'à 50 000 dollars aux comités olympiques nationaux souhaitant utiliser des installations britanniques pour l'entraînement de leurs athlètes.
La commission d'éthique doit conclure son enquête en début de semaine prochaine et faire des recommandations au bureau exécutif du CIO.
Le CIO a ouvert mardi une enquête sur certaines pratiques des comités de candidature de New York et de Londres afin de déterminer si elles avaient été au-delà du contenu de leur dossier de candidature présenté en novembre. Si la métropole américaine a été blanchie, la capitale britannique reste soumise à investigations.
Dans un courrier au comité de candidature new-yorkais, la commission d'éthique du CIO note que New York a apporté la preuve que son offre d'assistance marketing aux fédérations sportives faisait "partie intégrante" de son dossier.
En février, New York 2012 avait du reste présenté à la commission d'évaluation du CIO ce projet de partenariat visant à aider certains sports à s'implanter aux États-Unis via les services d'un conseil de marketing sportif.
Le CIO a par conséquent fait savoir que l'affaire était "close", ce qui n'est pas le cas de Londres, soupçonnée d'avoir outrepassé ses droits en proposant des subventions d'un montant pouvant aller jusqu'à 50 000 dollars aux comités olympiques nationaux souhaitant utiliser des installations britanniques pour l'entraînement de leurs athlètes.
La commission d'éthique doit conclure son enquête en début de semaine prochaine et faire des recommandations au bureau exécutif du CIO.