"Nous sommes désespérés"
Jeux olympiques mardi, 8 avr. 2008. 01:31 samedi, 14 déc. 2024. 07:54
PEKIN - Un haut responsable du Comité international olympique (CIO) a condamné mardi à Pékin les manifestants qui ont perturbé le passage de la flamme à Londres et Paris, estimant qu'ils agissaient par haine de la Chine.
"Nous sommes extrêmement désespérés", a déclaré Kevan Gosper, vice-président de la commission de coordination des Jeux au CIO, soulignant que la flamme était prise à partie par ceux qui cherchent à exprimer leur opposition à la Chine.
"Ils expriment juste leur haine quel que soit le sujet à l'ordre du jour, et la haine contre le pays hôte retombe sur notre torche", a-t-il dit.
Gosper a également qualifié les manifestants de "perturbateurs professionnels".
Les organisateurs des Jeux "ont fait énormément d'effort pour se préparer à organiser l'un des plus grands jeux de tous les temps", a-t-il dit.
"Et ces perturbateurs, ces perturbateurs professionnels, ne font pas attention à ça. Ils sont juste animés par la haine et le ressentiment", a estimé ce haut responsable du CIO.
"Ces manifestations organisées sont un abus contre la torche olympique, qui est le symbole de la bonne volonté, de la paix, de la compréhension et de l'excellence dans le sport", a-t-il dit.
Le comité d'organisation des Jeux olympiques de Pékin (Bocog) a affirmé pour sa part qu'"aucune force" ne pourra arrêter la flamme olympique malgré les incidents de Paris et de Londres.
"Le parcours de la flamme olympique va se poursuivre avec le soutien des habitants du monde entier", a déclaré aux journalistes le porte-parole du Bocog, Sun Weide.
"Aucune force ne peut arrêter le parcours de la flamme olympique des jeux de Pékin", a-t-il ajouté.
Tout au long de la journée de lundi le parcours de la flamme olympique à Paris a été perturbé par des manifestants pro-Tibétains qui ont obligé les organisateurs à interrompre le relais avant son terme, transformant cette journée en véritable fiasco après une étape londonienne chahutée.
La flamme olympique a décollé lundi soir de Paris à destination de San Francisco, sa prochaine étape.
"Nous sommes extrêmement désespérés", a déclaré Kevan Gosper, vice-président de la commission de coordination des Jeux au CIO, soulignant que la flamme était prise à partie par ceux qui cherchent à exprimer leur opposition à la Chine.
"Ils expriment juste leur haine quel que soit le sujet à l'ordre du jour, et la haine contre le pays hôte retombe sur notre torche", a-t-il dit.
Gosper a également qualifié les manifestants de "perturbateurs professionnels".
Les organisateurs des Jeux "ont fait énormément d'effort pour se préparer à organiser l'un des plus grands jeux de tous les temps", a-t-il dit.
"Et ces perturbateurs, ces perturbateurs professionnels, ne font pas attention à ça. Ils sont juste animés par la haine et le ressentiment", a estimé ce haut responsable du CIO.
"Ces manifestations organisées sont un abus contre la torche olympique, qui est le symbole de la bonne volonté, de la paix, de la compréhension et de l'excellence dans le sport", a-t-il dit.
Le comité d'organisation des Jeux olympiques de Pékin (Bocog) a affirmé pour sa part qu'"aucune force" ne pourra arrêter la flamme olympique malgré les incidents de Paris et de Londres.
"Le parcours de la flamme olympique va se poursuivre avec le soutien des habitants du monde entier", a déclaré aux journalistes le porte-parole du Bocog, Sun Weide.
"Aucune force ne peut arrêter le parcours de la flamme olympique des jeux de Pékin", a-t-il ajouté.
Tout au long de la journée de lundi le parcours de la flamme olympique à Paris a été perturbé par des manifestants pro-Tibétains qui ont obligé les organisateurs à interrompre le relais avant son terme, transformant cette journée en véritable fiasco après une étape londonienne chahutée.
La flamme olympique a décollé lundi soir de Paris à destination de San Francisco, sa prochaine étape.