Les Italiens entretiennent leur rêve
Rugby mardi, 27 sept. 2011. 09:52 mercredi, 11 déc. 2024. 09:50
NELSON - L'Italie, qui a battu les États-Unis (27-10) avec un point de bonus mardi à Nelson, entretient son rêve d'accéder pour la première fois aux quarts de finale de la Coupe du monde de rugby, qui passe par un succès sur l'Irlande dimanche.
Le rendez-vous dominical est dans toutes les têtes. Ainsi, dès la fin du match, l'entraîneur de l'Italie, Nick Mallett a réuni ses joueurs sur la pelouse du stade champêtre de Nelson. "Je voulais d'abord savoir s'il y avait des blessés et être sûr que nous serions tous là dans cinq jours", a-t-il expliqué.
Car même s'ils bénéficient de deux jours de récupération de moins que les Irlandais, qui ont joué dimanche face à la Russie (62-12), les Italiens veulent se donner tous les moyens pour bien récupérer, et bien se préparer.
D'ailleurs, le match a déjà commencé. "Les Irlandais ont fait un gros match face aux Australiens (victoire 15-6, le 17 septembre), mais je pense que nous avons une meilleure première ligne qu'eux pour nous permettre d'avancer et leur rendre la tâche difficile", a lancé Nick Mallett.
Dans le secteur de la mêlée fermée, la Squadra peut effectivement compter sur une première ligne en acier trempé, conduite par le pilier droit Martin Castrogiovanni, élu "homme du match" face aux Américains.
"Castro" a notamment guidé le pack italien vers le quatrième essai, synonyme de point de bonus; un essai de pénalité accordé par l'arbitre George Clancy après une succession de mêlées près de la ligne des États-Unis (66e).
Jusque-là, les Italiens, déjà auteurs de trois essais en première période, par Parisse (3), Orquera (30) et Castrogiovanni (40+1) avaient laissé passer plusieurs occasions d'atteindre leur objectif du soir. Et de mettre leurs cadres au repos plus tôt.
Les États-Unis quittent eux la Coupe du monde sur une performance solide, comme face à l'Irlande, victorieuse (22-10) lors du premier match le 11 septembre... Dimanche, ils suivront devant la télévision le duel de Dunedin.
Le rendez-vous dominical est dans toutes les têtes. Ainsi, dès la fin du match, l'entraîneur de l'Italie, Nick Mallett a réuni ses joueurs sur la pelouse du stade champêtre de Nelson. "Je voulais d'abord savoir s'il y avait des blessés et être sûr que nous serions tous là dans cinq jours", a-t-il expliqué.
Car même s'ils bénéficient de deux jours de récupération de moins que les Irlandais, qui ont joué dimanche face à la Russie (62-12), les Italiens veulent se donner tous les moyens pour bien récupérer, et bien se préparer.
D'ailleurs, le match a déjà commencé. "Les Irlandais ont fait un gros match face aux Australiens (victoire 15-6, le 17 septembre), mais je pense que nous avons une meilleure première ligne qu'eux pour nous permettre d'avancer et leur rendre la tâche difficile", a lancé Nick Mallett.
Dans le secteur de la mêlée fermée, la Squadra peut effectivement compter sur une première ligne en acier trempé, conduite par le pilier droit Martin Castrogiovanni, élu "homme du match" face aux Américains.
"Castro" a notamment guidé le pack italien vers le quatrième essai, synonyme de point de bonus; un essai de pénalité accordé par l'arbitre George Clancy après une succession de mêlées près de la ligne des États-Unis (66e).
Jusque-là, les Italiens, déjà auteurs de trois essais en première période, par Parisse (3), Orquera (30) et Castrogiovanni (40+1) avaient laissé passer plusieurs occasions d'atteindre leur objectif du soir. Et de mettre leurs cadres au repos plus tôt.
Les États-Unis quittent eux la Coupe du monde sur une performance solide, comme face à l'Irlande, victorieuse (22-10) lors du premier match le 11 septembre... Dimanche, ils suivront devant la télévision le duel de Dunedin.