Six villes en lice pour les JO de 2020
Jeux olympiques vendredi, 2 sept. 2011. 12:16 vendredi, 13 déc. 2024. 12:36
LONDRES - Six villes réparties en Europe, en Asie et au Moyen-Orient sont en lice pour obtenir les Jeux olympiques de 2020.
Les villes ayant soumis leur candidature avant la date limite de vendredi sont Rome, Madrid, Tokyo, Istanbul, Doha au Qatar et Baku en Azerbaïdjan.
Toutes ces villes ont déjà tenté d'accueillir une Olympiade et deux d'entre elles, soit Rome et Tokyo, ont déjà organisé des Jeux olympiques.
Madrid tente sa chance pour la troisième fois de suite, tandis que Tokyo, Doha et Baku le font pour la deuxième fois d'affilée. Du côté d'Istanbul, on met son nom dans le chapeau pour la cinquième fois après les essais infructueux pour les Jeux de 2000, 2004, 2008 et 2012.
Doha propose des Jeux en septembre et octobre, plus tard que les mois habituels de juillet et août. On veut atténuer l'impact de l'intense chaleur dans le golfe Persique.
Le Comité international olympique fera connaître son choix par vote secret le 7 septembre 2013, à Buenos Aires.
Les villes candidates devront d'abord soumettre des dossiers détaillés et des lettres de garantie au CIO avant le 15 février. Le comité exécutif du CIO décidera en mai si toutes les villes sont maintenues en lice pour la suite du processus.
Les dossiers finaux de candidature doivent être envoyés en janvier 2013. De février à avril, une commission d'évaluation du CIO va visiter les villes candidates.
Le CIO publiera un rapport sur les mérites techniques des candidatures au moins un mois avant le vote. Les villes vont aussi faire des présentations techniques avant le jour de la décision à Buenos Aires.
Rome, où s'est déroulée l'Olympiade de 1960, a été la première à faire connaître ses ambitions il y a plusieurs mois. La capitale italienne a perdu devant Athènes pour l'obtention des Jeux de 2004.
« Rome est une grande capitale sportive dans laquelle il y a encore des échos des Jeux de 1960, qui ont signalé le début de l'essor économique en Italie », fait valoir Renata Polverini, présidente de la région de Lazio, où se trouve Rome.
Madrid, qui n'a jamais reçu les Jeux, a échoué dans sa volonté d'accueillir la planète en 2012 et 2016. La capitale espagnole a fini troisième au scrutin pour 2012, puis en deuxième place pour 2016.
« Madrid a beaucoup appris de ses deux essais précédents, a dit le président du comité olympique espagnol, Alejandro Blanco. Le projet a déjà été mis à l'épreuve, et il est presque impossible de l'améliorer. Nous devons maintenant orchestrer une campagne qui mettra en valeur tous ses avantages. »
Tokyo, théâtre des Jeux de 1964, a fini troisième au scrutin pour les Jeux de 2016, accordés à Rio de Janeiro. La capitale japonaise souhaite que les Jeux de 2020 soient un symbole du redressement du pays après le tremblement de terre et le tsunami du 11 mars.
« J'aimerais remercier les membres du CIO de nous encourager à aller de l'avant dans la reconstruction de notre pays », a mentionné le chef du comité olympique japonais, Tsunekazu Takeda.
Les villes ayant soumis leur candidature avant la date limite de vendredi sont Rome, Madrid, Tokyo, Istanbul, Doha au Qatar et Baku en Azerbaïdjan.
Toutes ces villes ont déjà tenté d'accueillir une Olympiade et deux d'entre elles, soit Rome et Tokyo, ont déjà organisé des Jeux olympiques.
Madrid tente sa chance pour la troisième fois de suite, tandis que Tokyo, Doha et Baku le font pour la deuxième fois d'affilée. Du côté d'Istanbul, on met son nom dans le chapeau pour la cinquième fois après les essais infructueux pour les Jeux de 2000, 2004, 2008 et 2012.
Doha propose des Jeux en septembre et octobre, plus tard que les mois habituels de juillet et août. On veut atténuer l'impact de l'intense chaleur dans le golfe Persique.
Le Comité international olympique fera connaître son choix par vote secret le 7 septembre 2013, à Buenos Aires.
Les villes candidates devront d'abord soumettre des dossiers détaillés et des lettres de garantie au CIO avant le 15 février. Le comité exécutif du CIO décidera en mai si toutes les villes sont maintenues en lice pour la suite du processus.
Les dossiers finaux de candidature doivent être envoyés en janvier 2013. De février à avril, une commission d'évaluation du CIO va visiter les villes candidates.
Le CIO publiera un rapport sur les mérites techniques des candidatures au moins un mois avant le vote. Les villes vont aussi faire des présentations techniques avant le jour de la décision à Buenos Aires.
Rome, où s'est déroulée l'Olympiade de 1960, a été la première à faire connaître ses ambitions il y a plusieurs mois. La capitale italienne a perdu devant Athènes pour l'obtention des Jeux de 2004.
« Rome est une grande capitale sportive dans laquelle il y a encore des échos des Jeux de 1960, qui ont signalé le début de l'essor économique en Italie », fait valoir Renata Polverini, présidente de la région de Lazio, où se trouve Rome.
Madrid, qui n'a jamais reçu les Jeux, a échoué dans sa volonté d'accueillir la planète en 2012 et 2016. La capitale espagnole a fini troisième au scrutin pour 2012, puis en deuxième place pour 2016.
« Madrid a beaucoup appris de ses deux essais précédents, a dit le président du comité olympique espagnol, Alejandro Blanco. Le projet a déjà été mis à l'épreuve, et il est presque impossible de l'améliorer. Nous devons maintenant orchestrer une campagne qui mettra en valeur tous ses avantages. »
Tokyo, théâtre des Jeux de 1964, a fini troisième au scrutin pour les Jeux de 2016, accordés à Rio de Janeiro. La capitale japonaise souhaite que les Jeux de 2020 soient un symbole du redressement du pays après le tremblement de terre et le tsunami du 11 mars.
« J'aimerais remercier les membres du CIO de nous encourager à aller de l'avant dans la reconstruction de notre pays », a mentionné le chef du comité olympique japonais, Tsunekazu Takeda.