Bourque a pensé tout abandonner
Ski mercredi, 7 nov. 2007. 18:02 samedi, 14 déc. 2024. 17:40
François Bourque vient de retrouver le goût de revenir sur ses planches. Le skieur originaire de New-Richmond a repris l'entraînement et la compétition depuis quelques semaines après avoir songé à tout abandonner.
"À la fin de la saison passée, je commençais à en avoir ras-le-bol, avoue le Gaspésie. À un certain moment, j'ai même pensé à accrocher mes skis."
Participant à toutes le disciplines depuis cinq ans, Bourque était épuisé mentalement à la fin de la dernière saison. Celui qui a fait deux podiums l'an passé en Slovénie et en Autriche, avec des médailles d'argent, avait besoin d'une pause cet été. Il voulait se ressourcer et retrouver ses valeurs familiales.
Il en a donc profité pour amorcer la construction d'une maison à l'Ange-Gardien, à une quinzaine de kilomètres des pistes du Mont Ste-Anne. Un arrêt de quelques mois pour surtout retrouver son énergie et sa motivation avant de se lancer dans la prochaine saison de Coupe du monde.
"C'est peut-être tout l'entraînement qui vient avant qui me démotive, estime Bourque. Des fois, les gens pensent que nous sommes des machines et que nous n'avons pas de limite, mais tout le monde en a."
Après des camps d'entraînement au Chili et en Colombie-Britannique, Bourque a pris part à la course de Sölden, en Autriche, le mois dernier. Son résultat a été un 14e place, mais le vrai début de saison débute dans l'Ouest canadien et américain ce mois-ci, soit le 25 à Lake Louise.
Quatrième en slalom géant aux Olympiques de Turin en 2006, il a terminé cinquième en slalom géant l'an dernier. Il aimerait maintenant décrocher une victoire, finir dans les dix premiers cette saison et ultimement récolter un globe de cristal.
"C'est sûr que c'est quelque chose qu'on vise dans l'avenir. Je le prendrais avant une médaille aux Olympiques et en Coupe du monde, dit Bourque en parlant du globe. C'est la preuve que tu es le meilleur dans ta discipline, alors c'est toujours ce qu'on vise."
Bourque dit qu'il a toujours du plaisir à faire du ski et qu'il a les Olympiques de Vancouver dans sa mire, mais s'il venait à perdre son goût de compétition d'ici là, les chose pourraient tourner bien différemment.
"À la fin de la saison passée, je commençais à en avoir ras-le-bol, avoue le Gaspésie. À un certain moment, j'ai même pensé à accrocher mes skis."
Participant à toutes le disciplines depuis cinq ans, Bourque était épuisé mentalement à la fin de la dernière saison. Celui qui a fait deux podiums l'an passé en Slovénie et en Autriche, avec des médailles d'argent, avait besoin d'une pause cet été. Il voulait se ressourcer et retrouver ses valeurs familiales.
Il en a donc profité pour amorcer la construction d'une maison à l'Ange-Gardien, à une quinzaine de kilomètres des pistes du Mont Ste-Anne. Un arrêt de quelques mois pour surtout retrouver son énergie et sa motivation avant de se lancer dans la prochaine saison de Coupe du monde.
"C'est peut-être tout l'entraînement qui vient avant qui me démotive, estime Bourque. Des fois, les gens pensent que nous sommes des machines et que nous n'avons pas de limite, mais tout le monde en a."
Après des camps d'entraînement au Chili et en Colombie-Britannique, Bourque a pris part à la course de Sölden, en Autriche, le mois dernier. Son résultat a été un 14e place, mais le vrai début de saison débute dans l'Ouest canadien et américain ce mois-ci, soit le 25 à Lake Louise.
Quatrième en slalom géant aux Olympiques de Turin en 2006, il a terminé cinquième en slalom géant l'an dernier. Il aimerait maintenant décrocher une victoire, finir dans les dix premiers cette saison et ultimement récolter un globe de cristal.
"C'est sûr que c'est quelque chose qu'on vise dans l'avenir. Je le prendrais avant une médaille aux Olympiques et en Coupe du monde, dit Bourque en parlant du globe. C'est la preuve que tu es le meilleur dans ta discipline, alors c'est toujours ce qu'on vise."
Bourque dit qu'il a toujours du plaisir à faire du ski et qu'il a les Olympiques de Vancouver dans sa mire, mais s'il venait à perdre son goût de compétition d'ici là, les chose pourraient tourner bien différemment.