Un vainqueur surprise à Camp Fortune
Ski samedi, 23 févr. 2008. 17:29 mercredi, 11 déc. 2024. 10:51
WAKEFIELD, Qué. - Francis Pratte, de Gatineau, au Québec, a connu du succès sur une pente familière, samedi, pour gagner la médaille d'or du slalom masculin lors de la première journée de la Coupe Pontiac GMC de ski alpin à Camp Fortune, près d'Ottawa.
Pratte a réussi un temps combiné pour les deux manches de 1:32,64 en revenant de l'arrière à la suite de sa cinquième place dans la première manche. Alex Mach, d'Ottawa, a terminé deuxième en 1:32,74 et Paul Atkinson, de Toronto, troisième en 1:32,91. Pratte est membre du club de ski Mont-Tremblant, mais il s'entraîne à Camp Fortune quand il est chez-lui.
« Je ne m'attendais pas à faire aussi bien, spécialement avec le genre de saison que j'ai connue jusqu'à maintenant, a dit Pratte, âgé de 18 ans. Dans la deuxième manche, tous les gars devant moi n'ont pas terminé donc j'ai réussi à capitaliser là-dessus. J'ai simplement essayé de faire une course tactique et de ne pas prendre de risques. »
Mach en était à sa première course cette saison. Il était 10e après la première manche et il a gagné la deuxième pour faire un gros saut en avant au classement. Il est présentement entraîneur au Mont Ste-Marie, mais a été invité à participer à la compétition en fin de semaine.
« Après la première manche, j'a aiguisé mes skis et j'ai obtenu une bonne prise, a dit Mach, âgé de 25 ans, qui a gradué en affaires cette année à l'Université du Nouveau Mexique. J'ai skié comme j'en suis capable et cela a fonctionné. Présentement, je m'amuse simplement à faire du ski de compétition et j'ai eu beaucoup de plaisir, spécialement dans la deuxième manche. Mais ma vraie passion est maintenant d'être entraîneur. »
Atkinson a dit que monter sur le podium était un gros défi pour les skieurs aujourd'hui.
« Ce fut une journée difficile. La pente était difficile et les conditions difficiles, a-t-il dit. Je suis heureux d'être revenu avec une solide deuxième manche. Tout ce dont j'ai besoin maintenant, c'est deux manches comme celle-là. »
Dans le slalom féminin, Kate Ryley, de Toronto, a terminé deuxième des deux manches et a décroché la médaille d'or en 1:39,32. Jenna Mielzinsky, de Guelph, en Ontario, s'est classée deuxième en 1:39,96 et Marilou Morin-Perrin, de Montréal, troisième en 1:40,44.
« Ma première manche a été correcte, mais elle aurait pu être meilleure, a dit Ryley, qui a passé la majorité de la saison à participer à des courses en Europe. Dans la deuxième manche, j'a skié beaucoup plus droit et j'ai laissé mes skis me diriger. Je pense qu'être allée en Europe m'a enseigné à vraiment foncer dans les courses. »
Mielzynsky était huitième après la première manche.
« Je n'ai pas commis d'erreurs dans la première manche, mais je n'étais pas aussi motivée qu'habituellement, a-t-elle dit. Dans la deuxième manche, mon objectif était de foncer, peu importe ce qui arriverait. Je suppose que ça s'est bien passé. En slalom, tout peut se produire, donc vous ne pouvez pas perdre tout espoir de médaille. »
Comme plusieurs autres skieuses, Morin-Perrin a eu à combattre les effets d'une première manche ordinaire. Elle était sixième.
« Je m'attendais à faire mieux, mais finalement c'est bien, a-t-elle dit. La deuxième manche avait moins de virages et j'ai pu attaquer davantage. »
Pratte a réussi un temps combiné pour les deux manches de 1:32,64 en revenant de l'arrière à la suite de sa cinquième place dans la première manche. Alex Mach, d'Ottawa, a terminé deuxième en 1:32,74 et Paul Atkinson, de Toronto, troisième en 1:32,91. Pratte est membre du club de ski Mont-Tremblant, mais il s'entraîne à Camp Fortune quand il est chez-lui.
« Je ne m'attendais pas à faire aussi bien, spécialement avec le genre de saison que j'ai connue jusqu'à maintenant, a dit Pratte, âgé de 18 ans. Dans la deuxième manche, tous les gars devant moi n'ont pas terminé donc j'ai réussi à capitaliser là-dessus. J'ai simplement essayé de faire une course tactique et de ne pas prendre de risques. »
Mach en était à sa première course cette saison. Il était 10e après la première manche et il a gagné la deuxième pour faire un gros saut en avant au classement. Il est présentement entraîneur au Mont Ste-Marie, mais a été invité à participer à la compétition en fin de semaine.
« Après la première manche, j'a aiguisé mes skis et j'ai obtenu une bonne prise, a dit Mach, âgé de 25 ans, qui a gradué en affaires cette année à l'Université du Nouveau Mexique. J'ai skié comme j'en suis capable et cela a fonctionné. Présentement, je m'amuse simplement à faire du ski de compétition et j'ai eu beaucoup de plaisir, spécialement dans la deuxième manche. Mais ma vraie passion est maintenant d'être entraîneur. »
Atkinson a dit que monter sur le podium était un gros défi pour les skieurs aujourd'hui.
« Ce fut une journée difficile. La pente était difficile et les conditions difficiles, a-t-il dit. Je suis heureux d'être revenu avec une solide deuxième manche. Tout ce dont j'ai besoin maintenant, c'est deux manches comme celle-là. »
Dans le slalom féminin, Kate Ryley, de Toronto, a terminé deuxième des deux manches et a décroché la médaille d'or en 1:39,32. Jenna Mielzinsky, de Guelph, en Ontario, s'est classée deuxième en 1:39,96 et Marilou Morin-Perrin, de Montréal, troisième en 1:40,44.
« Ma première manche a été correcte, mais elle aurait pu être meilleure, a dit Ryley, qui a passé la majorité de la saison à participer à des courses en Europe. Dans la deuxième manche, j'a skié beaucoup plus droit et j'ai laissé mes skis me diriger. Je pense qu'être allée en Europe m'a enseigné à vraiment foncer dans les courses. »
Mielzynsky était huitième après la première manche.
« Je n'ai pas commis d'erreurs dans la première manche, mais je n'étais pas aussi motivée qu'habituellement, a-t-elle dit. Dans la deuxième manche, mon objectif était de foncer, peu importe ce qui arriverait. Je suppose que ça s'est bien passé. En slalom, tout peut se produire, donc vous ne pouvez pas perdre tout espoir de médaille. »
Comme plusieurs autres skieuses, Morin-Perrin a eu à combattre les effets d'une première manche ordinaire. Elle était sixième.
« Je m'attendais à faire mieux, mais finalement c'est bien, a-t-elle dit. La deuxième manche avait moins de virages et j'ai pu attaquer davantage. »