Antoniuk affrontera son ancienne équipe
Soccer jeudi, 15 juin 2006. 14:15 samedi, 14 déc. 2024. 07:58
MONTRÉAL Daniel Antoniuk imitera-t-il Mauricio Salles en marquant contre son ancienne équipe? C'est ce que nous saurons ce dimanche après-midi, quand l'Impact de Montréal recevra les Timbers Portland, au Complexe sportif Claude-Robillard à compter de 16h.
Plus tôt cette saison, Salles avait donné deux victoires de 1-0 à l'Impact en marquant dans les deux affrontements contre les Islanders de Porto Rico. Antoniuk aimerait bien faire de même à son tour contre les Timbers.
«Je ne peux pas dire que ce ne sera pas un match spécial, parce que ce sera le cas, affirme l'attaquant de 25 ans en parlant du match de dimanche. J'ai encore beaucoup d'amis dans cette équipe. C'est toujours particulièrement plaisant de battre des amis. Je vais faire de mon mieux pour aider l'équipe à gagner.»
Après avoir totalisé quatre buts et cinq aides à ses deux premières campagnes dans la USL avec les Timbers, Antoniuk a débloqué l'an dernier avec une production de 13 buts, deux passes et 28 points, bon pour le quatrième rang dans la ligue aux chapitres des filets et des points.
«Ma troisième saison a été un point tournant parce que je me suis retrouvé plus souvent au sein du onze partant, dit-il. C'est difficile de marquer quand tu ne commences pas les matchs. C'est dur d'arriver du banc et de performer à chaque rencontre. C'est une mentalité différente. C'est plus dur d'entrer dans le match.»
Antoniuk semble garder le même rythme jusqu'ici cette année avec l'Impact. Il compte déjà trois filets à son actif, ce qui fait de lui le meilleur buteur de l'équipe, à égalité avec Salles. Et ce, même s'il n'a disputé que 219 minutes de jeu en huit sorties jusqu'ici. Mais cela pourrait bientôt changer. Il a d'ailleurs amorcé le match de mercredi contre les Silverbacks d'Atlanta, marquant le but gagnant des siens dans ce gain de 4-1.
«Même s'il n'a pas commencé beaucoup de matchs, il mérite de jouer parce que chaque fois qu'il est sur le terrain, il donne des maux de tête à l'adversaire, affirme l'entraîneur-chef Nick De Santis. Il a une excellente attitude. Avant, il jouait souvent et maintenant un peu moins, mais il travaille fort et il sait ce qu'il doit faire pour s'améliorer. Pour un entraîneur, c'est très satisfaisant d'avoir ce genre de joueur dans son équipe.»
Antoniuk n'est pas nécessairement le joueur le plus spectaculaire de l'équipe sur le terrain, mais il sait certes se servir de son physique de six pieds trois pouces et 195 livres pour être efficace.
«Il est un joueur de surface de réparation, souligne De Santis. Il nous a montré qu'il est dangeureux dans les 18 mètres.»
«C'est un grand attaquant, qui bouscule l'adversaire, affirme le capitaine Mauro Biello. Il est difficile à marquer, surtout sur les ballons aériens. C'est un gars qui peut aider l'équipe avec sa force à l'attaque.»
«Mon style, c'est de travailler fort autour du filet, déclare Antoniuk. J'essaie d'être le plus dangereux possible. Je suis un batailleur! Je sais qu'il n'y en aura pas de facile. J'ai grandi à Philadelphie, j'ai joué sur des terrains rocailleux à partir de l'âge de 12 ans. C'est de là que viennent mon attitude et ma force. J'ai trop de fierté pour laisser l'adversaire avoir raison de moi. Si je dois le faire, je vais commettre des fautes. Si j'étais un défenseur, je serais comme Nevio (Pizzolitto), je me battrais à fond pour défendre chaque ballon.»
Et cette attitude, Antoniuk l'adoptera encore une fois dimanche... même contre ses amis de Portland.
Plus tôt cette saison, Salles avait donné deux victoires de 1-0 à l'Impact en marquant dans les deux affrontements contre les Islanders de Porto Rico. Antoniuk aimerait bien faire de même à son tour contre les Timbers.
«Je ne peux pas dire que ce ne sera pas un match spécial, parce que ce sera le cas, affirme l'attaquant de 25 ans en parlant du match de dimanche. J'ai encore beaucoup d'amis dans cette équipe. C'est toujours particulièrement plaisant de battre des amis. Je vais faire de mon mieux pour aider l'équipe à gagner.»
Après avoir totalisé quatre buts et cinq aides à ses deux premières campagnes dans la USL avec les Timbers, Antoniuk a débloqué l'an dernier avec une production de 13 buts, deux passes et 28 points, bon pour le quatrième rang dans la ligue aux chapitres des filets et des points.
«Ma troisième saison a été un point tournant parce que je me suis retrouvé plus souvent au sein du onze partant, dit-il. C'est difficile de marquer quand tu ne commences pas les matchs. C'est dur d'arriver du banc et de performer à chaque rencontre. C'est une mentalité différente. C'est plus dur d'entrer dans le match.»
Antoniuk semble garder le même rythme jusqu'ici cette année avec l'Impact. Il compte déjà trois filets à son actif, ce qui fait de lui le meilleur buteur de l'équipe, à égalité avec Salles. Et ce, même s'il n'a disputé que 219 minutes de jeu en huit sorties jusqu'ici. Mais cela pourrait bientôt changer. Il a d'ailleurs amorcé le match de mercredi contre les Silverbacks d'Atlanta, marquant le but gagnant des siens dans ce gain de 4-1.
«Même s'il n'a pas commencé beaucoup de matchs, il mérite de jouer parce que chaque fois qu'il est sur le terrain, il donne des maux de tête à l'adversaire, affirme l'entraîneur-chef Nick De Santis. Il a une excellente attitude. Avant, il jouait souvent et maintenant un peu moins, mais il travaille fort et il sait ce qu'il doit faire pour s'améliorer. Pour un entraîneur, c'est très satisfaisant d'avoir ce genre de joueur dans son équipe.»
Antoniuk n'est pas nécessairement le joueur le plus spectaculaire de l'équipe sur le terrain, mais il sait certes se servir de son physique de six pieds trois pouces et 195 livres pour être efficace.
«Il est un joueur de surface de réparation, souligne De Santis. Il nous a montré qu'il est dangeureux dans les 18 mètres.»
«C'est un grand attaquant, qui bouscule l'adversaire, affirme le capitaine Mauro Biello. Il est difficile à marquer, surtout sur les ballons aériens. C'est un gars qui peut aider l'équipe avec sa force à l'attaque.»
«Mon style, c'est de travailler fort autour du filet, déclare Antoniuk. J'essaie d'être le plus dangereux possible. Je suis un batailleur! Je sais qu'il n'y en aura pas de facile. J'ai grandi à Philadelphie, j'ai joué sur des terrains rocailleux à partir de l'âge de 12 ans. C'est de là que viennent mon attitude et ma force. J'ai trop de fierté pour laisser l'adversaire avoir raison de moi. Si je dois le faire, je vais commettre des fautes. Si j'étais un défenseur, je serais comme Nevio (Pizzolitto), je me battrais à fond pour défendre chaque ballon.»
Et cette attitude, Antoniuk l'adoptera encore une fois dimanche... même contre ses amis de Portland.