Blatter vante l'organisation du Mondial
Soccer lundi, 12 juil. 2010. 10:34 vendredi, 13 déc. 2024. 17:57
JOHANNESBURG - Le président de la Fédération internationale de football, Joseph Blatter, a estimé que "l'Afrique a prouvé qu'elle pouvait organiser un tel évènement", lundi à Johannesburg lors de la conférence de presse de clôture du Mondial 2010.
"L'Afrique a mérité nos compliments: elle a prouvé qu'elle pouvait organiser un tel évènement, il s'agissait d'y croire et d'avoir confiance, nous y avons cru et ils l'ont bien fait", a dit M. Blatter au lendemain de la finale de la première Coupe du monde organisée en Afrique (remportée par l'Espagne contre les Pays-Bas 1-0 a.p.).
M. Blatter a également adressé "un énorme compliment à l'Afrique du Sud, au peuple sud-africain, au gouvernement pour les garanties qu'ils ont apportées, et au comité local d'organisation (LOC) de MM. Irvine Khoza et Danny Jordaan, aux responsables de la sécurité, et à la formidable hospitalité offerte par les gens d'Afrique du Sud".
"Les bienfaits (du Mondial) et les compliments vont à l'Afrique du Sud, pas à la Fifa", a-t-il conclu.
Au bilan de l'organisation, les transports ont posé des problèmes pendant toute la durée du tournoi, mais il n'y a pas eu de graves problèmes d'insécurité (malgré la violence endémique dans le pays), ce qui était le principal sujet d'inquiétude avant le Mondial 2010 (11 juin-11 juillet).
"Les arbitres n'ont pas eu la tâche facile"
Les arbitres de la finale du Mondial 2010 "n'ont pas eu la tâche facile", a dit le président, au lendemain du match remporté par l'Espagne contre Pays-Bas (1-0 a.p.) où 15 cartons ont été distribués.
"La tâche n'était pas facile pour le trio d'arbitres hier (dimanche), et ils n'ont pas été aidés (par les joueurs)", a dit lundi M. Blatter lors de la conférence de presse de clôture du Mondial.
Mais il n'a pas voulu commenter l'arbitrage, ni le nombre de cartons (14 jaunes dont deux à Heitinga qui valent un rouge), ni le geste de Nigel De Jong, un geste de karaté le pied en avant sur la poitrine de Xabi Alonso, qui pouvait mériter un rouge direct.
"Je pourrais répondre comme supporteur, mais aujourd'hui je suis là en tant que président de la Fifa", a dit M. Blatter avant d'ajouter: "Je comprends qu'on pose la question".
L'arbitrage de l'Anglais Howard Webb a été très critiqué par les Néerlandais après le match. "Le football est un sport de combat, mais dans l'esprit du fair-play, a commenté M. Blatter. Apprendre à gagner c'est facile, mais quand vous perdez, il ne faut pas oublier les bases de la discipline et du respect."
"L'Afrique a mérité nos compliments: elle a prouvé qu'elle pouvait organiser un tel évènement, il s'agissait d'y croire et d'avoir confiance, nous y avons cru et ils l'ont bien fait", a dit M. Blatter au lendemain de la finale de la première Coupe du monde organisée en Afrique (remportée par l'Espagne contre les Pays-Bas 1-0 a.p.).
M. Blatter a également adressé "un énorme compliment à l'Afrique du Sud, au peuple sud-africain, au gouvernement pour les garanties qu'ils ont apportées, et au comité local d'organisation (LOC) de MM. Irvine Khoza et Danny Jordaan, aux responsables de la sécurité, et à la formidable hospitalité offerte par les gens d'Afrique du Sud".
"Les bienfaits (du Mondial) et les compliments vont à l'Afrique du Sud, pas à la Fifa", a-t-il conclu.
Au bilan de l'organisation, les transports ont posé des problèmes pendant toute la durée du tournoi, mais il n'y a pas eu de graves problèmes d'insécurité (malgré la violence endémique dans le pays), ce qui était le principal sujet d'inquiétude avant le Mondial 2010 (11 juin-11 juillet).
"Les arbitres n'ont pas eu la tâche facile"
Les arbitres de la finale du Mondial 2010 "n'ont pas eu la tâche facile", a dit le président, au lendemain du match remporté par l'Espagne contre Pays-Bas (1-0 a.p.) où 15 cartons ont été distribués.
"La tâche n'était pas facile pour le trio d'arbitres hier (dimanche), et ils n'ont pas été aidés (par les joueurs)", a dit lundi M. Blatter lors de la conférence de presse de clôture du Mondial.
Mais il n'a pas voulu commenter l'arbitrage, ni le nombre de cartons (14 jaunes dont deux à Heitinga qui valent un rouge), ni le geste de Nigel De Jong, un geste de karaté le pied en avant sur la poitrine de Xabi Alonso, qui pouvait mériter un rouge direct.
"Je pourrais répondre comme supporteur, mais aujourd'hui je suis là en tant que président de la Fifa", a dit M. Blatter avant d'ajouter: "Je comprends qu'on pose la question".
L'arbitrage de l'Anglais Howard Webb a été très critiqué par les Néerlandais après le match. "Le football est un sport de combat, mais dans l'esprit du fair-play, a commenté M. Blatter. Apprendre à gagner c'est facile, mais quand vous perdez, il ne faut pas oublier les bases de la discipline et du respect."