Difficile pour l'Inter Milan
Soccer mercredi, 29 mars 2006. 16:33 vendredi, 13 déc. 2024. 17:41
MILAN (Italie) (AFP) - L'Inter Milan a pris une courte option sur la qualification en demi-finales de la Ligue des champions de football, grâce à son difficile succès (2-1) sur Villarreal, après avoir été mené dès la première minute de jeu, mercredi soir devant son public du stade San Siro.
L'équipe milanaise se présentera avec un tout petit but d'avance la semaine prochaine en Espagne, un résultat somme toute positif, au vu de son catastrophique début de rencontre. Mais elle devra se méfier d'une équipe espagnole accrocheuse, qui bénéficie tout de même de l'avantage du but marqué à l'extérieur.
"Je suis content de ce résultat, surtout après ce premier but subi d'entrée", a estimé l'entraîneur Roberto Mancini, soulagé par la victoire. "Mais nous avons parfaitement réagi et nous avons dans l'ensemble fait un excellent match, car Villarreal est une équipe très solide et toujours dangereuse devant."
Face au "sous-marin jaune", la formation italienne, lente à entrer dans le match, se retrouvait menée sur la première action de la partie, grâce à Diego Forlan qui reprenait de près une frappe croisée de José Mari repoussée par Toldo (0-1, 1re).
Dès la minute suivante, l'Inter manquait de peu l'égalisation par Adriano dont le tir à bout portant était sauvé sur sa ligne par Pena (2e).
Mais les Milanais se reprenaient par Adriano, très remuant, qui exploitait un dégagement raté de Pena sur un centre de la droite de Stankovic, et frappait en pivot dans le but de Viera, le gardien espagnol (1-1, 7e).
Les Intéristes reprenaient l'initiative du jeu, poussaient ses attaques et s'assuraient deux nouvelles occasions de prendre l'avantage par Adriano (11e) devancé in extremis par Viera, et surtout Recoba, dont le tir du gauche était dévié en corner par le portier espagnol (23e).
Vouée à l'offensive
Totalement voué à l'offensive, l'équipe de Roberto Mancini s'exposait cependant aux relances incisives des Espagnols, qui se montraient très dangereux sur un coup-franc à ras de terre de Riquelme qui passait de peu à gauche du but de Toldo (29e).
Dès le début de la deuxième période, l'Inter prenait l'avantage en toute logique sur une déviation astucieuse de Martins en déséquilibre, suite à un long centre de Stankovic, intenable sur son côté droit, devant le but de Viera (2-1, 57e).
Mais les Espagnols persistaient à attaquer et frôlaient même l'égalisation, d'abord sur un coup-franc de Riquelme sur la barre de Toldo, battu (63), puis par le même Riquelme qui voyait son tir passer trop à gauche après une reprise ratée de José Mari (67).
Dans le dernier quart d'heure, l'Inter manquait de peu le troisième but par un coup de tête de Martins sur un centre d'Adriano (79). Mais les Espagnols passaient, eux, tout près de l'égalisation par Sorin qui, pressé par Cordoba, manquait une déviation facile devant Toldo (85).
L'équipe milanaise se présentera avec un tout petit but d'avance la semaine prochaine en Espagne, un résultat somme toute positif, au vu de son catastrophique début de rencontre. Mais elle devra se méfier d'une équipe espagnole accrocheuse, qui bénéficie tout de même de l'avantage du but marqué à l'extérieur.
"Je suis content de ce résultat, surtout après ce premier but subi d'entrée", a estimé l'entraîneur Roberto Mancini, soulagé par la victoire. "Mais nous avons parfaitement réagi et nous avons dans l'ensemble fait un excellent match, car Villarreal est une équipe très solide et toujours dangereuse devant."
Face au "sous-marin jaune", la formation italienne, lente à entrer dans le match, se retrouvait menée sur la première action de la partie, grâce à Diego Forlan qui reprenait de près une frappe croisée de José Mari repoussée par Toldo (0-1, 1re).
Dès la minute suivante, l'Inter manquait de peu l'égalisation par Adriano dont le tir à bout portant était sauvé sur sa ligne par Pena (2e).
Mais les Milanais se reprenaient par Adriano, très remuant, qui exploitait un dégagement raté de Pena sur un centre de la droite de Stankovic, et frappait en pivot dans le but de Viera, le gardien espagnol (1-1, 7e).
Les Intéristes reprenaient l'initiative du jeu, poussaient ses attaques et s'assuraient deux nouvelles occasions de prendre l'avantage par Adriano (11e) devancé in extremis par Viera, et surtout Recoba, dont le tir du gauche était dévié en corner par le portier espagnol (23e).
Vouée à l'offensive
Totalement voué à l'offensive, l'équipe de Roberto Mancini s'exposait cependant aux relances incisives des Espagnols, qui se montraient très dangereux sur un coup-franc à ras de terre de Riquelme qui passait de peu à gauche du but de Toldo (29e).
Dès le début de la deuxième période, l'Inter prenait l'avantage en toute logique sur une déviation astucieuse de Martins en déséquilibre, suite à un long centre de Stankovic, intenable sur son côté droit, devant le but de Viera (2-1, 57e).
Mais les Espagnols persistaient à attaquer et frôlaient même l'égalisation, d'abord sur un coup-franc de Riquelme sur la barre de Toldo, battu (63), puis par le même Riquelme qui voyait son tir passer trop à gauche après une reprise ratée de José Mari (67).
Dans le dernier quart d'heure, l'Inter manquait de peu le troisième but par un coup de tête de Martins sur un centre d'Adriano (79). Mais les Espagnols passaient, eux, tout près de l'égalisation par Sorin qui, pressé par Cordoba, manquait une déviation facile devant Toldo (85).
