Drogba donne la victoire à Chelsea
Soccer mercredi, 25 févr. 2009. 16:59 mercredi, 11 déc. 2024. 14:30
LONDRES - Le finaliste de 2008, Chelsea, a pris d'une courte tête (1-0) le meilleur sur une Juventus Turin séduisante qui, après un départ fébrile, a souvent été l'équipe la plus dangereuse, mercredi à Stamford Bridge en huitièmes de finale aller de la Ligue des Champions.
Cet avantage, obtenu sur un but rapide de Didier Drogba (12), ne semble pas irréversible au vu de la prestation des deux équipes.
Chelsea, qui s'était montrée convaincante lors du premier match de son entraîneur Guus Hiddink, semblait d'abord pouvoir le rester. Elle mettait d'ailleurs moins de temps qu'à Aston Villa à concrétiser sa domination: sur une merveille de passe en profondeur de Salomon Kalou, Drogba enchaînait contrôle orienté et frappe du droit pour tromper Gianluigi Buffon (12).
Que son tir croisé n'ait pas respecté les canons de l'académisme ou que Frank Lampard ait peut-être été hors jeu ne gâchait pas le bonheur de l'Ivoirien après ce qui n'était que le quatrième but d'une saison empoisonnée par les blessures et sa relation difficile avec l'ancien entraîneur Luiz Felipe Scolari.
La joie aurait pu être plus grande s'il avait cadré ses têtes, sur des centres de la droite de Jose Bosingwa (12 et 50) et sur corner (16).
Mais la Juve n'est pas pour rien le dauphin de l'Inter Milan dans le Calcio: Petr Cech puis Ashley Cole jouaient les pompiers pour détourner en corner des frappes d'Alessandro Del Piero (22) et Mauro Camoranesi (24). Del Piero sollicitait encore la vigilance d'Alex (47), tandis qu'une frappe de Marco Marchionni rasait le cadre (62).
Dans un match qui était plaisant sans atteindre les sommets, les occasions étaient italiennes, la tentative de Frank Lampard de vérifier d'une frappe du gauche que la réputation de Buffon était toujours d'actualité, étant faiblarde (57).
Le jeu de Chelsea se délitait et les locaux pouvaient se féliciter de voir Michael Ballack rester sur le terrain malgré son violent tacle sur Pavel Nedved (58).
Mais les Londoniens reprenaient leurs esprits, et étaient dangereux sur une frappe lointaine et soudaine de Nicolas Anelka (87). Mais, comme une promesse, le dernier feu était italien: un tir de Nedved également tout près du cadre (90+4).
Cet avantage, obtenu sur un but rapide de Didier Drogba (12), ne semble pas irréversible au vu de la prestation des deux équipes.
Chelsea, qui s'était montrée convaincante lors du premier match de son entraîneur Guus Hiddink, semblait d'abord pouvoir le rester. Elle mettait d'ailleurs moins de temps qu'à Aston Villa à concrétiser sa domination: sur une merveille de passe en profondeur de Salomon Kalou, Drogba enchaînait contrôle orienté et frappe du droit pour tromper Gianluigi Buffon (12).
Que son tir croisé n'ait pas respecté les canons de l'académisme ou que Frank Lampard ait peut-être été hors jeu ne gâchait pas le bonheur de l'Ivoirien après ce qui n'était que le quatrième but d'une saison empoisonnée par les blessures et sa relation difficile avec l'ancien entraîneur Luiz Felipe Scolari.
La joie aurait pu être plus grande s'il avait cadré ses têtes, sur des centres de la droite de Jose Bosingwa (12 et 50) et sur corner (16).
Mais la Juve n'est pas pour rien le dauphin de l'Inter Milan dans le Calcio: Petr Cech puis Ashley Cole jouaient les pompiers pour détourner en corner des frappes d'Alessandro Del Piero (22) et Mauro Camoranesi (24). Del Piero sollicitait encore la vigilance d'Alex (47), tandis qu'une frappe de Marco Marchionni rasait le cadre (62).
Dans un match qui était plaisant sans atteindre les sommets, les occasions étaient italiennes, la tentative de Frank Lampard de vérifier d'une frappe du gauche que la réputation de Buffon était toujours d'actualité, étant faiblarde (57).
Le jeu de Chelsea se délitait et les locaux pouvaient se féliciter de voir Michael Ballack rester sur le terrain malgré son violent tacle sur Pavel Nedved (58).
Mais les Londoniens reprenaient leurs esprits, et étaient dangereux sur une frappe lointaine et soudaine de Nicolas Anelka (87). Mais, comme une promesse, le dernier feu était italien: un tir de Nedved également tout près du cadre (90+4).