Henry en avait contre Moggi
Soccer mercredi, 9 janv. 2008. 19:58 samedi, 14 déc. 2024. 12:35
ROME - L'attaquant français du FC Barcelone Thierry Henry a révélé mercredi avoir quitté la Juventus à cause d'"un manque de respect" de Luciano Moggi, ex-directeur général du club et également personnage central du scandale des matches truqués, dans une interview mercredi à la chaîne Sky.
"J'ai quitté la Juventus en raison d'un manque de respect de la part de Luciano Moggi", a déclaré Thierry Henry, qui a joué dans le club de Turin entre janvier et juin 1999.
"Il s'est passé quelque chose avec Moggi. Je ne veux pas entrer dans les détails mais c'était quelque chose qui ne m'a pas plu. Je suis un garçon honnête, et pour moi il s'agissait de quelque chose d'irrespectueux", a-t-il indiqué à la télévision câblée.
"Si cela ne s'était pas produit, j'aurais probablement continué à jouer pour la Juventus. Mais après ce manque de respect, je leur avais dit que je ne pouvais plus jouer dans ce club, et je suis parti", a raconté Thierry Henry.
Lors du procès du scandale du Calcio, qui a éclaboussé tout le monde du football en Italie, Luciano Moggi, personne central de l'affaire, a écopé d'une interdiction par la Fédération italienne de football de toute activité dans le sport pendant cinq ans.
"J'ai quitté la Juventus en raison d'un manque de respect de la part de Luciano Moggi", a déclaré Thierry Henry, qui a joué dans le club de Turin entre janvier et juin 1999.
"Il s'est passé quelque chose avec Moggi. Je ne veux pas entrer dans les détails mais c'était quelque chose qui ne m'a pas plu. Je suis un garçon honnête, et pour moi il s'agissait de quelque chose d'irrespectueux", a-t-il indiqué à la télévision câblée.
"Si cela ne s'était pas produit, j'aurais probablement continué à jouer pour la Juventus. Mais après ce manque de respect, je leur avais dit que je ne pouvais plus jouer dans ce club, et je suis parti", a raconté Thierry Henry.
Lors du procès du scandale du Calcio, qui a éclaboussé tout le monde du football en Italie, Luciano Moggi, personne central de l'affaire, a écopé d'une interdiction par la Fédération italienne de football de toute activité dans le sport pendant cinq ans.